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Comment les enseignes et centrales d'achat d'optique-lunetterie peuvent-elles soutenir leurs membres pour préserver leur croissance et leur rentabilité face aux nouvelles menaces réglementaires et concurrentielles ? En plus de prévisions de marché d'ici 2027, notre étude identifie les leviers pour optimiser la compétitivité de l'offre.
L'encadrement prévu des marges sur le panier 100% Santé ainsi que les propositions d'allongement des délais de renouvellement, voire même d'interdiction de la publicité, fragilisent l'équilibre économique du secteur. Dans ce contexte tendu, enseignes et centrales d'achat doivent aider les opticiens à se repositionner vers de nouvelles sources de croissance et de marge. En parallèle, la pression concurrentielle s'accentue avec l'offensive des grands réseaux et l'arrivée de concurrents, comme les enseignes alimentaires ou plus récemment La Poste. Une pression qui impose de se différencier non seulement par l'offre produit, mais aussi par la qualité de l'expérience client et par la richesse des services proposés. À cet égard, de nouvelles opportunités s'ouvrent pour les magasins d'optique-lunetterie grâce aux évolutions technologiques et réglementaires qui élargissent les prérogatives du métier dans la santé visuelle. La téléophtalmologie, les services hors magasin ou la freination de la myopie en sont quelques illustrations. Dès lors, quelles pistes de diversification s'avèrent les plus pertinentes ? Quelles innovations permettront de renforcer l'attractivité et la valeur ajoutée des opticiens ? Et comment consolider et différencier son modèle sur le segment audio ?
Comment la financiarisation du secteur officinal reconfigure-t-elle en profondeur le modèle, l'identité et l'avenir des pharmacies ? Notre étude exclusive décrypte les logiques financières à l'œuvre au sein de ce secteur de la santé, ainsi que les conséquences stratégiques pour les officines et leurs groupements.
Longtemps bâti sur un modèle d'exercice libéral, le réseau des pharmacies entre dans une phase de mutation accélérée. L'érosion des marges sur les médicaments, les vagues de départs à la retraite des titulaires et le coût élevé d'installation pour les jeunes pharmaciens fragilisent un modèle déjà sous pression. Ce contexte a ouvert la voie à une financiarisation croissante et multiforme : essor des groupements et enseignes, consolidation via des fonds, multiplication d'opérations à effet de levier, ainsi qu'un recours accru à la dette privée par les pharmaciens pour financer non seulement les transmissions mais aussi les investissements. Les officines orientent ainsi leurs projets vers des formats jugés plus rentables, misant sur la parapharmacie et des espaces commerciaux XXL. Peu à peu, cette financiarisation transforme en profondeur la chaîne de valeur officinale et modifie les rapports de force entre ses acteurs. Mais elle crée aussi de nouvelles dépendances : aux financements externes, aux enseignes, aux groupements et aux logiques de performance commerciale. L'enjeu est désormais d'apprendre à conjuguer rentabilité et mission de santé publique. Dès lors, jusqu'où ira la financiarisation du secteur ? Quelles en sont les principaux moteurs et acteurs ? Et quelles conséquences sur le modèle des pharmacies et leurs perspectives à 2030 ?
Face à la pression des prix, à la volatilité des consommateurs et à la guerre des canaux, le secteur du retail vacille. Comment dès lors prolonger et intensifier une transformation digitale devenue essentielle pour recréer de la valeur durable ? Notre étude met en lumière les actions à mettre en œuvre par les acteurs du commerce B2C — franchisés, grandes surfaces, chaînes spécialisées ou pure players en ligne — pour s'adapter, se différencier et retrouver de la performance.
Les distributeurs subissent aujourd'hui plusieurs contraintes. D'un côté, la pression sur le pouvoir d'achat et la réorientation de la consommation vers les services freinent la croissance des ventes de biens. De l'autre, l'intensification de la concurrence des plateformes numériques à bas prix alimente une spirale déflationniste difficile à enrayer. En conséquence les marges s'érodent, le trafic en magasin plafonne et les modèles historiques centrés sur le volume et l'implantation physique montrent leurs limites. L'enjeu n'est plus d'amorcer la transition numérique, mais d'en franchir une nouvelle étape décisive. Une stratégie qui implique de réorienter les investissements vers des leviers technologiques à fort impact : intelligence artificielle, pilotage prédictif, ship-from-store, retail media... Dès lors, quels leviers digitaux activer pour enrichir l'expérience client ? Comment mieux optimiser la tarification et la supply chain ? Et quels perspectives se dessinent pour le secteur du retail d'ici 2027 ?
