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Comment les acteurs du CRM peuvent-ils accélérer leur développement en France ? Au-delà de prévisions de marché exclusives jusqu'en 2030, cette étude analyse les stratégies mises en œuvre pour démocratiser l'usage des logiciels de gestion de la relation client au sein des organisations.
Le marché français du CRM arrive à un tournant. Saturés sur le segment des grands comptes et soumis à une pression budgétaire grandissante, les éditeurs ciblent désormais les TPE et PME encore largement sous-équipées. Ce réservoir de croissance est immense mais difficile à conquérir. Ces entreprises cumulent faible maturité numérique, ressources internes limitées et besoin d'autonomie technique. À ces obstacles s'ajoute la complexité des systèmes d'information. Fragmentés et hétérogènes, ils renforcent l'exigence d'interopérabilité. En parallèle, la réglementation sur les données se durcit, rendant la situation plus difficile pour la filière CRM. L'intelligence artificielle, qu'elle soit générative ou agentique, apporte une première réponse en simplifiant la configuration et l'usage des solutions. Mais elle ouvre aussi un nouvel espace de vigilance : protéger les données clients, garantir la disponibilité des services et répondre à des règles de conformité de plus en plus strictes. Dès lors, comment capitaliser sur les nouveaux leviers que sont l'IA agentique, mais aussi les customer data platform (CDP) composables et les solutions no-code ? Et comment transformer le potentiel des PME en véritable accélérateur de croissance ?
Comment la financiarisation du secteur officinal reconfigure-t-elle en profondeur le modèle, l'identité et l'avenir des pharmacies ? Notre étude exclusive décrypte les logiques financières à l'œuvre au sein de ce secteur de la santé, ainsi que les conséquences stratégiques pour les officines et leurs groupements.
Longtemps bâti sur un modèle d'exercice libéral, le réseau des pharmacies entre dans une phase de mutation accélérée. L'érosion des marges sur les médicaments, les vagues de départs à la retraite des titulaires et le coût élevé d'installation pour les jeunes pharmaciens fragilisent un modèle déjà sous pression. Ce contexte a ouvert la voie à une financiarisation croissante et multiforme : essor des groupements et enseignes, consolidation via des fonds, multiplication d'opérations à effet de levier, ainsi qu'un recours accru à la dette privée par les pharmaciens pour financer non seulement les transmissions mais aussi les investissements. Les officines orientent ainsi leurs projets vers des formats jugés plus rentables, misant sur la parapharmacie et des espaces commerciaux XXL. Peu à peu, cette financiarisation transforme en profondeur la chaîne de valeur officinale et modifie les rapports de force entre ses acteurs. Mais elle crée aussi de nouvelles dépendances : aux financements externes, aux enseignes, aux groupements et aux logiques de performance commerciale. L'enjeu est désormais d'apprendre à conjuguer rentabilité et mission de santé publique. Dès lors, jusqu'où ira la financiarisation du secteur ? Quelles en sont les principaux moteurs et acteurs ? Et quelles conséquences sur le modèle des pharmacies et leurs perspectives à 2030 ?
Comment développer de nouveaux projets d'immobilier logistique conformes aux standards environnementaux, alors que l'accès au foncier se complique et que les contraintes réglementaires s'alourdissent ? Notre étude exclusive apporte des prévisions inédites sur ce secteur et identifie les leviers clés pour mieux s'implanter en zones urbaines et valoriser les actifs existants.
L'immobilier logistique séduit toujours les investisseurs. Mais ce dynamisme se heurte à un double déséquilibre : la demande des utilisateurs ralentit, tandis que l'offre, vieillissante, ne répond plus aux besoins du marché. Plus de la moitié des entrepôts de plus de 5 000 m² construits avant 2000 accusent un retard technique, énergétique et environnemental. Leur obsolescence s'accélère, rendant la modernisation inévitable. En parallèle, la création de nouvelles plateformes est freinée par la rareté du foncier. Dans les métropoles, les coûts flambent et les terrains disponibles disparaissent, alors que l'objectif de Zéro artificialisation nette (ZAN) resserre encore les marges de manœuvre. La réhabilitation de friches et la reconversion de sites obsolètes s'imposent ainsi comme des enjeux essentiels. Ce double verrou – vieillissement du parc et pénurie foncière – redéfinit également en profondeur la nature des projets. L'entrepôt ne peut plus être un simple bâtiment de stockage. Il doit s'inscrire dans le tissu urbain, cohabiter avec d'autres usages et atteindre les standards environnementaux les plus exigeants. Dès lors, comment repenser les entrepôts pour mieux les insérer dans le tissu urbain ? Comment développer une offre neuve ? Quels relais de croissance se dessinent dans l'immobilier industriel ? Et comment évoluera la demande placée d'ici 2028 ?
Comment la filière européenne et française des batteries peut-elle se développer face à la concurrence asiatique ? En plus de notre scénario sur les perspectives de cette industrie d'ici 2030, notre étude met en lumière les défis et opportunités stratégiques pour renforcer les positions des entreprises sur ce marché.
La filière européenne des batteries se trouve à un tournant critique. Tandis que les groupes asiatiques consolident leur avance, les nouveaux fabricants européens affrontent une phase à haut risque : faillite de Northvolt, montée en cadence laborieuse, guerre des prix des entreprises chinoises. Dans ce climat de défiance, investisseurs et donneurs d'ordres hésitent entre soutenir les acteurs locaux ou favoriser l'installation de champions étrangers. Or, la demande augmentera fortement à l'avenir, portée par l'automobile électrique et le stockage stationnaire. Ce décalage entre fragilités industrielles et explosion des besoins fait de la batterie bien plus qu'un enjeu de compétitivité. Elle devient une question de souveraineté stratégique pour l'Europe et de création de milliers d'emplois industriels. En France, l'effort est considérable pour bâtir une véritable industrie : gigafactories, sites de composants, extraction de lithium, recyclage. Les investissements se chiffrent en milliards. Mais la bataille est loin d'être gagnée. Pour les industriels, chaque retard accroît le risque d'éviction. Pour les pouvoirs publics, chaque échec affaiblit l'autonomie du continent. Dès lors, quel avenir pour cette filière en France et en Europe ? Comment évoluera la demande en batteries d'ici 2030 ? Et comment les entreprises locales renforceront-elles leur position ?
Comment les laboratoires de biologie médicale (LBM) peuvent-ils stimuler leur activité malgré les contraintes tarifaires ? Notre étude exclusive met en lumière les leviers clés pour diversifier leurs revenus, réduire leur dépendance aux politiques publiques et abaisser encore le coût de revient des analyses.
Les laboratoires se retrouvent aujourd'hui dans une position délicate. Les investissements massifs engagés pendant la pandémie pèsent toujours sur leurs charges et leur rentabilité, tandis que le plafonnement annuel des dépenses remboursées par l'Assurance-maladie freine leur croissance. La consolidation, longtemps utilisée comme rempart contre l'érosion des prix, atteint également ses limites : les cibles se raréfient et plusieurs groupes ploient sous un endettement élevé. Pourtant, la demande d'analyses progresse avec le vieillissement de la population et l'essor des maladies chroniques. Cette dynamique ouvre de réelles perspectives, à condition de faire évoluer le modèle. L'industrialisation du traitement des échantillons peut permettre de réduire durablement les coûts. L'élargissement du portefeuille d'analyses offre, quant à lui, des relais de croissance moins dépendants des actes remboursés. Enfin, dans un secteur à l'offre très homogène, la capacité à se différencier deviendra un facteur clé pour conquérir de nouvelles parts de marché. Dès lors, par quelles actions concrètes les LBM peuvent-ils développer leur chiffre d'affaires et renforcer leur efficacité opérationnelle ? Et quelles perspectives pour le secteur d'ici 2027 ?
Comment les bailleurs sociaux peuvent-ils accomplir leur mission face aux contraintes de financement et aux réticences de certaines communes à délivrer des permis de construire ? Notre étude exclusive identifie les actions à mener pour surmonter ces obstacles et concrétiser les projets immobiliers.
Entre 2022 et 2024, la flambée du coût du financement, combinée à l'érosion des aides publiques, a fortement réduit la capacité d'autofinancement des sociétés HLM. Cette contrainte financière frappe au moment où la pression est à son comble. 2,8 millions de ménages sont en attente d'un logement tandis que la vacance dans le parc HLM est tombée à un plancher historique. Face à ce double choc, deux enjeux structurants s'imposent. Le premier est la diversification de l'offre pour répondre à l'ensemble des besoins en logement abordable. Logement intermédiaire, accession sociale, résidences pour jeunes actifs ou seniors : les organismes doivent élargir leur spectre sans renoncer à leur mission sociale. Le second est l'optimisation des modes de production afin de proposer une offre durable à coûts maîtrisés. Car désormais, la rareté foncière, la stratégie de zéro artificialisation nette et les nouvelles normes de performance énergétique renchérissent chaque projet. Dès lors, comment sécuriser le financement dans un contexte de marges réduites ? Et comment dépasser les réticences locales pour élargir l'acceptabilité des projets de logement social ?
Comment les acteurs de l'assurance peuvent-ils adapter leurs dispositifs commerciaux à l'ère du numérique et de l'intelligence artificielle face à des clients qui restent attachés à leurs conseillers ? Notre étude exclusive décrypte les nouveaux choix opérés pour construire une stratégie unifiée, agile, où le digital et l'humain augmenté se complètent.
Aujourd'hui, la diversité des canaux s'impose comme la norme. Agences, centres d'appels, sites web, applis mobiles et réseaux sociaux coexistent. Pourtant, un déséquilibre persiste. L'agence physique reste le point de passage privilégié pour la souscription, tandis que le digital demeure cantonné aux étapes d'avant et d'après-vente. Or ce modèle s'essouffle avec l'arrivée en force des digital natives. Les assureurs sont obligés de rationaliser leurs réseaux, d'expérimenter de nouveaux formats et de développer des parcours 100% en ligne. Deux défis se dessinent. Le premier : coordonner efficacement les canaux alors que les partenariats BtoB et l'intermédiation gagnent du terrain. Le second : intégrer l'intelligence artificielle, non pour remplacer le conseiller, mais pour accroître son efficacité et transformer la relation client. À ces bouleversements s'ajoute une contrainte de taille avec le règlement européen FIDA attendu en 2027. En ouvrant l'accès aux données clients, il accélérera l'essor de l'assurance embarquée et instaurera une nouvelle ère de concurrence, plus vive, plus ouverte, plus risquée pour les acteurs traditionnels. Dès lors, quel équilibre inventer entre réseaux physiques et canaux en ligne ? Quels leviers permettront d'optimiser l'efficacité ? Et quelles perspectives pour les marchés de l'assurance d'ici 2027 ?
Comment les acteurs de l'épargne peuvent-ils accélérer leur croissance face à un marché en pleine mutation ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour s'adapter aux forces qui transforment et complexifient le métier.
