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Les gestionnaires de data centers se retrouvent face à une équation complexe : comment accompagner leur croissance fulgurante tout en restant sobres sur le plan énergétique, dans un contexte de foncier rare et d'importantes contraintes réglementaires ? Notre étude exclusive met en lumière les leviers clés pour relever ce défi et libérer le plein potentiel de ce marché.
La demande en hébergement de données, en puissance de calcul et en services numériques connaît un développement exponentiel, portée par l'essor de l'intelligence artificielle, du cloud et du streaming. Mais l'offre ne suit pas. Les projets de construction sont ralentis par la complexité des procédures, la rareté des terrains constructibles et les délais de raccordement au réseau électrique. Cette inadéquation entre l'offre et la demande met le secteur sous tension et rend urgente la refonte des stratégies immobilières. D'autant que l'IA, notamment dans ses formes génératives, impose de nouveaux standards techniques et nécessite des infrastructures spécifiques, plus puissantes et plus gourmandes en énergie. Dans ce contexte, un autre enjeu majeur se dessine : celui de l'empreinte environnementale. Les émissions carbone du secteur s'envolent, rendant la performance énergétique non plus optionnelle, mais essentielle. Dès lors, quels choix technologiques et immobiliers permettront de sortir de cette impasse ? Et à quoi ressemblera le paysage des data centers à l'horizon 2027 ?
Comment les industriels français de l'aéronautique peuvent-ils accroître leur cadence de production sans compromettre leur compétitivité ? En complément d'un scénario d'évolution exclusif du secteur, notre étude identifie les leviers clés pour répondre aux attentes croissantes des donneurs d'ordres en matière de délais, de prix et de qualité.
Cette montée en puissance, rendue indispensable par des carnets de commandes historiquement élevés, intervient alors que la production nationale demeurait, fin 2024, inférieure de 25% à son niveau d'avant-crise sanitaire. Pour répondre à cette exigence, les industriels doivent renforcer leur outil productif : recruter des profils qualifiés, investir dans de nouvelles capacités et accélérer la modernisation des procédés. Ces efforts se heurtent toutefois à une pénurie de main-d'œuvre et à une pression continue sur les marges. En parallèle, la sécurisation des chaînes d'approvisionnement reste un enjeu stratégique. Les tensions géopolitiques et commerciales aggravent des difficultés, notamment sur les composants critiques. L'essor de l'avionneur chinois Comac rebat par ailleurs les cartes de la concurrence mondiale. Les acteurs français doivent alors faire évoluer leurs offres et procédés industriels pour accroître la valeur apportée aux clients sans compromettre leur compétitivité-prix. Dès lors, quelles solutions concrètes permettent d'améliorer l'offre et de se positionner sur les segments porteurs ? Comment limiter les risques de rupture dans la supply chain ? Et quelles stratégies adopter pour accélérer la montée en productivité ?
Comment les exploitants de stations de recharge peuvent-ils améliorer la rentabilité de leurs installations malgré des coûts d'infrastructure élevés et une demande fluctuante ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour optimiser les opérations, rendre les bornes publiques plus attractives et développer les revenus des acteurs.
Nous mettons en particulier en lumière les opportunités ouvertes par les solutions d'intelligence artificielle pour réduire l'indisponibilité des bornes et accroître leur fréquentation. Une évolution indispensable à l'heure où le contexte concurrentiel se durcit. Le parc de bornes publiques devrait en effet plus que doubler en France d'ici 2030 pour dépasser 400 000 unités, au risque d'entraîner une offre surabondante et de retarder le retour sur investissement des acteurs. Dans ce contexte où la compétition s'accentue, les gestionnaires doivent aussi se démarquer en améliorant significativement l'expérience utilisateur. Les clients, en particulier ceux qui dépendent des bornes publiques pour recharger leurs véhicules, exigent des services fiables, rapides et conviviaux. Un autre enjeu majeur consiste à optimiser l'approvisionnement en électricité des infrastructures pour se protéger de la volatilité des prix de l'énergie. Dès lors, comment les exploitants peuvent-ils concrètement adapter leur modèle économique ? Comment concilier extension des réseaux de recharge et rentabilité ? Et quels leviers pour se différencier de concurrents toujours plus nombreux ?
Comment les marques de compléments alimentaires peuvent-elles se différencier et renforcer leur attractivité sur un marché dynamique mais hyper-concurrentiel ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers d'actions clés pour à la fois renouveler l'offre de produits nutraceutiques et crédibiliser leurs promesses.