Comment les enseignes d'audioprothèses peuvent-elles conjuguer proximité, exigence clinique et performance économique dans un marché en pleine mutation ? Notre étude met en lumière les leviers clés pour soutenir la croissance du secteur face à un environnement plus compliqué.
Au-delà du poids grandissant des complémentaires santé et de la défiance persistante des patients, la concurrence s'intensifie. Les enseignes d'optique poursuivent en effet le déploiement de corners audio, aggravant la saturation du marché. Ce mouvement fragilise les spécialistes historiques et amorce une phase de consolidation. Pour rester compétitifs, les réseaux d'audioprothèses doivent désormais aller chercher les publics encore éloignés du soin auditif alors que près de 55% des personnes concernées ne sont pas équipées. Ils doivent également renforcer leur présence locale, améliorer l'expérience client et capitaliser sur les outils numériques comme la téléaudiologie. En parallèle, l'arrivée d'acteurs comme Apple ou EssilorLuxottica redessine les contours du marché avec des produits hybrides, à mi-chemin entre le médical et le grand public. L'audioprothèse évolue vers un objet du quotidien, à la croisée de l'innovation technologique et du mieux-être. Dès lors, comment concrètement tirer parti des nouvelles technologies pour améliorer le parcours patient ? Quelles stratégies pour toucher des clientèles sous-équipées ? Et comment les enseignes d'optique peuvent-elles consolider et différencier leur modèle audio ?
Comment faire de la seconde main une offre grand public, attractive et économiquement viable ? Notre étude identifie les leviers d'action prioritaires pour accompagner à la fois les distributeurs traditionnels et les spécialistes de l'occasion dans leur montée en puissance sur ce segment en forte croissance.
Dopé par un pouvoir d'achat en berne et la quête d'une consommation plus responsable, le marché de la seconde main a doublé entre 2019 et 2024 pour atteindre 14 milliards d'euros. Cette dynamique s'appuie largement sur le succès des plateformes C2C comme Vinted, Vestiaire Collective ou Leboncoin. Deux fronts se dessinent aujourd'hui. D'un côté, les distributeurs traditionnels cherchent à intégrer l'occasion à leur modèle, avec un triple défi : fluidifier le parcours client, rassurer sur la qualité et préserver la rentabilité sans cannibaliser le neuf. Leur force logistique est un atout, mais la viabilité économique reste fragile. De l'autre, les spécialistes doivent consolider leur position dans des secteurs clés comme la mode, l'électronique ou le luxe. Si l'intermédiation entre particuliers permet de limiter les coûts, les modèles plus intégrés — avec reprise, remise en état et revente — peinent encore à atteindre l'équilibre, comme l'a montré l'échec de Rediv. Dès lors, comment structurer des modèles viables et compétitifs, notamment dans l'habillement où l'ultra fast fashion gagne du terrain ? Quelles innovations peuvent rapprocher l'expérience d'achat de celle du neuf ? Et comment élargir la cible au-delà des acheteurs déjà convaincus ?
Les enseignes de bazar et de déstockage peuvent-elles maintenir leur croissance fulgurante face à un environnement plus concurrentiel et incertain ? Notre étude identifie les leviers clés pour dépasser les limites du modèle, renforcer son attractivité et se distinguer dans un marché ultra-compétitif.
Malgré un contexte économique morose, le succès des chaînes de magasins à petits prix ne se dément pas en France. Portées par une clientèle friande de bonnes affaires et d'une offre sans cesse renouvelée, ces enseignes ont conquis le paysage du retail. Mais derrière cette dynamique se cachent de sérieuses tensions. La pression sur les marges devient critique, minée par une guerre des prix permanente ainsi que par des stratégies parfois coûteuses comme le soft discount. La concurrence, elle, se durcit. Les géants européens tels Action ou Normal accélèrent leur implantation grâce à une puissance d'achat optimisée et une logistique bien rodée. En parallèle, les plateformes chinoises adoptent une approche digitale agressive, menaçant les positions des acteurs traditionnels, à l'image des difficultés rencontrées par GiFi. Le modèle d'expansion, lui aussi, atteint ses limites, les zones périphériques arrivant à saturation. Dès lors, quelle stratégie mobiliser pour dépasser ce plafond de verre et assurer une croissance durable ? Comment préserver les marges tout en maintenant des prix bas ? Et comment transformer le digital en moteur de développement à part entière, plutôt qu'en simple outil d'appoint ?
