
Classement par date de parution
Comment les acteurs de l'assurance peuvent-ils adapter leurs dispositifs commerciaux à l'ère du numérique et de l'intelligence artificielle face à des clients qui restent attachés à leurs conseillers ? Notre étude exclusive décrypte les nouveaux choix opérés pour construire une stratégie unifiée, agile, où le digital et l'humain augmenté se complètent.
Aujourd'hui, la diversité des canaux s'impose comme la norme. Agences, centres d'appels, sites web, applis mobiles et réseaux sociaux coexistent. Pourtant, un déséquilibre persiste. L'agence physique reste le point de passage privilégié pour la souscription, tandis que le digital demeure cantonné aux étapes d'avant et d'après-vente. Or ce modèle s'essouffle avec l'arrivée en force des digital natives. Les assureurs sont obligés de rationaliser leurs réseaux, d'expérimenter de nouveaux formats et de développer des parcours 100% en ligne. Deux défis se dessinent. Le premier : coordonner efficacement les canaux alors que les partenariats BtoB et l'intermédiation gagnent du terrain. Le second : intégrer l'intelligence artificielle, non pour remplacer le conseiller, mais pour accroître son efficacité et transformer la relation client. À ces bouleversements s'ajoute une contrainte de taille avec le règlement européen FIDA attendu en 2027. En ouvrant l'accès aux données clients, il accélérera l'essor de l'assurance embarquée et instaurera une nouvelle ère de concurrence, plus vive, plus ouverte, plus risquée pour les acteurs traditionnels. Dès lors, quel équilibre inventer entre réseaux physiques et canaux en ligne ? Quels leviers permettront d'optimiser l'efficacité ? Et quelles perspectives pour les marchés de l'assurance d'ici 2027 ?
Comment renforcer la performance commerciale, maîtriser les coûts et améliorer l'expérience des assurés dans un environnement concurrentiel de plus en plus disputé ? Notre étude sur les mutuelles et groupes mutualistes d'assurance identifie les leviers clés pour se diversifier sur de nouveaux marchés et exploiter au mieux l'IA.
Les acteurs doivent relever un double défi dans un contexte de sinistralité croissante et de concurrence accrue. D'une part, la multiplication des événements climatiques extrêmes et la flambée des coûts de réparation fragilisent les équilibres techniques. D'autre part, l'essor des acquisitions et des alliances stratégiques redessine les rapports de force et accélère la course à la taille. Loin de freiner les ambitions, cette complexité agit comme un catalyseur d'innovation et de transformation. Le développement des technologies intelligentes et la digitalisation des processus offrent ainsi de puissants leviers d'optimisation opérationnelle. L'IA permet notamment aux assureurs d'affiner la gestion des risques, de fluidifier les parcours clients et d'automatiser de nombreuses tâches. Mais le véritable différenciateur se joue ailleurs. Il repose sur des offres enrichies et plus agiles. En multipliant les services, en personnalisant les prestations et en développant le multi-équipement, les assureurs pourront fidéliser davantage leurs sociétaires tout en élargissant leur base client. Dès lors, jusqu'où aller dans la diversification ? Comment les logiques de prévention peuvent-elles contenir le coût des sinistres ? Et quelles applications de l'IA sont les plus pertinentes pour le secteur ?
Comment les banques et les assureurs peuvent-ils tirer parti de l'intelligence artificielle (IA) pour stimuler leur croissance et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie les cas d'usage les plus pertinents pour atteindre l'excellence opérationnelle, fluidifier le parcours client et améliorer la gestion des risques.
Alors que les banques et les assureurs ont d'ores et déjà débloqué des budgets conséquents et multiplié les projets pilotes autour de l'IA, l'enjeu est désormais de consolider les gains de productivité. Déployées à plus grande échelle, ces technologies promettent en effet d'économiser d'importantes ressources et de gagner du temps sur de nombreuses opérations de back-office. Certaines applications d'IA améliorent également la satisfaction client grâce à un traitement plus efficace des interactions à toutes les étapes, en particulier dès l'entrée en relation. Cependant, tous les acteurs ne sont pas au même stade de maturité en matière de déploiement de l'IA, car l'adoption de ces technologies se heurte encore à des difficultés concrètes. Le recours à l'IA pose notamment des questions de sécurité des données, d'éthique et de transparence à l'égard des clients comme des collaborateurs. Dès lors, quels cas d'usage s'avèrent les plus prometteurs ? Quelles sont les stratégies d'implémentation de l'IA chez les banques et les assureurs ? Et quels partenaires sont les mieux placés pour aider à intégrer l'IA dans les process métiers ?
Face à un environnement concurrentiel redéfini par l'open finance et par les nouvelles technologies, comment optimiser la relation client dans la banque et l'assurance ? Notre étude exclusive dévoile les meilleurs cas d'usage pour automatiser les process et proposer une expérience client différenciante grâce à l'intelligence artificielle (IA).