La baisse des taux courts et la quête de rendement incitent les épargnants à réorienter massivement leur capital vers des produits plus liquides et performants, remettant en cause les équilibres traditionnels entre risque et rentabilité. Dans ce contexte, fidéliser les clients devient aussi stratégique qu'en conquérir de nouveaux. Dans le même temps, le démarrage poussif du plan d'épargne avenir climat (PEAC) rappelle que beaucoup reste à faire pour mobiliser l'épargne en faveur de la transition écologique. À cela s'ajoute la directive Retail Investment Strategy qui viendra renforcer d'ici 2026 les exigences en matière de transparence et de devoir de conseil, accentuant la pression sur les coûts d'exploitation. L'intelligence artificielle (IA) apparaît à cet égard comme un atout essentiel, permettant d'accroître simultanément la productivité, la qualité de service et la sécurité. Dès lors, quels cas d'usage de l'IA prioriser pour optimiser les processus opérationnels et renouveler l'expérience client ? Comment mieux tirer parti de la finance durable ? Et comment sortir gagnant de la recomposition à venir du marché de l'épargne ?
Comment les transporteurs peuvent-ils améliorer leur compétitivité face à la transition climatique et la concurrence agressive des pays de l'Est et du Sud de l'Europe ? Notre étude exclusive décrypte les perspectives du secteur à l'horizon 2030 tout en identifiant les leviers clés pour renforcer la performance globale des entreprises.
La digitalisation s'impose désormais comme un avantage déterminant. Les solutions d'intelligence artificielle et d'optimisation de flotte permettent déjà à certains concurrents d'économiser jusqu'à 15% sur leurs coûts opérationnels, fragilisant les acteurs encore dépendants d'outils traditionnels. En parallèle, l'urgence climatique bouleverse les modèles établis. Avec le programme Fit for 55, l'Union européenne vise une réduction globale de 55% des gaz à effet de serre d'ici 2030. Le transport routier, grand contributeur, est directement concerné par des normes renforcées et incité à investir dans des carburants alternatifs et des véhicules à faibles émissions. Ces investissements, souvent supérieurs à plusieurs millions d'euros par flotte, pèsent sur les marges et la capacité à maintenir des prix compétitifs. À cela s'ajoute un défi humain majeur : la pénurie de conducteurs. En Europe, près de 400 000 postes restent vacants. Dès lors, quels choix stratégiques permettront de surmonter les problèmes de recrutement ? Comment devenir un partenaire incontournable de la décarbonation des donneurs d'ordres tout en préservant les marges ? Et quelles trajectoires se dessinent pour le fret routier d'ici 2030 ?
Comment renforcer la performance commerciale, maîtriser les coûts et améliorer l'expérience des assurés dans un environnement concurrentiel de plus en plus disputé ? Notre étude sur les mutuelles et groupes mutualistes d'assurance identifie les leviers clés pour se diversifier sur de nouveaux marchés et exploiter au mieux l'IA.
Les acteurs doivent relever un double défi dans un contexte de sinistralité croissante et de concurrence accrue. D'une part, la multiplication des événements climatiques extrêmes et la flambée des coûts de réparation fragilisent les équilibres techniques. D'autre part, l'essor des acquisitions et des alliances stratégiques redessine les rapports de force et accélère la course à la taille. Loin de freiner les ambitions, cette complexité agit comme un catalyseur d'innovation et de transformation. Le développement des technologies intelligentes et la digitalisation des processus offrent ainsi de puissants leviers d'optimisation opérationnelle. L'IA permet notamment aux assureurs d'affiner la gestion des risques, de fluidifier les parcours clients et d'automatiser de nombreuses tâches. Mais le véritable différenciateur se joue ailleurs. Il repose sur des offres enrichies et plus agiles. En multipliant les services, en personnalisant les prestations et en développant le multi-équipement, les assureurs pourront fidéliser davantage leurs sociétaires tout en élargissant leur base client. Dès lors, jusqu'où aller dans la diversification ? Comment les logiques de prévention peuvent-elles contenir le coût des sinistres ? Et quelles applications de l'IA sont les plus pertinentes pour le secteur ?
Face à la pression des prix, à la volatilité des consommateurs et à la guerre des canaux, le secteur du retail vacille. Comment dès lors prolonger et intensifier une transformation digitale devenue essentielle pour recréer de la valeur durable ? Notre étude met en lumière les actions à mettre en œuvre par les acteurs du commerce B2C — franchisés, grandes surfaces, chaînes spécialisées ou pure players en ligne — pour s'adapter, se différencier et retrouver de la performance.
Les distributeurs subissent aujourd'hui plusieurs contraintes. D'un côté, la pression sur le pouvoir d'achat et la réorientation de la consommation vers les services freinent la croissance des ventes de biens. De l'autre, l'intensification de la concurrence des plateformes numériques à bas prix alimente une spirale déflationniste difficile à enrayer. En conséquence les marges s'érodent, le trafic en magasin plafonne et les modèles historiques centrés sur le volume et l'implantation physique montrent leurs limites. L'enjeu n'est plus d'amorcer la transition numérique, mais d'en franchir une nouvelle étape décisive. Une stratégie qui implique de réorienter les investissements vers des leviers technologiques à fort impact : intelligence artificielle, pilotage prédictif, ship-from-store, retail media... Dès lors, quels leviers digitaux activer pour enrichir l'expérience client ? Comment mieux optimiser la tarification et la supply chain ? Et quels perspectives se dessinent pour le secteur du retail d'ici 2027 ?
Comment les professionnels du chiffre peuvent-ils enrichir leur offre et créer davantage de valeur dans un contexte où l'intelligence artificielle (IA) générative bouscule les métiers intellectuels ? Notre étude met en lumière les actions clés pour tirer parti des mutations en cours tout en renforçant l'attractivité et la performance des cabinets.
Les métiers de l'audit et de l'expertise-comptable ne connaissent plus de répit. L'arrivée de la facture électronique transforme en profondeur les processus de saisie et de traitement. Des plateformes low-cost grignotent des parts de marché. Et désormais l'IA s'installe au cœur même des missions historiques. Les progrès technologiques recentrent progressivement le métier sur l'analyse, en réduisant le temps consacré à la saisie, aux contrôles de cohérence ou à la production de livrables. Ce basculement fragilise le modèle des cabinets. Pour préserver leur équilibre économique, ils doivent se transformer. L'enjeu n'est plus simplement d'automatiser ou de gagner du temps : il s'agit de réinventer leur utilité aux yeux des chefs d'entreprise. L'IA, paradoxalement, peut devenir un atout décisif. Elle permet de fiabiliser les processus, de fluidifier les échanges et d'ouvrir la voie à des services innovants. Dès lors, quelles applications concrètes de l'IA offrent un vrai levier de performance ? Où sont les meilleures opportunités de diversification dans le conseil et l'accompagnement ? Et quelles perspectives se dessinent d'ici 2027 alors que le tissu économique français est déjà fragile ?
Comment les acteurs du BPO peuvent-ils monter en gamme face à l'intelligence artificielle et à des clients plus exigeants ? Cette étude propose une analyse des opportunités de marché, des stratégies mises en œuvre par les acteurs, ainsi que des défis à relever pour soutenir la croissance du marché.
L'intégration de l'IA générative ouvre certes de nouveaux leviers d'efficacité pour les prestataires de BPO en automatisant des tâches répétitives à grande échelle. Mais cet avantage technologique ne suffit plus alors que les attentes clients deviennent plus transverses. Les acteurs sont dès lors tenus d'élargir leur spectre de compétences, en particulier dans le conseil et sur des processus à plus forte valeur ajoutée. Par ailleurs, la différenciation ne peut plus reposer uniquement sur les outils ou les prix dans un contexte où la concurrence s'intensifie. La capacité à construire des offres premium — en lien étroit avec des partenaires technologiques, d'autres prestataires ou directement avec les clients — devient indispensable. Il est également nécessaire que les acteurs du BPO valorisent davantage leur expertise sectorielle et leurs capacités à gérer la relation client. Cette montée en gamme apparaît essentielle pour dépasser l'image d'acteurs trop centrés sur la réduction des coûts. Dans ce contexte, quels leviers activer pour sortir d'une logique de cost-killing et se développer ? Quelles perspectives cela ouvre-t-il sur les segments du BPO d'ici 2027 ? Et quels types d'acteurs sont les mieux positionnés pour profiter de cette dynamique ?
Les gestionnaires de data centers se retrouvent face à une équation complexe : comment accompagner leur croissance fulgurante tout en restant sobres sur le plan énergétique, dans un contexte de foncier rare et d'importantes contraintes réglementaires ? Notre étude exclusive met en lumière les leviers clés pour relever ce défi et libérer le plein potentiel de ce marché.
La demande en hébergement de données, en puissance de calcul et en services numériques connaît un développement exponentiel, portée par l'essor de l'intelligence artificielle, du cloud et du streaming. Mais l'offre ne suit pas. Les projets de construction sont ralentis par la complexité des procédures, la rareté des terrains constructibles et les délais de raccordement au réseau électrique. Cette inadéquation entre l'offre et la demande met le secteur sous tension et rend urgente la refonte des stratégies immobilières. D'autant que l'IA, notamment dans ses formes génératives, impose de nouveaux standards techniques et nécessite des infrastructures spécifiques, plus puissantes et plus gourmandes en énergie. Dans ce contexte, un autre enjeu majeur se dessine : celui de l'empreinte environnementale. Les émissions carbone du secteur s'envolent, rendant la performance énergétique non plus optionnelle, mais essentielle. Dès lors, quels choix technologiques et immobiliers permettront de sortir de cette impasse ? Et à quoi ressemblera le paysage des data centers à l'horizon 2027 ?
Comment accroître la rentabilité et renforcer l'attractivité des parcs de loisirs en France, dans un marché de plus en plus exigeant ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour atténuer la saisonnalité, fluidifier les parcours de visite et se démarquer dans un contexte où la concurrence grandit et où le pouvoir d'achat progresse peu.
L'optimisation des flux de visiteurs devient en particulier une priorité. La surfréquentation en haute saison provoque engorgements des infrastructures, insatisfaction des visiteurs et pertes de revenus indirectes. Le reste de l'année, ces mêmes installations tournent au ralenti alors que les coûts fixes continuent de peser lourdement sur la rentabilité d'un modèle dont le ROA (return on assets) demeure structurellement faible. En parallèle, les opérateurs doivent adapter leur offre afin de répondre aux nouvelles aspirations du public. L'enjeu est aussi de rester compétitif face à des géants comme PortAventura en Espagne et Europa Park en Allemagne, mais aussi face à l'essor d'autres formats de loisirs tels que les escape games ou les parcs indoor. Un autre défi se profile : la démographie. Avec une natalité en recul, la cible traditionnelle — les familles avec enfants — aura tendance dans les prochaines années à se réduire. Dès lors, comment séduire concrètement de nouveaux publics ? Quelles pistes privilégier pour améliorer l'offre en limitant les dépenses d'investissement ? Et quelles perspectives se dessinent pour ce secteur à l'horizon 2027 ?
Comment les enseignes d'audioprothèses peuvent-elles conjuguer proximité, exigence clinique et performance économique dans un marché en pleine mutation ? Notre étude met en lumière les leviers clés pour soutenir la croissance du secteur face à un environnement plus compliqué.
