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Comment les professionnels du coliving peuvent-ils adapter leur offre face à un contexte de plus en plus hostile ? En plus de prévisions exclusives sur le marché, notre étude révèle les leviers pour élargir le ciblage des utilisateurs et développer des projets réellement compatibles avec les attentes des collectivités locales.
Si la demande locative reste très dynamique, le coliving implanté dans le parc immobilier ancien bute sur des freins majeurs : flou juridique sur son statut, encadrement des loyers, alourdissement de la taxe foncière et opposition croissante des élus. Autant de menaces qui fragilisent leur équilibre économique. La réponse ? Des modèles plus alignés avec les politiques urbaines et capables de s'adapter aux futures contraintes légales. Les grands ensembles — plusieurs dizaines ou centaines d'unités — en offrent déjà la démonstration. Plus lisibles pour les collectivités, mieux encadrés juridiquement, ils séduisent un spectre élargi d'investisseurs, des fonds privés aux opérateurs publics comme CDC Habitat. Mais l'avenir du coliving ne se joue pas seulement dans la taille des projets. Il repose aussi sur un ciblage plus fin. Salariés en mission, actifs en mobilité, familles en transition… ces profils ouvrent un relais de croissance au-delà du seul segment étudiant et jeunes actifs. Dès lors, quels sont les publics à plus fort potentiel ? Comment concevoir et financer des projets d'envergure, alignés sur les attentes des équipes municipales ? Par ailleurs, comment définir le bon modèle de gestion pour sécuriser l'exploitation et garantir la rentabilité des résidences de coliving ?
Comment développer de nouveaux projets d'immobilier logistique conformes aux standards environnementaux, alors que l'accès au foncier se complique et que les contraintes réglementaires s'alourdissent ? Notre étude exclusive apporte des prévisions inédites sur ce secteur et identifie les leviers clés pour mieux s'implanter en zones urbaines et valoriser les actifs existants.
L'immobilier logistique séduit toujours les investisseurs. Mais ce dynamisme se heurte à un double déséquilibre : la demande des utilisateurs ralentit, tandis que l'offre, vieillissante, ne répond plus aux besoins du marché. Plus de la moitié des entrepôts de plus de 5 000 m² construits avant 2000 accusent un retard technique, énergétique et environnemental. Leur obsolescence s'accélère, rendant la modernisation inévitable. En parallèle, la création de nouvelles plateformes est freinée par la rareté du foncier. Dans les métropoles, les coûts flambent et les terrains disponibles disparaissent, alors que l'objectif de Zéro artificialisation nette (ZAN) resserre encore les marges de manœuvre. La réhabilitation de friches et la reconversion de sites obsolètes s'imposent ainsi comme des enjeux essentiels. Ce double verrou – vieillissement du parc et pénurie foncière – redéfinit également en profondeur la nature des projets. L'entrepôt ne peut plus être un simple bâtiment de stockage. Il doit s'inscrire dans le tissu urbain, cohabiter avec d'autres usages et atteindre les standards environnementaux les plus exigeants. Dès lors, comment repenser les entrepôts pour mieux les insérer dans le tissu urbain ? Comment développer une offre neuve ? Quels relais de croissance se dessinent dans l'immobilier industriel ? Et comment évoluera la demande placée d'ici 2028 ?
Comment les bailleurs sociaux peuvent-ils accomplir leur mission face aux contraintes de financement et aux réticences de certaines communes à délivrer des permis de construire ? Notre étude exclusive identifie les actions à mener pour surmonter ces obstacles et concrétiser les projets immobiliers.
Entre 2022 et 2024, la flambée du coût du financement, combinée à l'érosion des aides publiques, a fortement réduit la capacité d'autofinancement des sociétés HLM. Cette contrainte financière frappe au moment où la pression est à son comble. 2,8 millions de ménages sont en attente d'un logement tandis que la vacance dans le parc HLM est tombée à un plancher historique. Face à ce double choc, deux enjeux structurants s'imposent. Le premier est la diversification de l'offre pour répondre à l'ensemble des besoins en logement abordable. Logement intermédiaire, accession sociale, résidences pour jeunes actifs ou seniors : les organismes doivent élargir leur spectre sans renoncer à leur mission sociale. Le second est l'optimisation des modes de production afin de proposer une offre durable à coûts maîtrisés. Car désormais, la rareté foncière, la stratégie de zéro artificialisation nette et les nouvelles normes de performance énergétique renchérissent chaque projet. Dès lors, comment sécuriser le financement dans un contexte de marges réduites ? Et comment dépasser les réticences locales pour élargir l'acceptabilité des projets de logement social ?
