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Comment les professionnels du coliving peuvent-ils adapter leur offre face à un contexte de plus en plus hostile ? En plus de prévisions exclusives sur le marché, notre étude révèle les leviers pour élargir le ciblage des utilisateurs et développer des projets réellement compatibles avec les attentes des collectivités locales.
Si la demande locative reste très dynamique, le coliving implanté dans le parc immobilier ancien bute sur des freins majeurs : flou juridique sur son statut, encadrement des loyers, alourdissement de la taxe foncière et opposition croissante des élus. Autant de menaces qui fragilisent leur équilibre économique. La réponse ? Des modèles plus alignés avec les politiques urbaines et capables de s'adapter aux futures contraintes légales. Les grands ensembles — plusieurs dizaines ou centaines d'unités — en offrent déjà la démonstration. Plus lisibles pour les collectivités, mieux encadrés juridiquement, ils séduisent un spectre élargi d'investisseurs, des fonds privés aux opérateurs publics comme CDC Habitat. Mais l'avenir du coliving ne se joue pas seulement dans la taille des projets. Il repose aussi sur un ciblage plus fin. Salariés en mission, actifs en mobilité, familles en transition… ces profils ouvrent un relais de croissance au-delà du seul segment étudiant et jeunes actifs. Dès lors, quels sont les publics à plus fort potentiel ? Comment concevoir et financer des projets d'envergure, alignés sur les attentes des équipes municipales ? Par ailleurs, comment définir le bon modèle de gestion pour sécuriser l'exploitation et garantir la rentabilité des résidences de coliving ?
Face à la pression des prix, à la volatilité des consommateurs et à la guerre des canaux, le secteur du retail vacille. Comment dès lors prolonger et intensifier une transformation digitale devenue essentielle pour recréer de la valeur durable ? Notre étude met en lumière les actions à mettre en œuvre par les acteurs du commerce B2C — franchisés, grandes surfaces, chaînes spécialisées ou pure players en ligne — pour s'adapter, se différencier et retrouver de la performance.
Les distributeurs subissent aujourd'hui plusieurs contraintes. D'un côté, la pression sur le pouvoir d'achat et la réorientation de la consommation vers les services freinent la croissance des ventes de biens. De l'autre, l'intensification de la concurrence des plateformes numériques à bas prix alimente une spirale déflationniste difficile à enrayer. En conséquence les marges s'érodent, le trafic en magasin plafonne et les modèles historiques centrés sur le volume et l'implantation physique montrent leurs limites. L'enjeu n'est plus d'amorcer la transition numérique, mais d'en franchir une nouvelle étape décisive. Une stratégie qui implique de réorienter les investissements vers des leviers technologiques à fort impact : intelligence artificielle, pilotage prédictif, ship-from-store, retail media... Dès lors, quels leviers digitaux activer pour enrichir l'expérience client ? Comment mieux optimiser la tarification et la supply chain ? Et quels perspectives se dessinent pour le secteur du retail d'ici 2027 ?
Les gestionnaires de data centers se retrouvent face à une équation complexe : comment accompagner leur croissance fulgurante tout en restant sobres sur le plan énergétique, dans un contexte de foncier rare et d'importantes contraintes réglementaires ? Notre étude exclusive met en lumière les leviers clés pour relever ce défi et libérer le plein potentiel de ce marché.
La demande en hébergement de données, en puissance de calcul et en services numériques connaît un développement exponentiel, portée par l'essor de l'intelligence artificielle, du cloud et du streaming. Mais l'offre ne suit pas. Les projets de construction sont ralentis par la complexité des procédures, la rareté des terrains constructibles et les délais de raccordement au réseau électrique. Cette inadéquation entre l'offre et la demande met le secteur sous tension et rend urgente la refonte des stratégies immobilières. D'autant que l'IA, notamment dans ses formes génératives, impose de nouveaux standards techniques et nécessite des infrastructures spécifiques, plus puissantes et plus gourmandes en énergie. Dans ce contexte, un autre enjeu majeur se dessine : celui de l'empreinte environnementale. Les émissions carbone du secteur s'envolent, rendant la performance énergétique non plus optionnelle, mais essentielle. Dès lors, quels choix technologiques et immobiliers permettront de sortir de cette impasse ? Et à quoi ressemblera le paysage des data centers à l'horizon 2027 ?