Au-delà du poids grandissant des complémentaires santé et de la défiance persistante des patients, la concurrence s'intensifie. Les enseignes d'optique poursuivent en effet le déploiement de corners audio, aggravant la saturation du marché. Ce mouvement fragilise les spécialistes historiques et amorce une phase de consolidation. Pour rester compétitifs, les réseaux d'audioprothèses doivent désormais aller chercher les publics encore éloignés du soin auditif alors que près de 55% des personnes concernées ne sont pas équipées. Ils doivent également renforcer leur présence locale, améliorer l'expérience client et capitaliser sur les outils numériques comme la téléaudiologie. En parallèle, l'arrivée d'acteurs comme Apple ou EssilorLuxottica redessine les contours du marché avec des produits hybrides, à mi-chemin entre le médical et le grand public. L'audioprothèse évolue vers un objet du quotidien, à la croisée de l'innovation technologique et du mieux-être. Dès lors, comment concrètement tirer parti des nouvelles technologies pour améliorer le parcours patient ? Quelles stratégies pour toucher des clientèles sous-équipées ? Et comment les enseignes d'optique peuvent-elles consolider et différencier leur modèle audio ?
Comment les banques peuvent-elles capitaliser sur les évolutions réglementaires et technologiques pour regagner du terrain sur le marché du paiement ? Notre étude exclusive décrypte notamment le potentiel du virement instantané ainsi que les stratégies face à une concurrence plus agressive et à des enjeux de souveraineté devenus centraux.
En effet, alors que les réseaux Visa et Mastercard concentrent plus de 60% des transactions par carte en zone euro, les solutions des paytech américaines se banalisent. À cette emprise s'ajoute la montée des stablecoins adossés au dollar bientôt encadrés aux États-Unis. Face à cette situation, l'Europe tente de réagir. Elle a remporté une victoire avec l'ouverture à la concurrence de la puce NFC d'Apple. Elle entend désormais imposer un cadre favorable au virement instantané. La BCE accélère aussi sur l'euro numérique malgré la réticence des banques. Ces dernières défendent plutôt des alternatives comme le portefeuille Wero et relancent la marque CB. Mais ces initiatives européennes restent dispersées. La carte bancaire conserve l'avantage, renforcée par le recours aux X Pay, tandis que les fintech, en manque de financement, doivent désormais prioriser la rentabilité. Pour bâtir une réponse cohérente, il faudra coordonner ces efforts et mobiliser les acteurs. Dès lors, comment repenser la souveraineté européenne dans les paiements ? Le virement instantané peut-il ébranler l'hégémonie de la carte d'ici 2030 ? Les banques françaises disposent-elles des leviers nécessaires pour reprendre l'initiative dans cette recomposition ?
Comment les industriels français de l'aéronautique peuvent-ils accroître leur cadence de production sans compromettre leur compétitivité ? En complément d'un scénario d'évolution exclusif du secteur, notre étude identifie les leviers clés pour répondre aux attentes croissantes des donneurs d'ordres en matière de délais, de prix et de qualité.
Cette montée en puissance, rendue indispensable par des carnets de commandes historiquement élevés, intervient alors que la production nationale demeurait, fin 2024, inférieure de 25% à son niveau d'avant-crise sanitaire. Pour répondre à cette exigence, les industriels doivent renforcer leur outil productif : recruter des profils qualifiés, investir dans de nouvelles capacités et accélérer la modernisation des procédés. Ces efforts se heurtent toutefois à une pénurie de main-d'œuvre et à une pression continue sur les marges. En parallèle, la sécurisation des chaînes d'approvisionnement reste un enjeu stratégique. Les tensions géopolitiques et commerciales aggravent des difficultés, notamment sur les composants critiques. L'essor de l'avionneur chinois Comac rebat par ailleurs les cartes de la concurrence mondiale. Les acteurs français doivent alors faire évoluer leurs offres et procédés industriels pour accroître la valeur apportée aux clients sans compromettre leur compétitivité-prix. Dès lors, quelles solutions concrètes permettent d'améliorer l'offre et de se positionner sur les segments porteurs ? Comment limiter les risques de rupture dans la supply chain ? Et quelles stratégies adopter pour accélérer la montée en productivité ?
Comment redynamiser l'activité des prestataires de santé à domicile (PSAD) et préserver leurs marges dans un environnement sous pression ? Notre étude identifie les leviers clés pour renforcer leur modèle économique et saisir les opportunités offertes par la télésurveillance médicale.
Porté par le vieillissement démographique et le virage ambulatoire, le marché des prestataires de santé à domicile (PSAD) reste structurellement dynamique. Pourtant, leur profitabilité se détériore sous l'effet des baisses tarifaires décidées par l'Assurance-maladie, notamment dans l'apnée du sommeil. Pour restaurer leurs marges, les PSAD doivent donc clarifier leur positionnement et démontrer leur valeur ajoutée. Ils disposent de réels atouts : une expertise reconnue en télésuivi et un rôle d'interface clé entre patients, médecine de ville et hôpital qui garantit la continuité des soins. Mais ils peinent encore à capitaliser sur le déploiement de la télésurveillance alors même que leur légitimité dans ce domaine est établie. En parallèle, la concurrence se renforce. Les officines s'implantent sur le segment du diabète, profitant de l'essor des systèmes de « boucles semi-fermées » associés aux pompes à insuline. Dès lors, comment tirer parti des opportunités offertes par la télésurveillance et, plus largement, par le numérique en santé ? Quel rôle distinctif jouer dans l'essor de la médecine à distance ? Et vers quelles nouvelles activités se diversifier pour réduire leur exposition aux baisses tarifaires et à la pression concurrentielle ?
Comment les EdTech peuvent-elles poursuivre leur croissance malgré le recul des financements, la pression sur la rentabilité et la dégradation des perspectives économiques ? Notre analyse met en lumière les mutations du secteur, les obstacles à lever ainsi que les opportunités d'affaires qui s'offrent aux acteurs du marché.
Après une décennie d'expansion accélérée par la digitalisation de l'enseignement et la crise sanitaire, les EdTech doivent désormais composer avec une nouvelle donne. Les levées de fonds se raréfient, les projets en amorçage suscitent moins d'intérêt, et les financements se concentrent sur les structures les plus matures. Cette inflexion marque une rupture. La croissance à tout prix cède la place à l'impératif de rentabilité rapide. Or, beaucoup de modèles peinent à répondre à cette exigence. L'intelligence artificielle émerge à ce titre comme un levier central. Elle permet de proposer des solutions ultra-personnalisées, tout en générant des gains de productivité cruciaux. Par ailleurs, l'adoption des offres EdTech reste inégale selon les segments. Elles peinent notamment à s'imposer sur les marchés publics et à convaincre les enseignants. Face à cela, comment les EdTech peuvent-elles mieux intégrer les besoins des enseignants et des institutions ? Quelles perspectives se dessinent pour chacun des segments d'ici 2027 alors que les tensions géoéconomiques se multiplient ? La consolidation autour de quelques leaders est-elle inévitable ?
Comment le marché du smart building peut-il véritablement changer d'échelle ? En plus de notre scénario exclusif sur ses perspectives d'ici 2030, notre étude met en lumière les enjeux, défis et opportunités stratégiques afin d'accélérer l'essor des bâtiments intelligents sur le territoire.
Porté par les impératifs de transition énergétique et la numérisation du parc immobilier, le marché français du smart building affiche un fort potentiel de croissance. Ce dynamisme est d'autant plus prometteur que seuls 15% des bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² sont aujourd'hui équipés de systèmes de gestion technique du bâtiment (GTB). Un taux qui se révèle très en deçà des exigences fixées par le décret Tertiaire imposant une réduction significative de la consommation énergétique d'ici 2030. À court terme, toutefois, le secteur reste freiné par une conjoncture défavorable dans la construction de bureaux. Pour libérer tout son potentiel, la filière devra aussi surmonter plusieurs défis de taille, tant techniques qu'économiques : interopérabilité des solutions, cybersécurité des équipements connectés et financement des installations. Dans ce contexte, quelles sont les réelles perspectives de ce marché à l'horizon 2030 ? Quels segments sont les plus prometteurs ? Et quel sera le rôle de l'intelligence artificielle dans la généralisation des bâtiments connectés ?
Comment faire de la seconde main une offre grand public, attractive et économiquement viable ? Notre étude identifie les leviers d'action prioritaires pour accompagner à la fois les distributeurs traditionnels et les spécialistes de l'occasion dans leur montée en puissance sur ce segment en forte croissance.
Dopé par un pouvoir d'achat en berne et la quête d'une consommation plus responsable, le marché de la seconde main a doublé entre 2019 et 2024 pour atteindre 14 milliards d'euros. Cette dynamique s'appuie largement sur le succès des plateformes C2C comme Vinted, Vestiaire Collective ou Leboncoin. Deux fronts se dessinent aujourd'hui. D'un côté, les distributeurs traditionnels cherchent à intégrer l'occasion à leur modèle, avec un triple défi : fluidifier le parcours client, rassurer sur la qualité et préserver la rentabilité sans cannibaliser le neuf. Leur force logistique est un atout, mais la viabilité économique reste fragile. De l'autre, les spécialistes doivent consolider leur position dans des secteurs clés comme la mode, l'électronique ou le luxe. Si l'intermédiation entre particuliers permet de limiter les coûts, les modèles plus intégrés — avec reprise, remise en état et revente — peinent encore à atteindre l'équilibre, comme l'a montré l'échec de Rediv. Dès lors, comment structurer des modèles viables et compétitifs, notamment dans l'habillement où l'ultra fast fashion gagne du terrain ? Quelles innovations peuvent rapprocher l'expérience d'achat de celle du neuf ? Et comment élargir la cible au-delà des acheteurs déjà convaincus ?
Comment les sociétés d'ingénierie de la construction peuvent-elles conjuguer compétitivité et innovation dans un environnement conjoncturel défavorable ? En plus de prévisions exclusives sur l'activité et les marges jusqu'en 2027, notre étude identifie les leviers de croissance durable face à la crise du BTP, au recul de l'investissement industriel et aux incertitudes géopolitiques.
La détérioration du contexte économique impose en réalité une refonte des stratégies de développement. Les ingénieristes doivent ainsi se positionner en chef d'orchestre de la transition environnementale. Leur légitimité repose sur une expertise technique qu'ils peuvent mettre au service de la rénovation énergétique, mais aussi de secteurs porteurs comme les data centers, les gigafactories ou l'hydrogène. Ces opportunités nécessitent une montée en compétence vers des solutions intégrées, où le jumeau numérique devient essentiel. L'intelligence artificielle (IA), en optimisant la conception, la gestion énergétique et le suivi carbone, accélère cette mutation. Elle redéfinit les rôles au sein de la filière et ouvre la voie à une nouvelle ingénierie, plus impliquée dans les décisions stratégiques des projets et capable de piloter des approches transversales, alliant performance technique, environnementale et numérique. Dès lors, quelles applications concrètes de l'IA peuvent réellement transformer les pratiques des bureaux d'études ? Quels leviers de croissance s'offrent à eux dans un marché sous pression ? Et comment faire évoluer leur modèle pour regagner en compétitivité ?