Comment les sociétés d'ingénierie de la construction peuvent-elles conjuguer compétitivité et innovation dans un environnement conjoncturel défavorable ? En plus de prévisions exclusives sur l'activité et les marges jusqu'en 2027, notre étude identifie les leviers de croissance durable face à la crise du BTP, au recul de l'investissement industriel et aux incertitudes géopolitiques.
La détérioration du contexte économique impose en réalité une refonte des stratégies de développement. Les ingénieristes doivent ainsi se positionner en chef d'orchestre de la transition environnementale. Leur légitimité repose sur une expertise technique qu'ils peuvent mettre au service de la rénovation énergétique, mais aussi de secteurs porteurs comme les data centers, les gigafactories ou l'hydrogène. Ces opportunités nécessitent une montée en compétence vers des solutions intégrées, où le jumeau numérique devient essentiel. L'intelligence artificielle (IA), en optimisant la conception, la gestion énergétique et le suivi carbone, accélère cette mutation. Elle redéfinit les rôles au sein de la filière et ouvre la voie à une nouvelle ingénierie, plus impliquée dans les décisions stratégiques des projets et capable de piloter des approches transversales, alliant performance technique, environnementale et numérique. Dès lors, quelles applications concrètes de l'IA peuvent réellement transformer les pratiques des bureaux d'études ? Quels leviers de croissance s'offrent à eux dans un marché sous pression ? Et comment faire évoluer leur modèle pour regagner en compétitivité ?
Comment le secteur des résidences étudiantes peut-il allier croissance durable, adaptation aux nouveaux besoins et résilience face aux tensions immobilières ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour tirer pleinement parti d'un marché toujours porteur, mais où des points de fragilités méritent attention.
Avec le déclin annoncé du nombre d'étudiants, la pénurie de foncier en zones urbaines et la flambée des coûts de construction, les modèles de développement traditionnels sont aujourd'hui fortement remis en cause. Ce contexte oblige les acteurs à devenir plus sélectifs dans le choix des implantations et plus innovants dans la conception des projets. L'heure n'est plus à la simple extension du parc, mais à la reconversion de bureaux vacants en logements, à la focalisation sur les territoires à haut potentiel, et à l'ouverture vers les marchés européens peu structurés. En parallèle, il est essentiel de repenser l'offre afin de la réaligner avec les capacités financières réelles des étudiants et de leurs familles. Les pistes sont multiples, entre création d'une gamme de résidences plus segmentée, ciblage de nouveaux profils clients comme les jeunes actifs, et mise en place de formats plus hybrides et flexibles. En toile de fond, une consolidation du secteur se précise qui pourrait rebattre la hiérarchie des forces en présence. Dès lors, quelles perspectives se dessinent pour le marché d'ici 2027 ? Comment retravailler concrètement l'offre ? Et quelles stratégies pour développer des résidences étudiantes malgré la rareté du foncier et l'évolution des usages ?
Comment les investisseurs et gestionnaires d'actifs peuvent-ils redonner de l'attrait aux bureaux dans un marché sous pression ? En plus de prévisions exclusives jusqu'en 2027, cette étude met en lumière les nouvelles stratégies permettant de développer l'occupation des surfaces et la rentabilité des actifs tertiaires.