L'IA représente un levier stratégique alors que la directive européenne FIDA ouvre l'accès aux données financières et assurantielles à des tiers, imposant de nouveaux standards de compétitivité. L'IA automatise en effet les tâches répétitives, réduit les coûts et libère du temps aux équipes, leur permettant de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. Loin de remplacer le conseiller, l'IA le complète, l'amplifie et lui permet de se recentrer sur l'essentiel. Mais son adoption pose des défis majeurs aux organisations : garantir l'explicabilité des modèles, limiter leur empreinte énergétique, assurer une accessibilité pour tous les clients et faciliter l'appropriation des outils par les collaborateurs. Réussir cette transition ne se limite pas à un déploiement technologique. Elle exige une transformation en profondeur, à la fois culturelle et organisationnelle. Dès lors, comment tirer parti de l'IA pour une relation client plus fluide et personnalisée, sans tomber dans la standardisation ? Et comment redonner du sens à l'accompagnement humain et réinventer le rôle des agences face à la baisse de leur fréquentation ?
Comment les banques peuvent-elles conquérir les professionnels et très petites entreprises (TPE) ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour répondre aux nouvelles attentes de cette clientèle, séduire les entrepreneurs dès la création de leur activité et se différencier sur ce marché très compétitif.
La concurrence s'intensifie en effet avec l'essor des néobanques et des offres « comptes pro » portées par les comptatech, legaltech et fintech et qui couvrent également les besoins administratifs des TPE. Les banques traditionnelles doivent dès lors adopter des stratégies d'acquisition client offensives pour se conformer aux nouveaux standards dictés par ces intervenants. L'intelligence artificielle peut par exemple révolutionner l'interaction avec les prospects en simplifiant et en accélérant les processus réglementaires nécessaires à l'ouverture de comptes professionnels. Il est par ailleurs essentiel pour les banques d'élargir leur offre de services afin de répondre aux exigences des professionnels qui recherchent des solutions simples pour gérer leur activité au quotidien. Les établissements bancaires vont devoir en parallèle agir pour maîtriser le risque client face à la forte remontée des défaillances d'entreprises. Dès lors, quelles sont précisément les mesures pour déployer une stratégie commerciale innovante et à fort impact auprès de cette clientèle ? Comment capter l'attention des entrepreneurs ? Et quel avenir pour le marché d'ici 2027 ?
Alors que l'avenir du système de retraite par répartition reste incertain, la capitalisation s'impose peu à peu comme un complément pour garantir des revenus pérennes aux Français après leur vie active. Dès lors, comment encourager l'essor des produits d'épargne retraite supplémentaire et en accélérer l'adoption ? Notre étude identifie les leviers clés pour élargir la diffusion des plans d'épargne retraite (PER) à de nouveaux segments de clientèle et rendre ces solutions plus attractives auprès de la population.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies pour étendre la prospection au-delà des ménages aisés, jusqu'ici cœur de cible des acteurs du secteur. Alors que plus de 80% des Français ne disposent pas de PER et que le financement des retraites demeure un sujet majeur, diversifier les canaux d'acquisition apparaît comme une priorité pour favoriser l'adoption de ce produit. Une approche pédagogique est aussi indispensable afin de sensibiliser les entreprises et promouvoir l'épargne collective. Par ailleurs, les nouvelles technologies offrent des opportunités pour optimiser la souscription et la gestion des PER. Certaines solutions basées sur l'intelligence artificielle (IA) permettent, par exemple, d'affiner les arbitrages d'investissement et de limiter les risques de perte à court terme. Dès lors, quels sont précisément les apports des nouvelles technologies pour améliorer la souscription et la gestion des PER ? Quelles actions concrètes peuvent encourager leur souscription ? Et quelles évolutions attendre du marché d'ici 2026 ?
Comment les sociétés d'assistance peuvent-elles tirer pleinement parti de la révolution de l'intelligence artificielle et se diversifier face à la maturité de leur cœur de métier ? Notre étude identifie 10 leviers clés pour améliorer la performance de la relation client et étendre les services d'assistance à de nouveaux domaines.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies de développement les plus pertinentes, alors que le volume de prises en charge plafonne sur les segments phares de l'assistance automobile, santé et voyage. En effet, les Français sont déjà largement équipés, le plus souvent via leurs contrats d'assurance. Pour élargir leur champ d'action, les assisteurs doivent proposer des activités déconnectées des seules situations d'urgence et davantage ancrées dans le quotidien des Français, par exemple dans l'intermédiation en travaux de rénovation. Il est également crucial d'explorer les opportunités offertes par les technologies d'intelligence artificielle (IA) dans le but d'améliorer la performance des téléconseillers. Au-delà des agents virtuels de nouvelle génération, qui promettent de réduire le délai de traitement des dossiers, certaines technologies d'IA peuvent aussi aider à mieux identifier les fraudes. Dès lors, où se situent les gisements de croissance ? Quelles offres spécifiques peuvent favoriser le réflexe assistance des clients ? Et quels sont précisément les apports de l'IA pour accroître l'efficacité du service clients ?