Les enseignes de bazar et de déstockage peuvent-elles maintenir leur croissance fulgurante face à un environnement plus concurrentiel et incertain ? Notre étude identifie les leviers clés pour dépasser les limites du modèle, renforcer son attractivité et se distinguer dans un marché ultra-compétitif.
Malgré un contexte économique morose, le succès des chaînes de magasins à petits prix ne se dément pas en France. Portées par une clientèle friande de bonnes affaires et d'une offre sans cesse renouvelée, ces enseignes ont conquis le paysage du retail. Mais derrière cette dynamique se cachent de sérieuses tensions. La pression sur les marges devient critique, minée par une guerre des prix permanente ainsi que par des stratégies parfois coûteuses comme le soft discount. La concurrence, elle, se durcit. Les géants européens tels Action ou Normal accélèrent leur implantation grâce à une puissance d'achat optimisée et une logistique bien rodée. En parallèle, les plateformes chinoises adoptent une approche digitale agressive, menaçant les positions des acteurs traditionnels, à l'image des difficultés rencontrées par GiFi. Le modèle d'expansion, lui aussi, atteint ses limites, les zones périphériques arrivant à saturation. Dès lors, quelle stratégie mobiliser pour dépasser ce plafond de verre et assurer une croissance durable ? Comment préserver les marges tout en maintenant des prix bas ? Et comment transformer le digital en moteur de développement à part entière, plutôt qu'en simple outil d'appoint ?
Comment le secteur des résidences étudiantes peut-il allier croissance durable, adaptation aux nouveaux besoins et résilience face aux tensions immobilières ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour tirer pleinement parti d'un marché toujours porteur, mais où des points de fragilités méritent attention.
Avec le déclin annoncé du nombre d'étudiants, la pénurie de foncier en zones urbaines et la flambée des coûts de construction, les modèles de développement traditionnels sont aujourd'hui fortement remis en cause. Ce contexte oblige les acteurs à devenir plus sélectifs dans le choix des implantations et plus innovants dans la conception des projets. L'heure n'est plus à la simple extension du parc, mais à la reconversion de bureaux vacants en logements, à la focalisation sur les territoires à haut potentiel, et à l'ouverture vers les marchés européens peu structurés. En parallèle, il est essentiel de repenser l'offre afin de la réaligner avec les capacités financières réelles des étudiants et de leurs familles. Les pistes sont multiples, entre création d'une gamme de résidences plus segmentée, ciblage de nouveaux profils clients comme les jeunes actifs, et mise en place de formats plus hybrides et flexibles. En toile de fond, une consolidation du secteur se précise qui pourrait rebattre la hiérarchie des forces en présence. Dès lors, quelles perspectives se dessinent pour le marché d'ici 2027 ? Comment retravailler concrètement l'offre ? Et quelles stratégies pour développer des résidences étudiantes malgré la rareté du foncier et l'évolution des usages ?
Comment les fonctions Achats peuvent-elles capitaliser sur l'intelligence artificielle pour renforcer leur performance et gagner en agilité ? Notre étude exclusive met en lumière les leviers d'optimisation les plus prometteurs pour automatiser les processus, fiabiliser les décisions et créer de la valeur durable grâce à l'IA.
Ces technologies transforment déjà le département des Achats, du sourcing à la facturation. Les avantages sont bien tangibles : hausse notable de la productivité, diminution des risques fournisseurs, contrôle affiné des coûts et renforcement du pilotage stratégique. Malgré cela, l'adoption de l'IA demeure souvent incomplète. De nombreuses organisations en sont encore à un stade préliminaire, freinées par la faible qualité des données, un manque de formation adéquate et des doutes persistants sur le retour sur investissement. Un écart se creuse entre les grandes entreprises, qui accélèrent grâce à des stratégies claires et des partenariats technologiques robustes, et les PME ou administrations qui butent contre des obstacles budgétaires et organisationnels. Dès lors, comment lever les freins à l'adoption de l'IA dans les Achats ? Quels exemples d'utilisation offrent un retour sur investissement rapide et concret ? Et quelles stratégies de déploiement assurent une transformation fluide, sécurisée et sur mesure pour chaque organisation ?
L'hygiène-beauté peut-elle rester un incontournable dans les choix de consommation des ménages d'ici 2027 face à un contexte économique compliqué ? Notre étude décrypte les tendances clés, les circuits les plus dynamiques ainsi que les leviers pour permettre aux enseignes spécialisées de se différencier autrement que par les prix.
Sous l'effet d'un pouvoir d'achat fragilisé, les consommateurs privilégient désormais les marques de distributeurs, les circuits alternatifs et les offres low-cost. Les plateformes comme Shein et Temu, les enseignes telles Action et Normal ainsi que les marques-enseignes à l'image d'Adopt' et Avril captent désormais une part croissante du marché. Face à cette déferlante, les parfumeries sélectives et la grande distribution voient leur modèle ébranlé, confrontées à une double menace : la banalisation de l'offre et l'érosion des marges. Le risque ? Une perte rapide d'attractivité et un décrochage face à ces nouveaux acteurs. Pourtant, la bataille ne se joue pas seulement sur les prix. Les consommateurs attendent aussi personnalisation, clean beauty et expériences d'achat immersives. Autant de leviers différenciants que les circuits traditionnels doivent s'approprier pour rester attractifs. Innover, se réinventer et capitaliser sur l'intelligence artificielle (IA) et la beauty tech devient vital pour optimiser les marges, recréer de la valeur et améliorer l'expérience client. Dès lors, comment les distributeurs spécialisés peuvent-ils capitaliser sur ces technologies ? Quels leviers pour sortir de la concurrence par les prix ? Et quelles perspectives pour l'ensemble du marché d'ici 2027 ?
Comment les marques d'alternatives végétales peuvent-elles élargir le socle de consommateurs et passer d'un marché de niche à un marché de masse ? Notre étude exclusive révèle les stratégies essentielles pour exploiter pleinement le potentiel de ce « nouveau » domaine de l'agroalimentaire en France.
Malgré la contraction des ventes mondiales d'alternatives végétales et le recul de la confiance des investisseurs envers les start-up, le marché français résiste, soutenu par une offre élargie et un nombre croissant de flexitariens. Toutefois, cette tendance pourrait s'inverser d'ici 2030. La méfiance à l'égard des produits ultra-transformés augmente et les substituts végétaux actuels peinent à séduire au-delà des consommateurs végétariens et végans. En parallèle, les marques historiques perdent du terrain face aux start-up et aux grands groupes qui captent une part croissante des ventes grâce à des stratégies plus agressives. Pour assurer une transition vers un marché de masse, les industriels doivent repenser leur offre : limiter le recours aux ingrédients ultra-transformés, mettre en avant les bénéfices environnementaux plutôt que le bien-être animal ou encore capter de nouveaux profils, comme les sportifs et les seniors. Une meilleure diffusion de l'offre dans la restauration et les magasins bio pourrait également jouer un rôle clé. Dès lors, comment structurer une offre plus attractive et pérenne face à ces défis ? Quels modèles adopter pour capter un public plus large ?
Comment les banques et les assureurs peuvent-ils tirer parti de l'intelligence artificielle (IA) pour stimuler leur croissance et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie les cas d'usage les plus pertinents pour atteindre l'excellence opérationnelle, fluidifier le parcours client et améliorer la gestion des risques.
Alors que les banques et les assureurs ont d'ores et déjà débloqué des budgets conséquents et multiplié les projets pilotes autour de l'IA, l'enjeu est désormais de consolider les gains de productivité. Déployées à plus grande échelle, ces technologies promettent en effet d'économiser d'importantes ressources et de gagner du temps sur de nombreuses opérations de back-office. Certaines applications d'IA améliorent également la satisfaction client grâce à un traitement plus efficace des interactions à toutes les étapes, en particulier dès l'entrée en relation. Cependant, tous les acteurs ne sont pas au même stade de maturité en matière de déploiement de l'IA, car l'adoption de ces technologies se heurte encore à des difficultés concrètes. Le recours à l'IA pose notamment des questions de sécurité des données, d'éthique et de transparence à l'égard des clients comme des collaborateurs. Dès lors, quels cas d'usage s'avèrent les plus prometteurs ? Quelles sont les stratégies d'implémentation de l'IA chez les banques et les assureurs ? Et quels partenaires sont les mieux placés pour aider à intégrer l'IA dans les process métiers ?
Comment les entreprises de services numériques (ESN) peuvent-elles préserver leurs marges et renforcer leur valeur ajoutée ? Au-delà des prévisions d'activité à l'horizon 2027, notre étude identifie les leviers stratégiques pour réinventer le modèle des ESN face à la faible croissance des dépenses IT et aux nouvelles attentes clients.
Mais c'est surtout l'essor fulgurant de l'intelligence artificielle (IA) générative qui vient bousculer les équilibres du secteur. L'IA représente à la fois un facteur d'efficacité opérationnelle pour les ESN mais aussi une source de pression supplémentaire, en alimentant de nouvelles exigences côté clients. Ces derniers attendent désormais des prestations plus qualitatives, des délais d'exécution raccourcis et, parfois, une répercussion directe des gains de productivité sur les prix. Les ESN doivent dès lors impérativement se différencier pour renforcer leur proposition de valeur grâce par exemple à l'open source, à leur expertise en cybersécurité ou encore à une gestion financière optimisée du cloud (FinOps). Un autre défi majeur est d'attirer et retenir des talents très recherchés en s'appuyant sur une solide marque employeur et des stratégies RH nouvelles. Dès lors, quelles stratégies d'innovation organisationnelle adopter pour rester compétitif ? Comment préserver les marges tout en répondant aux attentes des DSI en quête d'agilité et d'économies ? Et comment transformer les gains de productivité permis par l'IA en avantage concurrentiel sans céder à la pression sur les prix ?
Face à un environnement concurrentiel redéfini par l'open finance et par les nouvelles technologies, comment optimiser la relation client dans la banque et l'assurance ? Notre étude exclusive dévoile les meilleurs cas d'usage pour automatiser les process et proposer une expérience client différenciante grâce à l'intelligence artificielle (IA).
L'IA représente un levier stratégique alors que la directive européenne FIDA ouvre l'accès aux données financières et assurantielles à des tiers, imposant de nouveaux standards de compétitivité. L'IA automatise en effet les tâches répétitives, réduit les coûts et libère du temps aux équipes, leur permettant de se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. Loin de remplacer le conseiller, l'IA le complète, l'amplifie et lui permet de se recentrer sur l'essentiel. Mais son adoption pose des défis majeurs aux organisations : garantir l'explicabilité des modèles, limiter leur empreinte énergétique, assurer une accessibilité pour tous les clients et faciliter l'appropriation des outils par les collaborateurs. Réussir cette transition ne se limite pas à un déploiement technologique. Elle exige une transformation en profondeur, à la fois culturelle et organisationnelle. Dès lors, comment tirer parti de l'IA pour une relation client plus fluide et personnalisée, sans tomber dans la standardisation ? Et comment redonner du sens à l'accompagnement humain et réinventer le rôle des agences face à la baisse de leur fréquentation ?