Nous mettons en particulier en évidence des pistes innovantes pour développer des gammes autour de la prévention santé et la naturalité des ingrédients. La croissance des ventes reste en effet très dépendante des nouveautés mises sur le marché. Ce phénomène est particulièrement flagrant dans les produits minceur où les nouvelles références évincent les anciennes qui ont pu décevoir pour leur manque d'efficacité. Par ailleurs, nous proposons des actions concrètes pour mieux crédibiliser les promesses de la nutrithérapie et ainsi espérer séduire les clients plus hésitants. 20% des Français se déclarent sceptiques quant aux bienfaits de ces produits, ce qui indique que le potentiel du marché n'est pas pleinement exploité. Les médecins sont également nombreux à ne pas croire aux vertus des compléments alimentaires, notamment en l'absence de données probantes. Dès lors, comment intégrer une dimension scientifique à l'offre pour rendre les promesses plus crédibles ? Quels leviers pour profiter pleinement des nouvelles attentes des Français sur les terrains de la prévention et de la naturalité ? Après le segment des probiotiques, celui des postbiotiques mérite-t-il d'être investi ?
Comment les spécialistes de l'efficacité énergétique peuvent-ils pérenniser la forte croissance de leur activité malgré la crise du bâtiment ? Notre étude exclusive identifie 10 actions clés pour démontrer le rapport coût-bénéfice de tels projets et tirer parti des enjeux autour de la décarbonation de l'immobilier.
Nous mettons notamment en lumière des mesures innovantes pour prouver la pertinence et l'efficacité des offres. Les prospects déplorent en effet l'absence d'un cadre de confiance et d'outils d'aide à la décision afin d'objectiver les gains énergétiques et financiers de ces travaux. La fragmentation élevée de l'offre et son manque de lisibilité rendent également les arbitrages difficiles. En parallèle, les acteurs doivent répondre aux nouveaux besoins des clients autour des sujets du smart building et des bâtiments durables, et ne plus se limiter à la seule performance énergétique. La directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) a en effet élargi en 2022 l'obligation à environ 50 000 sociétés de réaliser un bilan carbone et de mettre en place une stratégie de réduction des émissions. Cette pression réglementaire entraîne par ailleurs une demande accrue pour des solutions innovantes et efficaces. L'intelligence artificielle s'impose à cet égard comme un outil essentiel. Dès lors, comment mobiliser cette technologie pour créer des solutions sur mesure, optimisées et adaptées aux besoins des clients ? Comment les rassurer sur les résultats attendus à la fin d'un projet ? Et quelles perspectives pour le marché d'ici à 2027 ?
Comment les agriculteurs et les coopératives peuvent-ils tirer parti des nouvelles technologies pour renforcer leur productivité et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie plus précisément 10 leviers clés afin d'exploiter tout le potentiel de l'intelligence artificielle (IA) dans le domaine de l'agriculture.
Nous mettons en particulier en évidence les solutions d'IA pour permettre à la filière agricole de réduire son empreinte écologique, par exemple à travers une utilisation plus ciblée des engrais et phytosanitaires. L'agriculture est en effet responsable de près de 90% des émissions de protoxyde d'azote, un gaz dont le pouvoir réchauffant est 300 fois plus élevé que celui du CO2. Par ailleurs, les progrès en matière d'IA permettent d'accroître la précision et l'efficacité des robots, drones ou satellites et ainsi de répondre aux pénuries de main-d'œuvre. Ces outils associés à l'intelligence artificielle augurent aussi des gains de productivité considérables grâce à l'automatisation et à l'optimisation des pratiques culturales, contribuant à améliorer les rendements des cultures et à réduire les coûts. Dès lors, quels sont les leviers technologiques les plus pertinents pour renforcer la compétitivité des exploitations ? Comment la robotique et l'IA apportent-elles des solutions aux problèmes de recrutement ? Et quels sont les partenaires sur lesquels la filière agricole doit désormais compter ?