Comment les mutuelles du Code de la mutualité peuvent-elles optimiser leur croissance et leur compétitivité face à des conditions de marché durablement dégradées ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers d'actions clés pour se diversifier de façon pérenne au-delà des alliances et mouvements de consolidation en cours, et améliorer leur efficacité opérationnelle.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies innovantes au regard d'une configuration de marché exceptionnelle. Les mutuelles subissent une concurrence accrue dans le segment de l'assurance santé qui constitue encore 83% de leurs revenus. En 20 ans, leur part de marché a chuté de 60% à 47%. Elles sont à présent tenues de s'adapter à la réforme de la protection sociale dans la fonction publique. 5,7 millions de fonctionnaires vont ainsi passer à des contrats collectifs. Un changement qui remet un peu plus en cause leur modèle historique centré sur les solutions individuelles. Il leur est également indispensable de stopper la dégradation de leurs équilibres techniques provoquée par l'envolée des remboursements et de nouveaux transferts de charges. Dès lors, comment les processus opérationnels peuvent-ils être optimisés grâce à l'intelligence artificielle ? Quelles diversifications privilégier pour favoriser le multi-équipement et la fidélisation des adhérents ? Quels marchés investir pour conquérir de nouvelles clientèles ?
Comment les acteurs de l'assurance peuvent-ils s'approprier l'intelligence artificielle (IA) pour accélérer leur transformation digitale et relever les défis de la cybersécurité ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour tirer pleinement parti de l'IA afin de proposer une expérience client augmentée et optimiser la structure de coûts.
Nous mettons en particulier en évidence l'importance de s'appuyer sur l'IA pour automatiser de nombreux maillons de la chaîne de valeur de l'assurance. Ces technologies promettent en effet d'économiser d'importantes ressources et de gagner du temps, permettant ainsi de réaffecter le personnel à des tâches à plus forte valeur ajoutée. Cette recherche d'efficacité devient d'ailleurs vitale pour les acteurs de l'assurance face à un contexte concurrentiel, économique, financier et climatique plus complexe. Mais l'adoption de ces technologies avancées sur fond de digitalisation croissante et du développement du télétravail créent une menace accrue de cyberattaques. La profession est dans le même temps obligée de se conformer au règlement européen DORA ou digital operational resilience act qui propose un cadre européen harmonisé et plus exigeant que les textes précédents. Dès lors, comment capitaliser sur les dernières couches technologiques pour répondre aux nouveaux enjeux de conformité ? Quels cas d'usage de l'IA prioriser pour optimiser les processus opérationnels et renouveler l'expérience client ? Et comment les assurtech peuvent-elles aider à développer une culture de l'innovation ?
Comment stimuler la demande en assurance-vie en conjuguant le développement des unités de compte (UC) et la sécurité financière ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour innover dans les offres et dans l'accompagnement client afin de piloter la délicate transition vers les UC alors que ces supports totalisent déjà un quart des 1 900 milliards d'euros d'encours de l'assurance-vie.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pour rendre les UC plus attractives aux yeux des clients. Les unités de compte transfèrent en effet le risque sur l'assuré, contrairement aux traditionnels fonds en euros qui offrent une protection complète contre toute perte en capital. En parallèle, la généralisation des UC au grand public présente des défis majeurs en matière d'information à donner aux épargnants, d'innovations financières et d'adaptation du modèle économique. Elle oblige notamment à faire évoluer en profondeur la relation client face à des produits complexes et commercialisés de plus en plus via des canaux en ligne. Dès lors, comment offrir une expérience client autour des produits d'assurance-vie optimisée et adaptée aux usages de chacun ? Comment rendre les offres plus lisibles pour conseiller les clients ? Et quelles sont les pistes possibles pour rendre les contrats d'assurance-vie plus attractifs ?
Vous avez un besoin particulier et souhaitez réaliser une étude sur-mesure ?
Les experts sectoriels de Xerfi Specific étudieront vos besoins.
CRÉATION DU PDF
PDF en cours de génération pour l’impression
veuillez patienter S.V.P.
L’ÉTUDE A ÉTÉ AJOUTÉE A VOTRE PANIER
POURQUOI UN COOKIE ?Continuer sans accepter >
Le groupe XERFI utilise et stocke des informations non sensibles obtenues par le dépôt de cookies ou technologie équivalente sur votre appareil. L’utilisation de ces données nous permet de mesurer notre audience et de vous proposer des fonctionnalités et des contenus personnalisés. Nous souhaitons ainsi nous assurer que nous fournissons l’expérience la plus informative pour nos visiteurs.
Les données stockées par XERFI ne sont en aucun cas partagées avec des partenaires ou revendues à des tiers à des fins publicitaires. Vous pouvez librement donner, refuser ou retirer à tout moment votre consentement en accédant à notre page de gestion des cookies.
PERSONNALISEZ LE STOCKAGE DE VOS DONNÉES
Vous pouvez librement et à tout moment modifier votre consentement en accédant à notre outil de paramétrage des cookies.