Le marché des bureaux traverse en effet une phase d'incertitude profonde. La vacance atteint des niveaux record, avec plus de 5 millions de mètres carrés inoccupés en France. La polarisation s'accentue également, entre les emplacements centraux qui résistent et les zones périphériques qui subissent une désaffection marquée. À cela s'ajoute un cocktail de facteurs défavorables — essor du télétravail, contraction de l'emploi tertiaire, taux élevés — qui freinent la reprise. Dans ce contexte, restaurer l'attractivité des bureaux devient un impératif. Plusieurs leviers se dessinent. L'intégration de services premium inspirés de l'hospitality management ou la gestion externalisée des sites vacants émergent comme des solutions efficaces. La reconversion d'actifs vers des usages résidentiels ou mixtes représente aussi une alternative à fort potentiel, notamment via des partenariats avec des opérateurs spécialisés. Dès lors, quels seront les nouveaux standards d'attractivité immobilière à l'horizon 2027 ? Comment lever les obstacles à la reconversion des actifs ? Et comment évoluera le marché d'ici 2027 ?
Comment les entreprises de facility management (FM) peuvent-elles exploiter le potentiel commercial lié à la qualité de vie au travail et la décarbonation du bâtiment ? Notre étude exclusive identifie les leviers pour tirer parti de la demande d'amélioration de la performance énergétique et de l'attractivité des espaces professionnels.
Les initiatives que nous défendons s'appuient sur la création de services innovants afin de répondre aux attentes des donneurs d'ordres en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et de flexibilité des bureaux. De nouveaux services qui viennent s'ajouter aux prestations de base, telles que la propreté, l'accueil et la gestion technique. Il s'avère par ailleurs indispensable d'accompagner les clients à travers une offre complète d'efficacité énergétique. Tandis que des objectifs de réduction des émissions carbone des bâtiments ont été fixés en France et en Europe, la valeur verte devient de fait un critère déterminant pour les propriétaires immobiliers à la recherche d'actifs conformes aux normes environnementales. En parallèle, les entreprises du FM peuvent encore exploiter des marchés clients à fort potentiel de croissance comme celui des data centers, en concevant des offres spécifiques. Dès lors, quelles sont les pistes à explorer pour dynamiser la croissance ? Comment les FMers peuvent-ils répondre efficacement aux enjeux climatiques autour de l'immobilier ? Et comment renforcer concrètement l'offre de services à destination des occupants ?
Comment accroître les taux d'occupation des résidences services seniors (RSS) et adapter l'offre aux attentes hétérogènes de la silver génération ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers essentiels pour mieux faire connaître ces établissements et satisfaire les exigences des retraités du baby-boom.
Nous mettons en particulier en évidence des pistes innovantes pour encourager les seniors à choisir ce mode d'hébergement et accélérer ainsi la montée en charge des structures les plus récentes. En effet, les taux de remplissage restent faibles dans certaines régions suite à l'augmentation rapide du parc qui a doublé en sept ans pour atteindre plus de 1 200 établissements. Ce constat est particulièrement notable dans des villes comme Toulouse, Angers ou Brest où la plupart des baby-boomers n'ont pas encore atteint l'âge d'entrer en résidence. En parallèle, face à la concurrence des acteurs du maintien à domicile, les gestionnaires de RSS doivent faire évoluer leur offre. Celle-ci est devenue trop standardisée, tant du point de vue des services proposés qu'au niveau de l'aménagement des espaces. Des initiatives s'avèrent également indispensables pour aider les occupants à conserver leur autonomie le plus longtemps possible. Dès lors, quel rôle les gestionnaires peuvent-ils jouer dans le domaine du care management ? Comment segmenter l'offre au regard de la diversité des attentes des nouveaux seniors en matière de style de vie ou de services ? Et quels leviers mobiliser pour promouvoir la vie en résidence ?
Comment les agents immobiliers et mandataires peuvent-ils améliorer leur efficacité commerciale et se différencier sur un marché qui devrait peu à peu sortir de la crise ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour tirer le meilleur parti de la prochaine reprise des ventes de logements d'ici 2026 ainsi que les parts de marché des différents canaux de vente d'ici 2030.