Comment les secteurs industriels peuvent-ils stimuler leur croissance et gagner en compétitivité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés afin de tirer le meilleur parti de l'IA, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les actions requises pour raccourcir le temps de mise sur le marché des nouveaux produits et équipements. En effet, les progrès dans l'apprentissage de modèles, l'IA générative et l'accroissement des capacités de calcul simplifient les étapes de prototypage et de test. D'autres cas d'usage visent à optimiser les approvisionnements, à réduire les coûts, à minimiser les délais de production, et à garantir une qualité supérieure. Pour autant, la maturité des industriels en matière d'IA varie considérablement selon leur taille. Tandis que la plupart des groupes du CAC 40 ont déjà déployé des projets autour de l'IA et des équipes internes dédiées au développement d'applications, les ETI et PME vont devoir accélérer en adoptant des stratégies d'open innovation. Les partenariats avec des start-up sont notamment un moyen d'automatiser les activités répétitives et chronophages des fonctions de support avec la promesse pour les équipes de se concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée. Dès lors, quels sont les fournisseurs sur lesquels il faut désormais compter ? Et quelles utilisations concrètes de l'IA privilégier pour chaque maillon : conception, production, maintenance, fonctions de support, etc. ?
Comment les professionnels de la construction bois peuvent-ils transformer les défis écologiques en opportunités de marché ? Notre étude exclusive identifie 10 actions clés pour tirer pleinement parti des nouvelles normes environnementales dans le bâtiment et dynamiser l'activité des entreprises de la filière.
Nous mettons en particulier en lumière les marchés les plus attractifs et accessibles afin de moins dépendre de la réalisation de maisons individuelles neuves. Ce marché est en effet en difficultés entre les problèmes d'accès à l'emprunt immobilier et l'objectif de Zéro artificialisation nette (ZAN). Les acteurs doivent en parallèle opérer sur des chantiers de grande envergure alors que la réglementation environnementale RE2020 ouvre d'immenses opportunités. En effet, les indices carbone maximum de la construction vont être abaissés d'environ 15% en 2025, avant de nouvelles réductions en 2028 et 2031. Ces règles vont largement favoriser l'usage de matériaux biosourcés comme le bois, à condition qu'il soit compétitif. Actuellement, une structure en bois coûte de 5% à 10% plus cher qu'une construction comparable en béton. Dès lors, comment améliorer la compétitivité grâce aux modules 3D et au jumeau numérique ? Quels segments offrent les perspectives de croissance les plus élevées ? Et comment faire du bois un matériau clé dans le cadre de grands projets immobiliers ?
Comment les sociétés de recherche sous contrat (CROs) peuvent-elles piloter la diversification, le changement et l'innovation face à la complexité croissante de la recherche clinique et la pression des laboratoires ? Notre étude exclusive identifie 10 actions essentielles pour optimiser les coûts et les délais des essais cliniques, reconfigurer les relations avec les donneurs d'ordres et atténuer la dépendance au secteur pharmaceutique.
Nous examinons en particulier de quelle manière l'intelligence artificielle, les essais in silico ou encore la décentralisation des essais pourraient infléchir la courbe des coûts et des délais de mise sur le marché des médicaments. Une problématique cruciale alors que la recherche clinique totalise les deux tiers des coûts et la moitié du temps de développement des nouveaux traitements. Les CROs doivent en parallèle activer les bons leviers de différenciation devant la volonté des big pharma de réduire le nombre de sous-traitants et de faire jouer la concurrence. Il s'agit aussi pour les sociétés de recherche sous contrat de sécuriser et lisser leurs revenus dans un métier où les délais de paiement sont extrêmes. Elles doivent pour cela étendre leurs capacités de tests à des applications non pharmaceutiques. Dès lors, où se trouvent les gisements de croissance les plus prometteurs ? Et comment améliorer significativement l'offre de services des CROs ?
Comment générer de la croissance sur un marché du vélo entré en phase de maturité ? Notre étude exclusive identifie 10 stratégies novatrices pour tirer parti au mieux des nouvelles tendances du marché et se différencier dans un contexte d'hyper concurrence, aussi bien dans la fabrication que dans la distribution de cycles.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies des distributeurs, confrontés au brutal coup d'arrêt des ventes de vélos neufs. La riposte s'organise en développant la location longue durée et les offres de vélos électriques d'occasion. La priorité est également donnée au segment haut de gamme, plus résilient, et à la fidélisation des clients via le service après-vente. Nous analysons aussi en détail les perspectives et les stratégies des start-up sur les marchés en forte croissance du vélo de fonction et du vélo reconditionné. Enfin, notre étude décrypte les dynamiques industrielles et les axes de développement des constructeurs et équipementiers pour faire bondir leur production made in France. Dans ce contexte, quelles sont les perspectives de croissance après une année 2023 très difficile ? Quels sont les segments du marché les plus prometteurs ? La filière française du vélo peut-elle vraiment renaître à l'heure où la tentation est grande de relancer la demande en cassant les prix ?
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