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Comment développer de nouveaux projets d'immobilier logistique conformes aux standards environnementaux, alors que l'accès au foncier se complique et que les contraintes réglementaires s'alourdissent ? Notre étude exclusive apporte des prévisions inédites sur ce secteur et identifie les leviers clés pour mieux s'implanter en zones urbaines et valoriser les actifs existants.
L'immobilier logistique séduit toujours les investisseurs. Mais ce dynamisme se heurte à un double déséquilibre : la demande des utilisateurs ralentit, tandis que l'offre, vieillissante, ne répond plus aux besoins du marché. Plus de la moitié des entrepôts de plus de 5 000 m² construits avant 2000 accusent un retard technique, énergétique et environnemental. Leur obsolescence s'accélère, rendant la modernisation inévitable. En parallèle, la création de nouvelles plateformes est freinée par la rareté du foncier. Dans les métropoles, les coûts flambent et les terrains disponibles disparaissent, alors que l'objectif de Zéro artificialisation nette (ZAN) resserre encore les marges de manœuvre. La réhabilitation de friches et la reconversion de sites obsolètes s'imposent ainsi comme des enjeux essentiels. Ce double verrou – vieillissement du parc et pénurie foncière – redéfinit également en profondeur la nature des projets. L'entrepôt ne peut plus être un simple bâtiment de stockage. Il doit s'inscrire dans le tissu urbain, cohabiter avec d'autres usages et atteindre les standards environnementaux les plus exigeants. Dès lors, comment repenser les entrepôts pour mieux les insérer dans le tissu urbain ? Comment développer une offre neuve ? Quels relais de croissance se dessinent dans l'immobilier industriel ? Et comment évoluera la demande placée d'ici 2028 ?
Comment les bailleurs sociaux peuvent-ils accomplir leur mission face aux contraintes de financement et aux réticences de certaines communes à délivrer des permis de construire ? Notre étude exclusive identifie les actions à mener pour surmonter ces obstacles et concrétiser les projets immobiliers.
Entre 2022 et 2024, la flambée du coût du financement, combinée à l'érosion des aides publiques, a fortement réduit la capacité d'autofinancement des sociétés HLM. Cette contrainte financière frappe au moment où la pression est à son comble. 2,8 millions de ménages sont en attente d'un logement tandis que la vacance dans le parc HLM est tombée à un plancher historique. Face à ce double choc, deux enjeux structurants s'imposent. Le premier est la diversification de l'offre pour répondre à l'ensemble des besoins en logement abordable. Logement intermédiaire, accession sociale, résidences pour jeunes actifs ou seniors : les organismes doivent élargir leur spectre sans renoncer à leur mission sociale. Le second est l'optimisation des modes de production afin de proposer une offre durable à coûts maîtrisés. Car désormais, la rareté foncière, la stratégie de zéro artificialisation nette et les nouvelles normes de performance énergétique renchérissent chaque projet. Dès lors, comment sécuriser le financement dans un contexte de marges réduites ? Et comment dépasser les réticences locales pour élargir l'acceptabilité des projets de logement social ?
Comment les sociétés d'ingénierie de la construction peuvent-elles conjuguer compétitivité et innovation dans un environnement conjoncturel défavorable ? En plus de prévisions exclusives sur l'activité et les marges jusqu'en 2027, notre étude identifie les leviers de croissance durable face à la crise du BTP, au recul de l'investissement industriel et aux incertitudes géopolitiques.
La détérioration du contexte économique impose en réalité une refonte des stratégies de développement. Les ingénieristes doivent ainsi se positionner en chef d'orchestre de la transition environnementale. Leur légitimité repose sur une expertise technique qu'ils peuvent mettre au service de la rénovation énergétique, mais aussi de secteurs porteurs comme les data centers, les gigafactories ou l'hydrogène. Ces opportunités nécessitent une montée en compétence vers des solutions intégrées, où le jumeau numérique devient essentiel. L'intelligence artificielle (IA), en optimisant la conception, la gestion énergétique et le suivi carbone, accélère cette mutation. Elle redéfinit les rôles au sein de la filière et ouvre la voie à une nouvelle ingénierie, plus impliquée dans les décisions stratégiques des projets et capable de piloter des approches transversales, alliant performance technique, environnementale et numérique. Dès lors, quelles applications concrètes de l'IA peuvent réellement transformer les pratiques des bureaux d'études ? Quels leviers de croissance s'offrent à eux dans un marché sous pression ? Et comment faire évoluer leur modèle pour regagner en compétitivité ?
Comment le secteur des résidences étudiantes peut-il allier croissance durable, adaptation aux nouveaux besoins et résilience face aux tensions immobilières ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour tirer pleinement parti d'un marché toujours porteur, mais où des points de fragilités méritent attention.
Avec le déclin annoncé du nombre d'étudiants, la pénurie de foncier en zones urbaines et la flambée des coûts de construction, les modèles de développement traditionnels sont aujourd'hui fortement remis en cause. Ce contexte oblige les acteurs à devenir plus sélectifs dans le choix des implantations et plus innovants dans la conception des projets. L'heure n'est plus à la simple extension du parc, mais à la reconversion de bureaux vacants en logements, à la focalisation sur les territoires à haut potentiel, et à l'ouverture vers les marchés européens peu structurés. En parallèle, il est essentiel de repenser l'offre afin de la réaligner avec les capacités financières réelles des étudiants et de leurs familles. Les pistes sont multiples, entre création d'une gamme de résidences plus segmentée, ciblage de nouveaux profils clients comme les jeunes actifs, et mise en place de formats plus hybrides et flexibles. En toile de fond, une consolidation du secteur se précise qui pourrait rebattre la hiérarchie des forces en présence. Dès lors, quelles perspectives se dessinent pour le marché d'ici 2027 ? Comment retravailler concrètement l'offre ? Et quelles stratégies pour développer des résidences étudiantes malgré la rareté du foncier et l'évolution des usages ?
Comment les investisseurs et gestionnaires d'actifs peuvent-ils redonner de l'attrait aux bureaux dans un marché sous pression ? En plus de prévisions exclusives jusqu'en 2027, cette étude met en lumière les nouvelles stratégies permettant de développer l'occupation des surfaces et la rentabilité des actifs tertiaires.
Le marché des bureaux traverse en effet une phase d'incertitude profonde. La vacance atteint des niveaux record, avec plus de 5 millions de mètres carrés inoccupés en France. La polarisation s'accentue également, entre les emplacements centraux qui résistent et les zones périphériques qui subissent une désaffection marquée. À cela s'ajoute un cocktail de facteurs défavorables — essor du télétravail, contraction de l'emploi tertiaire, taux élevés — qui freinent la reprise. Dans ce contexte, restaurer l'attractivité des bureaux devient un impératif. Plusieurs leviers se dessinent. L'intégration de services premium inspirés de l'hospitality management ou la gestion externalisée des sites vacants émergent comme des solutions efficaces. La reconversion d'actifs vers des usages résidentiels ou mixtes représente aussi une alternative à fort potentiel, notamment via des partenariats avec des opérateurs spécialisés. Dès lors, quels seront les nouveaux standards d'attractivité immobilière à l'horizon 2027 ? Comment lever les obstacles à la reconversion des actifs ? Et comment évoluera le marché d'ici 2027 ?
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