Nous mettons en particulier en évidence les services les plus pertinents afin d'aider les acteurs de l'immobilier à se distinguer de leurs concurrents. En effet, la compétition s'est accrue ces dernières années avec une hausse de 40% en à peine deux ans du nombre de professionnels en mesure d'intervenir sur les transactions. En parallèle, les intermédiaires de l'immobilier doivent s'emparer de l'intelligence artificielle (IA) afin de gagner en efficacité. Ils utilisent déjà à grande échelle les portails d'annonces, les services des spécialistes de la data ou encore des outils pour identifier et qualifier des prospects à partir de leurs démarches en ligne. Avec l'IA générative, ils disposent désormais de moyens privilégiés pour gagner en productivité et améliorer le service client et la prospection commerciale. Dès lors, comment l'IA peut-elle concrètement aider les professionnels dans leur travail quotidien ? Quels sont les leviers les plus appropriés pour se différencier ? Et quelles sont dans le détail les prévisions de croissance pour les marchés de l'ancien et du neuf d'ici 2026 ?
Comment redynamiser l'attractivité des centres commerciaux et des retail parks ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour renouveler l'offre et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, des collectivités locales et des investisseurs.
Nous mettons notamment en lumière des mesures inédites pour diversifier l'offre commerciale et intégrer de la mixité d'usage dans les projets, comme des logements ou bureaux. En effet, le modèle traditionnel a besoin de se réinventer pour s'adapter aux grandes transformations du retail. Avec l'essor des achats en ligne et les arbitrages de consommation en faveur des services, les magasins physiques perdent du terrain. La lutte contre l'artificialisation des sols entrave également l'avancée des projets. Différentes actions peuvent aussi être menées pour faire évoluer le modèle et l'exploitation des espaces commerciaux vers des pratiques plus durables et compatibles avec les enjeux en matière de responsabilité sociétale et environnementale (RSE). En parallèle, les foncières doivent enrichir leur offre afin de fidéliser les commerçants et enseignes fragilisés par la crise inflationniste, et ainsi juguler la hausse de la vacance des locaux. Dès lors, quelles sont les mesures concrètes pour soutenir les commerçants et enseignes ? Comment réduire l'empreinte écologique de l'immobilier commercial ? Et quels changements à impulser pour retrouver une dynamique de croissance durable face à une conjoncture qui s'annonce défavorable jusqu'en 2026 ?
Comment les administrateurs de biens peuvent-ils capitaliser sur la différenciation, l'innovation et les outils digitaux pour se développer dans un contexte concurrentiel délicat ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour défendre leurs parts de marché et améliorer leurs performances financières.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pour mieux justifier la hausse des honoraires et limiter l'érosion de la clientèle. Les professionnels devraient en effet souffrir de la sortie de nombre de passoires thermiques du marché et de l'intensification des mises en concurrence par les copropriétaires. Le secteur doit aussi trouver les bons relais de croissance pour rivaliser avec les acteurs en ligne qui s'établissent en ville et les agences immobilières qui se repositionnent sur les métiers de la gestion. L'étude montre également que les nouveaux outils d'intelligence artificielle (IA) présentent un potentiel énorme pour enrichir les services à la clientèle et optimiser l'efficacité interne des organisations. Dès lors, comment mieux profiter des nouvelles technologiques digitales ? Jusqu'à quel point se diversifier sans sacrifier son ADN ? Et comment créer une offre distinctive qui combine des services à la fois physiques et numériques ?
Comment les acteurs de l'immobilier peuvent-ils innover et se différencier grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour exploiter le plein potentiel de l'IA dans les métiers de l'immobilier-construction, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les bonnes pratiques pour intégrer efficacement cette technologie et en tirer la quintessence. L'IA générative ouvre en effet des perspectives inédites pour transformer la façon dont les biens immobiliers sont conçus, construits, échangés et gérés grâce à ses capacités de traitement de données hors-normes et ses résultats plus précis et personnalisés. Il n'est pas seulement question ici d'automatisation des tâches répétitives et chronophages : les modèles génératifs représentent aussi une source exceptionnelle de nouvelles lignes de métier et d'amélioration de l'offre existante pour les professionnels de l'immobilier. Dès lors, quelles applications privilégier en fonction de son cœur de métier ? Quels types de partenaires sont les mieux placés pour aider à intégrer l'IA dans les process métier de l'immobilier ? Comment mettre en place une collaboration gagnante avec des experts ?
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