Comment les investisseurs et gestionnaires d'actifs peuvent-ils redonner de l'attrait aux bureaux dans un marché sous pression ? En plus de prévisions exclusives jusqu'en 2027, cette étude met en lumière les nouvelles stratégies permettant de développer l'occupation des surfaces et la rentabilité des actifs tertiaires.
Le marché des bureaux traverse en effet une phase d'incertitude profonde. La vacance atteint des niveaux record, avec plus de 5 millions de mètres carrés inoccupés en France. La polarisation s'accentue également, entre les emplacements centraux qui résistent et les zones périphériques qui subissent une désaffection marquée. À cela s'ajoute un cocktail de facteurs défavorables — essor du télétravail, contraction de l'emploi tertiaire, taux élevés — qui freinent la reprise. Dans ce contexte, restaurer l'attractivité des bureaux devient un impératif. Plusieurs leviers se dessinent. L'intégration de services premium inspirés de l'hospitality management ou la gestion externalisée des sites vacants émergent comme des solutions efficaces. La reconversion d'actifs vers des usages résidentiels ou mixtes représente aussi une alternative à fort potentiel, notamment via des partenariats avec des opérateurs spécialisés. Dès lors, quels seront les nouveaux standards d'attractivité immobilière à l'horizon 2027 ? Comment lever les obstacles à la reconversion des actifs ? Et comment évoluera le marché d'ici 2027 ?
Comment les banques peuvent-elles conquérir les professionnels et très petites entreprises (TPE) ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour répondre aux nouvelles attentes de cette clientèle, séduire les entrepreneurs dès la création de leur activité et se différencier sur ce marché très compétitif.
La concurrence s'intensifie en effet avec l'essor des néobanques et des offres « comptes pro » portées par les comptatech, legaltech et fintech et qui couvrent également les besoins administratifs des TPE. Les banques traditionnelles doivent dès lors adopter des stratégies d'acquisition client offensives pour se conformer aux nouveaux standards dictés par ces intervenants. L'intelligence artificielle peut par exemple révolutionner l'interaction avec les prospects en simplifiant et en accélérant les processus réglementaires nécessaires à l'ouverture de comptes professionnels. Il est par ailleurs essentiel pour les banques d'élargir leur offre de services afin de répondre aux exigences des professionnels qui recherchent des solutions simples pour gérer leur activité au quotidien. Les établissements bancaires vont devoir en parallèle agir pour maîtriser le risque client face à la forte remontée des défaillances d'entreprises. Dès lors, quelles sont précisément les mesures pour déployer une stratégie commerciale innovante et à fort impact auprès de cette clientèle ? Comment capter l'attention des entrepreneurs ? Et quel avenir pour le marché d'ici 2027 ?
La transition vers un système électrique neutre en carbone s'accélère en France et en Europe, plaçant le stockage par batteries au cœur des stratégies énergétiques. Mais quels leviers activer pour capter les opportunités de ce marché en plein développement ? Notre étude exclusive décrypte les segments les plus porteurs et les clés pour se démarquer.
L'essor du stockage repose sur des dynamiques puissantes : chute des coûts des batteries, croissance rapide des énergies renouvelables, besoin accru de flexibilité sur le réseau. Le stockage devient indispensable pour équilibrer l'offre et la demande, optimiser l'autoconsommation d'électricité verte et accompagner le déploiement des infrastructures de recharge des véhicules électriques. Toutefois, les acteurs doivent surmonter plusieurs obstacles dans un secteur encore jeune et peu structuré. Le développement de projets de grande ampleur implique en particulier des investissements considérables. Il reste aussi exposé aux incertitudes des marchés de l'énergie et aux évolutions réglementaires. La rentabilité des projets dépendra alors fortement de la capacité des développeurs à diversifier leurs sources de revenus, par exemple en maîtrisant les mécanismes de trading et d'arbitrage sur les marchés spot et infra-journaliers de l'électricité. En outre, la domination actuelle des batteries lithium-ion de technologie LFP – malgré leurs performances économiques – soulève encore des questions environnementales et technologiques. Dans ce contexte, quels sont les choix stratégiques à privilégier ? Comment optimiser le modèle économique du stockage par batteries ? Et quelles transformations du marché faut-il anticiper d'ici 2030 ?
Comment développer le marché des systèmes d'autoconsommation d'énergie solaire malgré la baisse des aides publiques à l'installation ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour bâtir des perspectives solides à long terme alors que moins de 3% des propriétaires produisent leur propre électricité grâce à des panneaux solaires.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies de diversification les plus pertinentes face au coup de frein à venir du marché. Parmi elles, le développement de solutions de stockage d'énergie constitue une piste intéressante du fait de leur compétitivité croissante. La conquête de nouveaux profils clients constitue également un axe central, en particulier auprès des habitants des centres urbains. L'autoconsommation en France reste en effet surtout réservée aux maisons individuelles, à la différence de l'Allemagne par exemple. En parallèle, il est essentiel de concevoir des approches innovantes pour rendre l'autoconsommation plus accessible financièrement. Les coûts d'installation restent en effet un obstacle majeur pour de nombreux particuliers et entreprises. Dès lors, quelles sont les mesures les plus adaptées pour démocratiser ces équipements ? Comment attirer de nouveaux utilisateurs ? Et quel est le véritable potentiel du marché de l'autoconsommation photovoltaïque à moyen terme ?
Comment relancer l'activité des industriels de la boulangerie-viennoiserie-pâtisserie (BVP) ? En plus d'une analyse exclusive des perspectives du secteur jusqu'en 2028, notre étude identifie les leviers clés pour tirer parti des nouvelles tendances de consommation et réussir à l'international.
Les attentes des consommateurs évoluent en effet rapidement, poussant les fabricants à ajuster leur offre. En grande distribution, la praticité devient un critère d'achat essentiel, et la diversité des formats et des goûts prend une place grandissante. La recherche de bénéfices nutritionnels influence aussi les choix comme le montre le succès des pains hyperprotéinés. Dans la restauration, les enseignes privilégient des solutions de BVP adaptées à la consommation rapide et à la livraison, tandis que les boulangeries artisanales font face à des contraintes de production et de rentabilité plus fortes. En parallèle, les ventes à l'export, moteur traditionnel de la BVP industrielle, se heurtent aujourd'hui à l'émergence de barrières protectionnistes, notamment aux États-Unis. Pourtant, avec plus de 7 milliards d'euros de pains et viennoiseries importés en 2024 soit quatre fois plus qu'en 2014, le pays reste un marché incontournable pour les industriels français. Dès lors, quelles stratégies adopter pour sécuriser les ventes à l'international ? Et comment repenser l'offre de BVP pour répondre aux attentes du retail et de la restauration hors domicile ?
Alors que l'avenir du système de retraite par répartition reste incertain, la capitalisation s'impose peu à peu comme un complément pour garantir des revenus pérennes aux Français après leur vie active. Dès lors, comment encourager l'essor des produits d'épargne retraite supplémentaire et en accélérer l'adoption ? Notre étude identifie les leviers clés pour élargir la diffusion des plans d'épargne retraite (PER) à de nouveaux segments de clientèle et rendre ces solutions plus attractives auprès de la population.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies pour étendre la prospection au-delà des ménages aisés, jusqu'ici cœur de cible des acteurs du secteur. Alors que plus de 80% des Français ne disposent pas de PER et que le financement des retraites demeure un sujet majeur, diversifier les canaux d'acquisition apparaît comme une priorité pour favoriser l'adoption de ce produit. Une approche pédagogique est aussi indispensable afin de sensibiliser les entreprises et promouvoir l'épargne collective. Par ailleurs, les nouvelles technologies offrent des opportunités pour optimiser la souscription et la gestion des PER. Certaines solutions basées sur l'intelligence artificielle (IA) permettent, par exemple, d'affiner les arbitrages d'investissement et de limiter les risques de perte à court terme. Dès lors, quels sont précisément les apports des nouvelles technologies pour améliorer la souscription et la gestion des PER ? Quelles actions concrètes peuvent encourager leur souscription ? Et quelles évolutions attendre du marché d'ici 2026 ?
Comment pérenniser la croissance et les marges des campings implantés sur le territoire face à l'uniformisation de l'offre et l'essor de puissantes plateformes de réservation ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour permettre aux campings de se différencier, fidéliser leurs clients et consolider leur modèle économique.
Face à une concurrence exacerbée, attirer et retenir un public toujours plus exigeant est devenu un enjeu majeur. Les chaînes nationales, soutenues par des fonds d'investissement, déploient des stratégies marketing offensives, montent en gamme et développent leurs infrastructures pour accroître leur domination. En parallèle, les destinations d'Europe du Sud gagnent du terrain grâce à une offre plus compétitive, exerçant une pression supplémentaire sur l'hôtellerie de plein air française. L'intermédiation des réservations accentue encore ces défis. Avec l'essor des plateformes comme Booking, de nombreux campings voient leurs bénéfices se réduire sous l'effet des commissions, et leur relation client s'éroder. Face à ce risque, des initiatives s'imposent pour reprendre le contrôle de la distribution et renouer un lien direct avec les vacanciers. Mais la bataille ne se joue pas uniquement sur la commercialisation. La qualité de l'expérience devient déterminante pour se différencier des resorts de plein air standardisés et renforcer la fidélité des clients. Dès lors, quelles approches privilégier pour offrir des séjours uniques et se démarquer ? Comment freiner l'intermédiation des réservations ? Et quelles stratégies pour les chaînes face au risque climatique ?
Comment les promoteurs immobiliers peuvent-ils réinventer leur modèle et renouer avec la performance alors qu'ils affrontent une crise historique depuis 2022 ? Notre étude exclusive révèle les leviers essentiels pour s'adapter face à la pénurie foncière, à l'escalade des coûts et à la fragilisation de la solvabilité des accédants.
L'accès à la propriété s'est transformé en un véritable parcours d'obstacles pour les ménages. Leur pouvoir d'achat immobilier stagne, tandis que les prix du neuf ne cessent de grimper. Les promoteurs, eux, disposent de marges de manœuvre réduites pour contenir la hausse de leurs coûts en raison de la rareté des terrains à bâtir. Ils ne peuvent plus compter également sur les aides publiques à l'investissement locatif qui assuraient jusqu'ici la viabilité économique des projets. Pourtant, des solutions existent pour rendre l'offre plus accessible, tels que le bail réel solidaire ou d'autres formes d'accession aidée. En parallèle, face à la réticence croissante des collectivités à autoriser de nouveaux projets pour limiter l'étalement urbain, la réhabilitation devient une voie incontournable. Ces opérations, dites de « recyclage urbain », transforment l'existant pour proposer une offre résidentielle et tertiaire là où les besoins sont les plus pressants. Mais elles exigent d'abandonner la standardisation au profit du sur-mesure, donc de repenser les procédures et d'adapter les organisations. Dès lors, quelles initiatives concrètes peuvent permettre de renouer avec la demande des accédants et des investisseurs ? Et quelles évolutions de marché attendre d'ici 2030 ?
Face à la contraction des dépenses de formation, comment les organismes peuvent-ils adapter leur catalogue et transformer leur approche commerciale ? Notre étude identifie 10 leviers clés pour redynamiser l'activité, renforcer l'attractivité des offres et tirer parti des nouvelles tendances du marché.