L'hygiène-beauté peut-elle rester un incontournable dans les choix de consommation des ménages d'ici 2027 face à un contexte économique compliqué ? Notre étude décrypte les tendances clés, les circuits les plus dynamiques ainsi que les leviers pour permettre aux enseignes spécialisées de se différencier autrement que par les prix.
Sous l'effet d'un pouvoir d'achat fragilisé, les consommateurs privilégient désormais les marques de distributeurs, les circuits alternatifs et les offres low-cost. Les plateformes comme Shein et Temu, les enseignes telles Action et Normal ainsi que les marques-enseignes à l'image d'Adopt' et Avril captent désormais une part croissante du marché. Face à cette déferlante, les parfumeries sélectives et la grande distribution voient leur modèle ébranlé, confrontées à une double menace : la banalisation de l'offre et l'érosion des marges. Le risque ? Une perte rapide d'attractivité et un décrochage face à ces nouveaux acteurs. Pourtant, la bataille ne se joue pas seulement sur les prix. Les consommateurs attendent aussi personnalisation, clean beauty et expériences d'achat immersives. Autant de leviers différenciants que les circuits traditionnels doivent s'approprier pour rester attractifs. Innover, se réinventer et capitaliser sur l'intelligence artificielle (IA) et la beauty tech devient vital pour optimiser les marges, recréer de la valeur et améliorer l'expérience client. Dès lors, comment les distributeurs spécialisés peuvent-ils capitaliser sur ces technologies ? Quels leviers pour sortir de la concurrence par les prix ? Et quelles perspectives pour l'ensemble du marché d'ici 2027 ?
Comment l'intelligence artificielle peut-elle dynamiser le commerce physique et enrichir l'expérience d'achat en ligne ? En plus d'un scoring exclusif de Xerfi évaluant la maturité des distributeurs en matière d'IA, notre étude identifie les cas d'usage les plus pertinents pour accroître le panier moyen, diminuer les pertes des magasins et améliorer les performances des sites e-commerce.
L'étude décrypte en particulier les stratégies et modalités de déploiement de l'IA des retailers. En magasin, cette technologie s'impose comme un levier pour fidéliser et augmenter les marges. Des assistants intelligents permettent par exemple aux vendeurs de répondre plus efficacement aux sollicitations des clients en s'appuyant sur des données contextuelles précises. En parallèle, certaines applications ajustent les prix en temps réel pour s'adapter à la demande et réduire le gaspillage des grandes surfaces alimentaires. Dans le commerce en ligne, l'IA joue un rôle décisif pour attirer, retenir et convertir les internautes. Des chatbots avancés sont capables de générer des recommandations de produits personnalisées, à partir des données des marques et les historiques d'achat. Mais qu'il s'agisse de commerce physique ou digital, les retailers devront opter pour des solutions d'IA qui offrent un retour sur investissement rapide au regard des contraintes financières actuelles qui limitent les budgets d'investissement. Dès lors, quels sont les cas d'usage d'IA les plus performants pour maximiser la rentabilité ? Et quels sont les distributeurs les plus avancés en matière d'IA ?
Comment dynamiser la croissance du bio ? Alors que le marché tente de se remettre du choc causé par la crise du pouvoir d'achat et l'inflation, notre étude exclusive analyse les nouvelles tendances, les facteurs de risque et les perspectives du marché jusqu'en 2026.
Après une timide reprise en 2024, la filière reste confrontée à des défis majeurs. La grande distribution, qui représente plus de la moitié des ventes, a réduit son offre de 23% entre 2020 et 2024, privilégiant les produits à forte rotation. Cette stratégie a accéléré le transfert de parts de marché vers les circuits spécialisés et le e-commerce. Mais avec l'amélioration attendue du pouvoir d'achat des ménages, les enseignes alimentaires généralistes pourraient revenir en force sur le bio, en particulier via leurs marques de distributeur. En parallèle, la contraction des surfaces agricoles engagées en bio fragilise l'amont de la filière. Le ralentissement des conversions côté agriculteurs menace de limiter l'offre et d'alimenter une hausse des prix. Restaurer la confiance des consommateurs est également essentiel alors que la démocratisation du label bio et l'extension de l'offre ont conduit à une méfiance généralisée. Dès lors, comment rétablir en pratique cette relation de confiance ? Les GSA peuvent-elles encore repasser à l'offensive sur le bio ? Et comment améliorer l'image-prix des enseignes spécialisées auprès des consommateurs ?