Comment les EdTech peuvent-elles poursuivre leur croissance malgré le recul des financements, la pression sur la rentabilité et la dégradation des perspectives économiques ? Notre analyse met en lumière les mutations du secteur, les obstacles à lever ainsi que les opportunités d'affaires qui s'offrent aux acteurs du marché.
Après une décennie d'expansion accélérée par la digitalisation de l'enseignement et la crise sanitaire, les EdTech doivent désormais composer avec une nouvelle donne. Les levées de fonds se raréfient, les projets en amorçage suscitent moins d'intérêt, et les financements se concentrent sur les structures les plus matures. Cette inflexion marque une rupture. La croissance à tout prix cède la place à l'impératif de rentabilité rapide. Or, beaucoup de modèles peinent à répondre à cette exigence. L'intelligence artificielle émerge à ce titre comme un levier central. Elle permet de proposer des solutions ultra-personnalisées, tout en générant des gains de productivité cruciaux. Par ailleurs, l'adoption des offres EdTech reste inégale selon les segments. Elles peinent notamment à s'imposer sur les marchés publics et à convaincre les enseignants. Face à cela, comment les EdTech peuvent-elles mieux intégrer les besoins des enseignants et des institutions ? Quelles perspectives se dessinent pour chacun des segments d'ici 2027 alors que les tensions géoéconomiques se multiplient ? La consolidation autour de quelques leaders est-elle inévitable ?
Comment le marché du smart building peut-il véritablement changer d'échelle ? En plus de notre scénario exclusif sur ses perspectives d'ici 2030, notre étude met en lumière les enjeux, défis et opportunités stratégiques afin d'accélérer l'essor des bâtiments intelligents sur le territoire.
Porté par les impératifs de transition énergétique et la numérisation du parc immobilier, le marché français du smart building affiche un fort potentiel de croissance. Ce dynamisme est d'autant plus prometteur que seuls 15% des bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² sont aujourd'hui équipés de systèmes de gestion technique du bâtiment (GTB). Un taux qui se révèle très en deçà des exigences fixées par le décret Tertiaire imposant une réduction significative de la consommation énergétique d'ici 2030. À court terme, toutefois, le secteur reste freiné par une conjoncture défavorable dans la construction de bureaux. Pour libérer tout son potentiel, la filière devra aussi surmonter plusieurs défis de taille, tant techniques qu'économiques : interopérabilité des solutions, cybersécurité des équipements connectés et financement des installations. Dans ce contexte, quelles sont les réelles perspectives de ce marché à l'horizon 2030 ? Quels segments sont les plus prometteurs ? Et quel sera le rôle de l'intelligence artificielle dans la généralisation des bâtiments connectés ?
Comment les banques et les assureurs peuvent-ils tirer parti de l'intelligence artificielle (IA) pour stimuler leur croissance et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie les cas d'usage les plus pertinents pour atteindre l'excellence opérationnelle, fluidifier le parcours client et améliorer la gestion des risques.
Alors que les banques et les assureurs ont d'ores et déjà débloqué des budgets conséquents et multiplié les projets pilotes autour de l'IA, l'enjeu est désormais de consolider les gains de productivité. Déployées à plus grande échelle, ces technologies promettent en effet d'économiser d'importantes ressources et de gagner du temps sur de nombreuses opérations de back-office. Certaines applications d'IA améliorent également la satisfaction client grâce à un traitement plus efficace des interactions à toutes les étapes, en particulier dès l'entrée en relation. Cependant, tous les acteurs ne sont pas au même stade de maturité en matière de déploiement de l'IA, car l'adoption de ces technologies se heurte encore à des difficultés concrètes. Le recours à l'IA pose notamment des questions de sécurité des données, d'éthique et de transparence à l'égard des clients comme des collaborateurs. Dès lors, quels cas d'usage s'avèrent les plus prometteurs ? Quelles sont les stratégies d'implémentation de l'IA chez les banques et les assureurs ? Et quels partenaires sont les mieux placés pour aider à intégrer l'IA dans les process métiers ?
Comment les professionnels du droit peuvent-ils enrichir la qualité de services tout en améliorant leur efficacité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie les cas d'usage de l'IA les plus pertinents pour optimiser les performances opérationnelles des organisations, répondre aux enjeux de sécurité et de confidentialité des données, et renforcer les processus de conformité et de lutte contre la fraude.