Il devient en effet urgent de repenser l'offre dans un contexte où les financements publics se raréfient et où les entreprises rationalisent leurs achats. Les acteurs doivent proposer des solutions en phase avec les priorités actuelles, comme des actions de sensibilisation au risque cyber, capables de mobiliser un large public en entreprise. Mais l'innovation ne s'arrête pas aux contenus. Une stratégie commerciale renouvelée est incontournable pour se démarquer, capter de nouveaux donneurs d'ordres et fidéliser ses clients sur un marché ultra-concurrentiel où plus de 94 000 organismes se disputent l'attention des acheteurs. L'intelligence artificielle (IA) ouvre également des perspectives inédites pour enrichir l'expérience d'apprentissage. Au-delà des chatbots intelligents, capables de répondre avec précision aux questions sur un cours, l'IA permet de personnaliser les parcours de formation en fonction des besoins de chaque apprenant. Dès lors, comment l'IA peut-elle concrètement améliorer l'efficacité des formations ? Quels sont les gisements de croissance les plus prometteurs ? Et quelles perspectives se dessinent pour le marché d'ici 2027 ?
Comment les cabinets de conseil peuvent-ils relever les défis de l'intelligence artificielle et en faire une opportunité pour accélérer leur transformation ? Notre étude identifie 10 facteurs clés à prendre en compte pour capitaliser sur le potentiel de ces technologies et se positionner avantageusement sur le marché.
L'intelligence artificielle générative soulève en particulier des interrogations sur son impact économique et stratégique. Si elle est souvent perçue comme une menace, son effet déflationniste exige de préserver la valeur des expertises humaines face à l'automatisation des tâches. Les modèles traditionnels de rémunération doivent aussi être repensés. L'engagement au résultat ou la facturation au forfait deviennent essentiels pour mieux rentabiliser les investissements liés à l'IA. Ils garantissent aussi aux clients une meilleure visibilité sur les coûts, surtout lorsque les budgets sont contraints. En parallèle, l'adoption de l'IA entraîne une dépendance renforcée à des solutions technologiques externes, souvent détenues par les grandes entreprises de la Tech. Cette réalité expose les sociétés de conseil à des hausses tarifaires imprévisibles, des interruptions de service ou encore à des risques accrus en matière de sécurité des données. Dès lors, comment les leaders du consulting réinventent-ils leurs stratégies et façonnent-ils de nouvelles attentes clients à l'ère de l'IA ? Comment les cabinets indépendants peuvent-ils élaborer des stratégies adaptées et pérennes ? Le modèle historique du partnership est-il encore viable ?
Comment les professionnels du droit peuvent-ils enrichir la qualité de services tout en améliorant leur efficacité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie les cas d'usage de l'IA les plus pertinents pour optimiser les performances opérationnelles des organisations, répondre aux enjeux de sécurité et de confidentialité des données, et renforcer les processus de conformité et de lutte contre la fraude.
L'IA générative propulse en réalité les métiers juridiques dans une nouvelle ère. Ces technologies ouvrent la voie à des gains de productivité colossaux grâce à l'automatisation des tâches clés : veille juridique, rédaction d'actes, gestion des contrats, due diligences, transcription des entretiens… Mais l'IA doit également permettre aux juristes, avocats et notaires de rehausser la qualité de leurs services, un défi clé face au risque déflationniste qu'induit justement l'IA sur les activités juridiques de base. Les pistes sont nombreuses, de la mise en conformité à l'anticipation des décisions de justice, en passant par la sécurisation des données et la détection des risques de fraude. L'IA doit ainsi faciliter l'accès à de nouvelles sources de différenciation pour s'extraire d'une forte concurrence et des pressions tarifaires imposées par les clients. Dès lors, quels sont les prérequis essentiels pour optimiser les activités juridiques grâce à l'IA ? Comment utiliser l'IA pour augmenter la valeur ajoutée des prestations ? Et quels impacts les investissements en IA auront-ils sur la concurrence entre les cabinets juridiques et les fournisseurs d'IA ?
Comment l'intelligence artificielle peut-elle dynamiser le commerce physique et enrichir l'expérience d'achat en ligne ? En plus d'un scoring exclusif de Xerfi évaluant la maturité des distributeurs en matière d'IA, notre étude identifie les cas d'usage les plus pertinents pour accroître le panier moyen, diminuer les pertes des magasins et améliorer les performances des sites e-commerce.
L'étude décrypte en particulier les stratégies et modalités de déploiement de l'IA des retailers. En magasin, cette technologie s'impose comme un levier pour fidéliser et augmenter les marges. Des assistants intelligents permettent par exemple aux vendeurs de répondre plus efficacement aux sollicitations des clients en s'appuyant sur des données contextuelles précises. En parallèle, certaines applications ajustent les prix en temps réel pour s'adapter à la demande et réduire le gaspillage des grandes surfaces alimentaires. Dans le commerce en ligne, l'IA joue un rôle décisif pour attirer, retenir et convertir les internautes. Des chatbots avancés sont capables de générer des recommandations de produits personnalisées, à partir des données des marques et les historiques d'achat. Mais qu'il s'agisse de commerce physique ou digital, les retailers devront opter pour des solutions d'IA qui offrent un retour sur investissement rapide au regard des contraintes financières actuelles qui limitent les budgets d'investissement. Dès lors, quels sont les cas d'usage d'IA les plus performants pour maximiser la rentabilité ? Et quels sont les distributeurs les plus avancés en matière d'IA ?
Comment les logisticiens peuvent-ils tirer parti de l'intelligence artificielle (IA) pour stimuler leur croissance et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie les cas d'usage les plus pertinents pour atteindre l'excellence opérationnelle, fluidifier le parcours client et réduire l'empreinte carbone des spécialistes de la supply chain.
Nous mettons notamment en lumière les solutions d'IA qui optimisent efficacement les besoins en main-d'œuvre. Le secteur doit en effet affronter des problèmes chroniques de recrutement et un absentéisme élevé. Plus de 6 millions de journées de travail sont perdues chaque année dans la branche transport et logistique, surtout à cause des accidents du travail. L'IA permet ainsi de simplifier le quotidien des livreurs et d'augmenter significativement la productivité, par exemple en rationalisant les tournées et en minimisant les pannes d'équipements. Par ailleurs, certaines applications d'IA améliorent la satisfaction client grâce à un traitement plus efficace des interactions clients à toutes les étapes, de la prise de contact à l'après-vente. Les progrès de l'IA peuvent aussi s'appliquer au pilotage des stratégies de responsabilité sociale et environnementale (RSE) des prestataires logistiques. Cependant, tous ne sont pas au même stade de maturité en matière de déploiement de l'IA. Si Amazon et Alibaba sont à la pointe, les autres leaders multiplient les efforts pour s'aligner. Dès lors, comment s'y prennent-ils ? Quelles sont les stratégies d'implémentation de l'IA chez les logisticiens ? Et quels cas d'usage sont les plus prometteurs ?
Comment les sociétés d'assistance peuvent-elles tirer pleinement parti de la révolution de l'intelligence artificielle et se diversifier face à la maturité de leur cœur de métier ? Notre étude identifie 10 leviers clés pour améliorer la performance de la relation client et étendre les services d'assistance à de nouveaux domaines.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies de développement les plus pertinentes, alors que le volume de prises en charge plafonne sur les segments phares de l'assistance automobile, santé et voyage. En effet, les Français sont déjà largement équipés, le plus souvent via leurs contrats d'assurance. Pour élargir leur champ d'action, les assisteurs doivent proposer des activités déconnectées des seules situations d'urgence et davantage ancrées dans le quotidien des Français, par exemple dans l'intermédiation en travaux de rénovation. Il est également crucial d'explorer les opportunités offertes par les technologies d'intelligence artificielle (IA) dans le but d'améliorer la performance des téléconseillers. Au-delà des agents virtuels de nouvelle génération, qui promettent de réduire le délai de traitement des dossiers, certaines technologies d'IA peuvent aussi aider à mieux identifier les fraudes. Dès lors, où se situent les gisements de croissance ? Quelles offres spécifiques peuvent favoriser le réflexe assistance des clients ? Et quels sont précisément les apports de l'IA pour accroître l'efficacité du service clients ?
Comment développer la croissance des entreprises funéraires malgré l'essor des crémations et la concurrence grandissante des enseignes et du secteur public ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers pour différencier son offre, développer de nouvelles sources de revenus et répondre aux attentes des Français pour l'organisation des obsèques.
Nous mettons notamment en lumière les solutions les plus pertinentes pour créer des offres personnalisées et moderniser l'accueil des familles afin de se démarquer des concurrents. En effet, plusieurs dizaines d'agences ouvrent leurs portes tous les ans sur le territoire, sous l'impulsion des groupes familiaux nationaux et régionaux, mais aussi des réseaux. En parallèle, des mesures doivent être instaurées pour valoriser la qualité de service, par exemple par un travail sur la transparence des offres et par la mise en avant de l'expertise des équipes. Des actions qui visent in fine à renforcer l'image des entreprises funéraires auprès du grand public tout en réduisant le taux de turn-over au sein de leurs effectifs. Par ailleurs, la hausse des crémations entraîne une baisse des ventes de pierres tombales et d'articles funéraires, obligeant les pompes funèbres à développer de nouvelles activités génératrices de revenus et de marges pour compenser le manque à gagner. Dès lors, comment peuvent-elles diversifier leur portefeuille de services de façon optimale ? Et quelles pistes privilégier pour se différencier concrètement sur un marché où les innovations sont encore rares ?
Comment redynamiser les ventes des brasseurs industriels et artisanaux ? En plus d'une analyse exclusive des perspectives du marché jusqu'en 2026, notre étude identifie les gisements de croissance à la disposition des leaders comme des PME du secteur pour regagner des parts de marché.
Après des années de croissance spectaculaire, la consommation de bière plafonne en France depuis trois ans. Les efforts de montée en gamme ne suffisent plus et les leaders doivent revoir leur positionnement pour à la fois mieux tirer parti de l'essor des craft beers, des bières sans alcool et aromatisées, tout en multipliant les occasions de consommation. D'autant que les opportunités de croissance en France restent significatives au regard de la consommation par habitant atteintes dans des pays comme l'Allemagne, la Pologne ou la République tchèque. Pour leur part, les brasseries indépendantes, bien qu'elles détiennent 10% du marché domestique, éprouvent encore des difficultés d'accès aux grandes surfaces et aux circuits hors domicile (CHD). Un défi qu'elles doivent surmonter pour espérer pérenniser leur activité. Dès lors, quelles stratégies pourraient permettre aux brasseries artisanales d'améliorer leur présence dans ces points de vente ? Quels sont les leviers de croissance encore inactivés par les leaders ? Et quelles sont les perspectives du marché de la bière d'ici 2026 ?
Comment les entreprises de facility management (FM) peuvent-elles exploiter le potentiel commercial lié à la qualité de vie au travail et la décarbonation du bâtiment ? Notre étude exclusive identifie les leviers pour tirer parti de la demande d'amélioration de la performance énergétique et de l'attractivité des espaces professionnels.