Comment améliorer l'attractivité de l'offre des garages automobiles, accélérer l'expansion des réseaux et s'adapter à l'essor des véhicules électriques et hybrides ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour fluidifier les parcours clients des automobilistes et attirer de nouveaux adhérents au sein des réseaux.
Nous mettons notamment en lumière les solutions les plus pertinentes pour développer une offre plus attractive et accessible, en mesure de dynamiser la demande. Les coûts de l'entretien-réparation automobile ont fortement augmenté ces dernières années sous l'effet de l'inflation et de la complexification des véhicules. Le budget auto des ménages n'a ainsi jamais été aussi lourd et les risques de report ou de renoncement à l'entretien aussi importants. En parallèle, la transition progressive, mais inéluctable, vers les motorisations électriques engage le secteur dans une profonde transformation. À moyen terme, les revenus des professionnels pourraient être menacés par ces véhicules à l'entretien plus simple et nécessitant moins de visites en atelier. Mais leur prise en charge représente surtout un défi technique, des investissements matériels et une montée en compétences des mécaniciens qui pourraient rebattre les cartes en faveur des constructeurs automobile et des concessionnaires. Dès lors, quelles sont les mesures concrètes pour développer une offre compétitive et innovante ? Quelles pistes privilégier pour poursuivre l'expansion des réseaux sous enseigne ? Et comment optimiser et généraliser la prise en charge des véhicules électriques ?
Comment innover dans les cosmétiques bio et naturels pour dynamiser le marché et tirer parti de la distribution en pharmacie ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour exploiter pleinement les relais de croissance qui s'ouvrent aux marques spécialisées afin de relancer les ventes.
Nous mettons notamment en lumière de nouvelles stratégies visant à repositionner l'offre vers les segments porteurs et moins soumis aux arbitrages de consommation dans le domaine de l'hygiène beauté. En effet, les ventes de cosmétiques en GSA patinent, tout comme celles des produits bio face à un pouvoir d'achat contraint. Les acteurs spécialisés doivent en parallèle rester précurseurs en matière d'éco-responsabilité. Il leur faut aller au-delà de leur promesse initiale portant sur l'origine bio et naturelle des ingrédients pour mieux se différencier des marques de grande consommation et de distributeur engagées sur le terrain de la naturalité à petits prix. Les spécialistes gagneraient également à convaincre les pharmaciens de l'efficacité de leur offre et à se faire une place dans ce circuit très spécifique et à fort potentiel. Les ventes de dermocosmétiques représentent 3,5 Md€ et sont en plein essor… Dès lors, quelles stratégies adopter pour se développer dans le réseau officinal ? Quels sont les leviers pour améliorer l'empreinte environnementale de l'offre ? Et quelles sont les perspectives du marché des cosmétiques bio et naturels d'ici 2026 au sein des différents circuits ?
Comment dynamiser et rentabiliser les enseignes de la boulangerie, des terminaux de cuisson et de la pâtisserie face à aux nouveaux modes de consommation ? Notre étude exclusive dévoile 10 leviers clés pour accélérer la croissance des chaînes, se différencier dans un secteur très compétitif et restaurer ses marges d'exploitation.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pertinentes pour se renforcer sur le segment très disputé de la pause-déjeuner. En effet, face à la baisse structurelle de la consommation de pain, les boulangeries doivent davantage se tourner vers la vente de produits de petite restauration alors que les sandwiches, pizzas, quiches, burgers et boissons représentent déjà 17% du chiffre d'affaires des boulangeries. Il est également essentiel que les chaînes de boulangerie-pâtisserie assurent un développement cohérent de leurs points de vente sur le territoire, élargissent leurs zones de chalandise et améliorent l'attractivité des magasins. Elles doivent en parallèle diminuer leurs coûts dans le but de redresser des marges tombées à très bas niveaux. Dès lors, quelles sont précisément les pistes à explorer pour massifier les achats et externaliser une partie de la production ? Quelles approches sont à privilégier pour diversifier de façon rentable son implantation géographique ? Et comment mieux profiter de l'essor de la consommation hors domicile et des nouvelles tendances du fast food et des coffee shops ?