L'IA générative propulse en réalité les métiers juridiques dans une nouvelle ère. Ces technologies ouvrent la voie à des gains de productivité colossaux grâce à l'automatisation des tâches clés : veille juridique, rédaction d'actes, gestion des contrats, due diligences, transcription des entretiens… Mais l'IA doit également permettre aux juristes, avocats et notaires de rehausser la qualité de leurs services, un défi clé face au risque déflationniste qu'induit justement l'IA sur les activités juridiques de base. Les pistes sont nombreuses, de la mise en conformité à l'anticipation des décisions de justice, en passant par la sécurisation des données et la détection des risques de fraude. L'IA doit ainsi faciliter l'accès à de nouvelles sources de différenciation pour s'extraire d'une forte concurrence et des pressions tarifaires imposées par les clients. Dès lors, quels sont les prérequis essentiels pour optimiser les activités juridiques grâce à l'IA ? Comment utiliser l'IA pour augmenter la valeur ajoutée des prestations ? Et quels impacts les investissements en IA auront-ils sur la concurrence entre les cabinets juridiques et les fournisseurs d'IA ?
Quelles stratégies et innovations adopter pour s'imposer sur le marché de l'hydrogène bas carbone ? En plus d'analyser la demande prévisionnelle en France et dans le monde d'ici 2030-2050, notre étude exclusive identifie les leviers clés pour permettre aux entreprises de la filière de passer à l'échelle industrielle.
Nous mettons en particulier en lumière les actions pour améliorer la compétitivité de cette source d'énergie et répondre à la demande des secteurs clients tels que l'industrie lourde et le transport. En effet, de nombreux défis techniques et financiers restent à relever par les producteurs d'hydrogène, comme sécuriser l'approvisionnement en électricité verte à prix réduit, gérer efficacement l'intermittence des énergies renouvelables ou développer des projets plus modulaires. En parallèle, les entreprises du secteur doivent avoir une vision claire des évolutions technologiques possibles et se préparer à intégrer des équipements innovants à fort impact pour la filière. Il peut s'agir des électrolyseurs SOEC et AEM, de la plasmalyse du méthane, des piles à combustible sans platine, du stockage solide de l'hydrogène... Dès lors, quelles technologies de rupture permettent vraiment d'accroître la compétitivité de l'hydrogène bas carbone ? Quels seront les marchés clients les plus dynamiques ? Et quelles perspectives se dessinent pour la filière française ?
Comment les agriculteurs et les coopératives peuvent-ils tirer parti des nouvelles technologies pour renforcer leur productivité et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie plus précisément 10 leviers clés afin d'exploiter tout le potentiel de l'intelligence artificielle (IA) dans le domaine de l'agriculture.
Nous mettons en particulier en évidence les solutions d'IA pour permettre à la filière agricole de réduire son empreinte écologique, par exemple à travers une utilisation plus ciblée des engrais et phytosanitaires. L'agriculture est en effet responsable de près de 90% des émissions de protoxyde d'azote, un gaz dont le pouvoir réchauffant est 300 fois plus élevé que celui du CO2. Par ailleurs, les progrès en matière d'IA permettent d'accroître la précision et l'efficacité des robots, drones ou satellites et ainsi de répondre aux pénuries de main-d'œuvre. Ces outils associés à l'intelligence artificielle augurent aussi des gains de productivité considérables grâce à l'automatisation et à l'optimisation des pratiques culturales, contribuant à améliorer les rendements des cultures et à réduire les coûts. Dès lors, quels sont les leviers technologiques les plus pertinents pour renforcer la compétitivité des exploitations ? Comment la robotique et l'IA apportent-elles des solutions aux problèmes de recrutement ? Et quels sont les partenaires sur lesquels la filière agricole doit désormais compter ?