Les initiatives que nous défendons s'appuient sur la création de services innovants afin de répondre aux attentes des donneurs d'ordres en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et de flexibilité des bureaux. De nouveaux services qui viennent s'ajouter aux prestations de base, telles que la propreté, l'accueil et la gestion technique. Il s'avère par ailleurs indispensable d'accompagner les clients à travers une offre complète d'efficacité énergétique. Tandis que des objectifs de réduction des émissions carbone des bâtiments ont été fixés en France et en Europe, la valeur verte devient de fait un critère déterminant pour les propriétaires immobiliers à la recherche d'actifs conformes aux normes environnementales. En parallèle, les entreprises du FM peuvent encore exploiter des marchés clients à fort potentiel de croissance comme celui des data centers, en concevant des offres spécifiques. Dès lors, quelles sont les pistes à explorer pour dynamiser la croissance ? Comment les FMers peuvent-ils répondre efficacement aux enjeux climatiques autour de l'immobilier ? Et comment renforcer concrètement l'offre de services à destination des occupants ?
Comment les exploitants de stations de recharge peuvent-ils améliorer la rentabilité de leurs installations malgré des coûts d'infrastructure élevés et une demande fluctuante ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour optimiser les opérations, rendre les bornes publiques plus attractives et développer les revenus des acteurs.
Nous mettons en particulier en lumière les opportunités ouvertes par les solutions d'intelligence artificielle pour réduire l'indisponibilité des bornes et accroître leur fréquentation. Une évolution indispensable à l'heure où le contexte concurrentiel se durcit. Le parc de bornes publiques devrait en effet plus que doubler en France d'ici 2030 pour dépasser 400 000 unités, au risque d'entraîner une offre surabondante et de retarder le retour sur investissement des acteurs. Dans ce contexte où la compétition s'accentue, les gestionnaires doivent aussi se démarquer en améliorant significativement l'expérience utilisateur. Les clients, en particulier ceux qui dépendent des bornes publiques pour recharger leurs véhicules, exigent des services fiables, rapides et conviviaux. Un autre enjeu majeur consiste à optimiser l'approvisionnement en électricité des infrastructures pour se protéger de la volatilité des prix de l'énergie. Dès lors, comment les exploitants peuvent-ils concrètement adapter leur modèle économique ? Comment concilier extension des réseaux de recharge et rentabilité ? Et quels leviers pour se différencier de concurrents toujours plus nombreux ?
Comment dynamiser la croissance du bio ? Alors que le marché tente de se remettre du choc causé par la crise du pouvoir d'achat et l'inflation, notre étude exclusive analyse les nouvelles tendances, les facteurs de risque et les perspectives du marché jusqu'en 2026.
Après une timide reprise en 2024, la filière reste confrontée à des défis majeurs. La grande distribution, qui représente plus de la moitié des ventes, a réduit son offre de 23% entre 2020 et 2024, privilégiant les produits à forte rotation. Cette stratégie a accéléré le transfert de parts de marché vers les circuits spécialisés et le e-commerce. Mais avec l'amélioration attendue du pouvoir d'achat des ménages, les enseignes alimentaires généralistes pourraient revenir en force sur le bio, en particulier via leurs marques de distributeur. En parallèle, la contraction des surfaces agricoles engagées en bio fragilise l'amont de la filière. Le ralentissement des conversions côté agriculteurs menace de limiter l'offre et d'alimenter une hausse des prix. Restaurer la confiance des consommateurs est également essentiel alors que la démocratisation du label bio et l'extension de l'offre ont conduit à une méfiance généralisée. Dès lors, comment rétablir en pratique cette relation de confiance ? Les GSA peuvent-elles encore repasser à l'offensive sur le bio ? Et comment améliorer l'image-prix des enseignes spécialisées auprès des consommateurs ?
Comment améliorer l'attractivité de l'offre des garages automobiles, accélérer l'expansion des réseaux et s'adapter à l'essor des véhicules électriques et hybrides ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour fluidifier les parcours clients des automobilistes et attirer de nouveaux adhérents au sein des réseaux.
Nous mettons notamment en lumière les solutions les plus pertinentes pour développer une offre plus attractive et accessible, en mesure de dynamiser la demande. Les coûts de l'entretien-réparation automobile ont fortement augmenté ces dernières années sous l'effet de l'inflation et de la complexification des véhicules. Le budget auto des ménages n'a ainsi jamais été aussi lourd et les risques de report ou de renoncement à l'entretien aussi importants. En parallèle, la transition progressive, mais inéluctable, vers les motorisations électriques engage le secteur dans une profonde transformation. À moyen terme, les revenus des professionnels pourraient être menacés par ces véhicules à l'entretien plus simple et nécessitant moins de visites en atelier. Mais leur prise en charge représente surtout un défi technique, des investissements matériels et une montée en compétences des mécaniciens qui pourraient rebattre les cartes en faveur des constructeurs automobile et des concessionnaires. Dès lors, quelles sont les mesures concrètes pour développer une offre compétitive et innovante ? Quelles pistes privilégier pour poursuivre l'expansion des réseaux sous enseigne ? Et comment optimiser et généraliser la prise en charge des véhicules électriques ?
Quelles stratégies et innovations adopter pour s'imposer sur le marché de l'hydrogène bas carbone ? En plus d'analyser la demande prévisionnelle en France et dans le monde d'ici 2030-2050, notre étude exclusive identifie les leviers clés pour permettre aux entreprises de la filière de passer à l'échelle industrielle.
Nous mettons en particulier en lumière les actions pour améliorer la compétitivité de cette source d'énergie et répondre à la demande des secteurs clients tels que l'industrie lourde et le transport. En effet, de nombreux défis techniques et financiers restent à relever par les producteurs d'hydrogène, comme sécuriser l'approvisionnement en électricité verte à prix réduit, gérer efficacement l'intermittence des énergies renouvelables ou développer des projets plus modulaires. En parallèle, les entreprises du secteur doivent avoir une vision claire des évolutions technologiques possibles et se préparer à intégrer des équipements innovants à fort impact pour la filière. Il peut s'agir des électrolyseurs SOEC et AEM, de la plasmalyse du méthane, des piles à combustible sans platine, du stockage solide de l'hydrogène... Dès lors, quelles technologies de rupture permettent vraiment d'accroître la compétitivité de l'hydrogène bas carbone ? Quels seront les marchés clients les plus dynamiques ? Et quelles perspectives se dessinent pour la filière française ?
Comment accroître les taux d'occupation des résidences services seniors (RSS) et adapter l'offre aux attentes hétérogènes de la silver génération ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers essentiels pour mieux faire connaître ces établissements et satisfaire les exigences des retraités du baby-boom.
Nous mettons en particulier en évidence des pistes innovantes pour encourager les seniors à choisir ce mode d'hébergement et accélérer ainsi la montée en charge des structures les plus récentes. En effet, les taux de remplissage restent faibles dans certaines régions suite à l'augmentation rapide du parc qui a doublé en sept ans pour atteindre plus de 1 200 établissements. Ce constat est particulièrement notable dans des villes comme Toulouse, Angers ou Brest où la plupart des baby-boomers n'ont pas encore atteint l'âge d'entrer en résidence. En parallèle, face à la concurrence des acteurs du maintien à domicile, les gestionnaires de RSS doivent faire évoluer leur offre. Celle-ci est devenue trop standardisée, tant du point de vue des services proposés qu'au niveau de l'aménagement des espaces. Des initiatives s'avèrent également indispensables pour aider les occupants à conserver leur autonomie le plus longtemps possible. Dès lors, quel rôle les gestionnaires peuvent-ils jouer dans le domaine du care management ? Comment segmenter l'offre au regard de la diversité des attentes des nouveaux seniors en matière de style de vie ou de services ? Et quels leviers mobiliser pour promouvoir la vie en résidence ?
Comment les agents immobiliers et mandataires peuvent-ils améliorer leur efficacité commerciale et se différencier sur un marché qui devrait peu à peu sortir de la crise ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour tirer le meilleur parti de la prochaine reprise des ventes de logements d'ici 2026 ainsi que les parts de marché des différents canaux de vente d'ici 2030.
Nous mettons en particulier en évidence les services les plus pertinents afin d'aider les acteurs de l'immobilier à se distinguer de leurs concurrents. En effet, la compétition s'est accrue ces dernières années avec une hausse de 40% en à peine deux ans du nombre de professionnels en mesure d'intervenir sur les transactions. En parallèle, les intermédiaires de l'immobilier doivent s'emparer de l'intelligence artificielle (IA) afin de gagner en efficacité. Ils utilisent déjà à grande échelle les portails d'annonces, les services des spécialistes de la data ou encore des outils pour identifier et qualifier des prospects à partir de leurs démarches en ligne. Avec l'IA générative, ils disposent désormais de moyens privilégiés pour gagner en productivité et améliorer le service client et la prospection commerciale. Dès lors, comment l'IA peut-elle concrètement aider les professionnels dans leur travail quotidien ? Quels sont les leviers les plus appropriés pour se différencier ? Et quelles sont dans le détail les prévisions de croissance pour les marchés de l'ancien et du neuf d'ici 2026 ?
Quelles sont les stratégies gagnantes pour valoriser les solutions préfabriquées et modulaires, et ainsi permettre à la construction hors-site de conquérir des parts de marché ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour dynamiser l'activité des entreprises du secteur malgré une conjoncture délicate.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies pour promouvoir efficacement la faible empreinte carbone du hors-site alors que les normes de durabilité des nouveaux bâtiments se durcissent. La réglementation environnementale RE2020 prévoit en effet d'abaisser les seuils d'émissions carbone des constructions neuves d'environ 15% dès 2025, avant de nouvelles réductions en 2028 et 2031. Or, la préfabrication d'un bâtiment en usine permet de limiter la production de déchets et de réemployer plus facilement des « chutes » de matériaux ou des éléments complets. Les bâtiments modulaires, de leur côté, peuvent être déplacés, réutilisés ou intégralement recyclés. Les professionnels peuvent en parallèle se positionner sur des débouchés encore peu adressés en capitalisant sur les progrès réalisés en termes de qualité, de volumes produits, ainsi qu'en matière de coûts. Dès lors, comment améliorer la compétitivité-prix des constructions hors-site ? Quels segments offrent des perspectives intéressantes pour ces solutions ? Et comment valoriser les atouts écologiques du hors-site pour s'imposer sur un plus grand nombre de projets immobiliers ?
Comment redynamiser l'attractivité des centres commerciaux et des retail parks ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour renouveler l'offre et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, des collectivités locales et des investisseurs.