Comment générer de la croissance sur un marché du vélo entré en phase de maturité ? Notre étude exclusive identifie 10 stratégies novatrices pour tirer parti au mieux des nouvelles tendances du marché et se différencier dans un contexte d'hyper concurrence, aussi bien dans la fabrication que dans la distribution de cycles.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies des distributeurs, confrontés au brutal coup d'arrêt des ventes de vélos neufs. La riposte s'organise en développant la location longue durée et les offres de vélos électriques d'occasion. La priorité est également donnée au segment haut de gamme, plus résilient, et à la fidélisation des clients via le service après-vente. Nous analysons aussi en détail les perspectives et les stratégies des start-up sur les marchés en forte croissance du vélo de fonction et du vélo reconditionné. Enfin, notre étude décrypte les dynamiques industrielles et les axes de développement des constructeurs et équipementiers pour faire bondir leur production made in France. Dans ce contexte, quelles sont les perspectives de croissance après une année 2023 très difficile ? Quels sont les segments du marché les plus prometteurs ? La filière française du vélo peut-elle vraiment renaître à l'heure où la tentation est grande de relancer la demande en cassant les prix ?
Comment les fournisseurs de la restauration peuvent-ils soutenir la croissance de leur activité face à un pouvoir d'achat sous pression et à de fortes contraintes réglementaires ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour explorer de nouveaux marchés, fidéliser les clients et contribuer au développement d'une alimentation saine et durable.
Nous mettons en particulier l'accent sur les solutions pour construire des filières d'approvisionnement en produits locaux et pour décarboner efficacement la supply chain. Les grossistes et cash & carry doivent en parallèle se différencier sur un marché hyperconcurrentiel où les arbitrages des ménages limitent les dépenses en services de restauration et in fine les volumes d'achats des restaurateurs. Mais pour réellement se distinguer, il faut bien plus qu'un large assortiment de produits à des prix compétitifs, une logistique efficace et une expertise métier pointue Dès lors, comment réellement fidéliser les restaurateurs, en particulier les indépendants ? Sur quels segments de marché renforcer l'offre ? Et quelles actions prioriser pour optimiser les flux logistiques d'un point de vue environnemental ?
Le marché de la cigarette électronique peut compter sur un nombre record de vapoteurs. Les fumeurs en particulier s'orientent de plus en plus vers la e-cig face à la hausse des prix du tabac. Facilement accessibles chez les buralistes, ces produits sont distribués au sein des 3 000 vape shops qui poursuivent leur expansion sur le territoire. Ces circuits s'appuient aussi sur l'énorme succès des e-cigarette jetables ou puffs qui séduisent les vapofumeurs et les neovapoteurs, à commencer par les plus jeunes.
Le gouvernement a cependant annoncé l'interdiction des puffs jetables en 2024. D'autres mesures pourraient rapidement être prises en France et en Europe pour enrailler l'essor de la vape, davantage suspecter d'être une passerelle vers le tabagisme plutôt qu'un moyen de s'en détourner. En parallèle, les fabricants de e-liquides made in France doivent prendre le virage des systèmes fermés qui progressent fortement sous l'impulsion des marques des géants du tabac. Dans ce contexte, quelles sont les stratégies possibles pour les acteurs ? Quels sont les leviers des marques et des fabricants pour adapter leur offre à la nouvelle réglementation ? Comment capitaliser sur les atouts des puffs tout en proposant des produits plus durables ? Et quelles sont les réelles perspectives du marché à l'horizon 2026 ?
UNE ÉTUDE POUR :
Stimuler la réflexion et améliorer la prise de décision
Dans cette étude, les experts Xerfi livrent leurs recommandations stratégiques face aux mutations du marché de la cigarette électronique et à ses perspectives. Le rapport intègre une estimation du chiffre d'affaires du marché de la cigarette électronique ainsi que nos prévisions exclusives sur son évolution jusqu'en 2026. Quel est le potentiel de croissance du marché français ? Quel sera l'impact de l'interdiction à venir des puffs et plus globalement des menaces réglementaires qui planent sur la vape ?
Décrypter les évolutions de la demande et de la réglementation
L'étude propose une analyse des principales motivations des vapoteurs et de leurs préférences de consommation : type de e-cig, consommation moyenne de e-liquide, arômes plébiscités, concentration de nicotine, etc. Quelle est la part des jeunes vapoteurs ? Quelles sont les mesures réglementaires actuellement envisagées par les pouvoirs publics en France et en Europe ?
Comprendre les stratégies des acteurs et les évolutions de la concurrence
Ce rapport dresse un panorama détaillé et chiffré des principales marques de cigarettes électronique et de e-liquide en France, dont celles des géants du tabac. Il analyse également les caractéristiques et les stratégies des trois principaux circuits de distribution : boutiques de vape, spécialistes de la vente en ligne et buralistes. Quels circuits parviennent à tirer leur épingle du jeu ? Quelles sont leurs stratégies pour se démarquer ?
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