Comment les secteurs industriels peuvent-ils stimuler leur croissance et gagner en compétitivité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés afin de tirer le meilleur parti de l'IA, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les actions requises pour raccourcir le temps de mise sur le marché des nouveaux produits et équipements. En effet, les progrès dans l'apprentissage de modèles, l'IA générative et l'accroissement des capacités de calcul simplifient les étapes de prototypage et de test. D'autres cas d'usage visent à optimiser les approvisionnements, à réduire les coûts, à minimiser les délais de production, et à garantir une qualité supérieure. Pour autant, la maturité des industriels en matière d'IA varie considérablement selon leur taille. Tandis que la plupart des groupes du CAC 40 ont déjà déployé des projets autour de l'IA et des équipes internes dédiées au développement d'applications, les ETI et PME vont devoir accélérer en adoptant des stratégies d'open innovation. Les partenariats avec des start-up sont notamment un moyen d'automatiser les activités répétitives et chronophages des fonctions de support avec la promesse pour les équipes de se concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée. Dès lors, quels sont les fournisseurs sur lesquels il faut désormais compter ? Et quelles utilisations concrètes de l'IA privilégier pour chaque maillon : conception, production, maintenance, fonctions de support, etc. ?
Comment les acteurs de l'assurance peuvent-ils s'approprier l'intelligence artificielle (IA) pour accélérer leur transformation digitale et relever les défis de la cybersécurité ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour tirer pleinement parti de l'IA afin de proposer une expérience client augmentée et optimiser la structure de coûts.
Nous mettons en particulier en évidence l'importance de s'appuyer sur l'IA pour automatiser de nombreux maillons de la chaîne de valeur de l'assurance. Ces technologies promettent en effet d'économiser d'importantes ressources et de gagner du temps, permettant ainsi de réaffecter le personnel à des tâches à plus forte valeur ajoutée. Cette recherche d'efficacité devient d'ailleurs vitale pour les acteurs de l'assurance face à un contexte concurrentiel, économique, financier et climatique plus complexe. Mais l'adoption de ces technologies avancées sur fond de digitalisation croissante et du développement du télétravail créent une menace accrue de cyberattaques. La profession est dans le même temps obligée de se conformer au règlement européen DORA ou digital operational resilience act qui propose un cadre européen harmonisé et plus exigeant que les textes précédents. Dès lors, comment capitaliser sur les dernières couches technologiques pour répondre aux nouveaux enjeux de conformité ? Quels cas d'usage de l'IA prioriser pour optimiser les processus opérationnels et renouveler l'expérience client ? Et comment les assurtech peuvent-elles aider à développer une culture de l'innovation ?
Comment les acteurs de la filière énergie peuvent-ils stimuler leur croissance et gagner en compétitivité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés afin de tirer le meilleur parti de l'IA, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les actions requises pour maximiser les gains de productivité des énergéticiens grâce à l'exploitation optimale de ces technologies. Les progrès dans l'apprentissage de modèles, l'IA générative et l'accroissement des capacités de calcul vont en effet révolutionner cette industrie pour réduire les coûts de prospection d'hydrocarbures, optimiser l'emplacement des sites de production d'énergies vertes, automatiser les opérations de trading ou mieux contrôler les infrastructures énergétiques. Au-delà, l'IA offre la possibilité aux groupes de l'énergie de se positionner sur des services à haute valeur ajoutée, axés notamment sur les enjeux de sobriété énergétique et de décarbonation des clients. Dès lors, comment l'intelligence artificielle peut-elle conduire à des solutions énergétiques sur mesure ? Quels sont les fournisseurs sur lesquels il faut désormais compter ? Et quelles utilisations de l'intelligence artificielle privilégier selon son cœur de métier : producteur, gestionnaire de réseau, fournisseur, etc. ?
Comment mobiliser l'intelligence artificielle et la cybersécurité pour dynamiser la croissance des éditeurs face à la fin des plans de numérisation des établissements de santé ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour redéfinir les modèles économiques et opérationnels alors que les financements publics s'annoncent moins massifs et plus ciblés.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pour réduire la dépendance des éditeurs aux investissements publics tout en profitant des nouvelles attentes des clients en matière de solutions souveraines et sécurisées. Près de 600 cyberattaques sont en effet répertoriées chaque année dans les hôpitaux. Ces attaques informatiques, qui coûtent des millions d'euros de préjudices, menacent la continuité des soins et la réputation des établissements. L'intelligence artificielle (IA) présente pour sa part un potentiel disruptif majeur dans le secteur de la santé, promettant une productivité accrue et son utilisation se développe dans différentes étapes du système de soins. Toutefois, son déploiement sera probablement hétérogène entre les hôpitaux bien équipés en technologie et les cabinets indépendants en ville plus lents à digitaliser. Dès lors, comment les fournisseurs de solution logicielle peuvent-ils exploiter l'IA ? Et quelles diversifications dans un contexte où les aides publiques se tarissent ?
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