Nous mettons notamment en lumière des mesures inédites pour diversifier l'offre commerciale et intégrer de la mixité d'usage dans les projets, comme des logements ou bureaux. En effet, le modèle traditionnel a besoin de se réinventer pour s'adapter aux grandes transformations du retail. Avec l'essor des achats en ligne et les arbitrages de consommation en faveur des services, les magasins physiques perdent du terrain. La lutte contre l'artificialisation des sols entrave également l'avancée des projets. Différentes actions peuvent aussi être menées pour faire évoluer le modèle et l'exploitation des espaces commerciaux vers des pratiques plus durables et compatibles avec les enjeux en matière de responsabilité sociétale et environnementale (RSE). En parallèle, les foncières doivent enrichir leur offre afin de fidéliser les commerçants et enseignes fragilisés par la crise inflationniste, et ainsi juguler la hausse de la vacance des locaux. Dès lors, quelles sont les mesures concrètes pour soutenir les commerçants et enseignes ? Comment réduire l'empreinte écologique de l'immobilier commercial ? Et quels changements à impulser pour retrouver une dynamique de croissance durable face à une conjoncture qui s'annonce défavorable jusqu'en 2026 ?
Comment les acteurs de la gestion de patrimoine et de fortune peuvent-ils optimiser leur croissance face à un environnement en pleine mutation ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour s'adapter aux quatre forces qui transforment et complexifient le métier : la concurrence, l'inflation réglementaire, le digital et la finance durable.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies innovantes pour améliorer le sourcing clients face à des conditions de marché dégradées. Si à court terme les incertitudes politiques bousculent son quotidien, la profession doit surtout s'adapter à une concurrence exacerbée, synonyme d'une plus grande dispersion des avoirs. En parallèle, les gestionnaires doivent répondre aux attentes des clients sur l'impact et la dimension sociale et environnementale de leurs investissements. Il est également primordial de saisir les opportunités de l'intelligence artificielle (IA) pour gagner en efficacité, en qualité et sécurité. L'inflation réglementaire et les nécessaires investissements dans le digital engendrent en effet une augmentation des coûts pour les acteurs. La digitalisation aborde d'ailleurs une nouvelle phase dans le sillage de l'essor de l'IA générative qui va recentrer les conseillers et banquiers privés sur leur cœur de métier, le conseil. Dès lors, quels cas d'usage prioriser pour optimiser les processus opérationnels et renouveler l'expérience client ? Quel levier d'action privilégier pour tirer parti de la finance durable ? Et quelles stratégies pour capter les clients à potentiel ?
Comment les marques de compléments alimentaires peuvent-elles se différencier et renforcer leur attractivité sur un marché dynamique mais hyper-concurrentiel ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers d'actions clés pour à la fois renouveler l'offre de produits nutraceutiques et crédibiliser leurs promesses.
Nous mettons en particulier en évidence des pistes innovantes pour développer des gammes autour de la prévention santé et la naturalité des ingrédients. La croissance des ventes reste en effet très dépendante des nouveautés mises sur le marché. Ce phénomène est particulièrement flagrant dans les produits minceur où les nouvelles références évincent les anciennes qui ont pu décevoir pour leur manque d'efficacité. Par ailleurs, nous proposons des actions concrètes pour mieux crédibiliser les promesses de la nutrithérapie et ainsi espérer séduire les clients plus hésitants. 20% des Français se déclarent sceptiques quant aux bienfaits de ces produits, ce qui indique que le potentiel du marché n'est pas pleinement exploité. Les médecins sont également nombreux à ne pas croire aux vertus des compléments alimentaires, notamment en l'absence de données probantes. Dès lors, comment intégrer une dimension scientifique à l'offre pour rendre les promesses plus crédibles ? Quels leviers pour profiter pleinement des nouvelles attentes des Français sur les terrains de la prévention et de la naturalité ? Après le segment des probiotiques, celui des postbiotiques mérite-t-il d'être investi ?
Comment les agences de publicité et communication peuvent-elles s'appuyer sur l'intelligence artificielle (IA) pour monter en gamme et faire face au ralentissement du marché ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés afin de remporter de nouveaux contrats tout en protégeant leurs marges.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pertinentes pour utiliser l'IA générative afin de concevoir des outils de communication innovants et optimiser les parcours client. Grâce à sa capacité à générer des textes, images, sons et vidéos, l'IA générative réduit le temps et les coûts de production de contenu. Elle permet aussi d'améliorer l'expérience utilisateur avec des chatbots et des assistants virtuels. Mais l'IA générative peut en contrepartie inciter les entreprises clientes à internaliser leurs activités publicitaires et marketing, et exacerber la concurrence sur les prix. Il est alors indispensable d'intégrer l'IA dans les propres ressources internes des agences en toute transparence avec les clients. En parallèle, les acteurs doivent adapter leur palette de solutions en matière de ciblage sur Internet. L'écosystème de la publicité en ligne reste en effet dans le flou après l'annonce de Google qui a finalement décidé de ne pas supprimer les cookies tiers. Dès lors, comment parer à toute éventualité et apporter des alternatives fiables et performantes aux cookies tiers ? Quelles sont les réelles opportunités de croissance offertes par l'IA générative ? Et quelles mesures pour sécuriser et encadrer son usage par les agences ?
Comment les cabinets de conseil peuvent-ils accompagner efficacement les entreprises en matière de développement durable et s'assurer de nouvelles missions à l'avenir ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour convaincre et fidéliser les entreprises devant se conformer à la directive CSRD ou Corporate Sustainability Reporting Directive.
Nous mettons notamment l'accent sur des mesures spécifiques pour moderniser les pratiques afin de gagner en productivité grâce à la data science et l'intelligence artificielle générative. Les rapports extra-financiers vont en effet se complexifier et se multiplier avec l'augmentation du volume de data à traiter et du nombre grandissant d'entreprises concernées. En parallèle, des opportunités commerciales existent avec les PME. De nouvelles réglementations et des attentes croissantes des clients et des investisseurs poussent ces entités à s'investir dans la responsabilité sociale des entreprises (RSE). De plus en plus de grands groupes contraignent de surcroît les PME avec lesquelles ils travaillent à quantifier leurs émissions de CO2 et à mettre en place des stratégies de décarbonation. Les cabinets de conseil ont par ailleurs l'occasion de démontrer leurs savoir-faire et compétences afin d'accompagner sur le long terme les entreprises dans des projets de transformation durable, au-delà de les aider à atteindre une conformité de base. Dès lors, quels sont les segments du conseil RSE à plus fort potentiel ? Comment concrètement améliorer la productivité tout en élargissant l'offre de services grâce au digital ? Et comment s'assurer des revenus récurrents auprès des PME ?
Comment innover dans les cosmétiques bio et naturels pour dynamiser le marché et tirer parti de la distribution en pharmacie ? Notre étude exclusive identifie les leviers clés pour exploiter pleinement les relais de croissance qui s'ouvrent aux marques spécialisées afin de relancer les ventes.
Nous mettons notamment en lumière de nouvelles stratégies visant à repositionner l'offre vers les segments porteurs et moins soumis aux arbitrages de consommation dans le domaine de l'hygiène beauté. En effet, les ventes de cosmétiques en GSA patinent, tout comme celles des produits bio face à un pouvoir d'achat contraint. Les acteurs spécialisés doivent en parallèle rester précurseurs en matière d'éco-responsabilité. Il leur faut aller au-delà de leur promesse initiale portant sur l'origine bio et naturelle des ingrédients pour mieux se différencier des marques de grande consommation et de distributeur engagées sur le terrain de la naturalité à petits prix. Les spécialistes gagneraient également à convaincre les pharmaciens de l'efficacité de leur offre et à se faire une place dans ce circuit très spécifique et à fort potentiel. Les ventes de dermocosmétiques représentent 3,5 Md€ et sont en plein essor… Dès lors, quelles stratégies adopter pour se développer dans le réseau officinal ? Quels sont les leviers pour améliorer l'empreinte environnementale de l'offre ? Et quelles sont les perspectives du marché des cosmétiques bio et naturels d'ici 2026 au sein des différents circuits ?
Comment les spécialistes de l'efficacité énergétique peuvent-ils pérenniser la forte croissance de leur activité malgré la crise du bâtiment ? Notre étude exclusive identifie 10 actions clés pour démontrer le rapport coût-bénéfice de tels projets et tirer parti des enjeux autour de la décarbonation de l'immobilier.
Nous mettons notamment en lumière des mesures innovantes pour prouver la pertinence et l'efficacité des offres. Les prospects déplorent en effet l'absence d'un cadre de confiance et d'outils d'aide à la décision afin d'objectiver les gains énergétiques et financiers de ces travaux. La fragmentation élevée de l'offre et son manque de lisibilité rendent également les arbitrages difficiles. En parallèle, les acteurs doivent répondre aux nouveaux besoins des clients autour des sujets du smart building et des bâtiments durables, et ne plus se limiter à la seule performance énergétique. La directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) a en effet élargi en 2022 l'obligation à environ 50 000 sociétés de réaliser un bilan carbone et de mettre en place une stratégie de réduction des émissions. Cette pression réglementaire entraîne par ailleurs une demande accrue pour des solutions innovantes et efficaces. L'intelligence artificielle s'impose à cet égard comme un outil essentiel. Dès lors, comment mobiliser cette technologie pour créer des solutions sur mesure, optimisées et adaptées aux besoins des clients ? Comment les rassurer sur les résultats attendus à la fin d'un projet ? Et quelles perspectives pour le marché d'ici à 2027 ?
Comment renouveler l'expérience client et optimiser l'efficacité des centres de contacts grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés autour de l'IA pour stimuler la croissance du secteur, s'extraire d'une concurrence exacerbée et des pressions tarifaires des clients.
Nous soulignons en particulier l'importance de recourir aux chatbots de dernière génération afin de réduire les délais d'attente tout en garantissant des échanges davantage personnalisés. Cette technologie porte en effet d'importantes promesses de gains de temps et de coûts, avec la possibilité pour les acteurs de réaffecter le personnel à des tâches à plus forte valeur ajoutée. En parallèle, les professionnels de la gestion de la relation client (GRC) doivent se saisir de l'IA générative pour monter en gamme et revaloriser les tarifs de leurs services qui baissent depuis 15 ans. Les solutions d'analyse prédictive, d'analyse des sentiments et de monitoring intelligent des échanges semblent à ce titre prometteuses. Cependant, la défiance des entreprises clientes et des consommateurs à l'égard de l'IA persiste. Les centres de contacts doivent ainsi impérativement investir dans le but de garantir la sécurité et la confidentialité des données. Dès lors, quels sont les prérequis indispensables pour rendre plus efficace leur fonctionnement interne ? Comment s'appuyer sur l'IA pour accroître la valeur ajoutée dans la relation client ? Et quelles perspectives se dessinent pour le marché d'ici 2026 ?
Comment les spécialistes de la gestion des déchets peuvent-ils tirer parti au mieux de la transition écologique engagée par leurs clients, publics ou privés ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour saisir les nouvelles opportunités commerciales nées de la contrainte environnementale et d'épuisement à long terme des ressources.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pertinentes pour décarboner et optimiser la collecte et le traitement des déchets. Les grands clients privés doivent en effet réduire leur impact environnemental en raison surtout de la mise en œuvre de la directive CSRD (corporate sustainability reporting directive). Cette directive intègre au calcul de leur empreinte carbone l'impact indirect de leurs activités (dit de scope 3), ce qui comprend la gestion de leurs déchets ainsi que de leurs produits en fin de vie. Les municipalités ont de leur côté pris un virage écologique avec un accent mis sur la pollution de l'air générée par les camions-poubelles diesel. En parallèle, les gestionnaires de déchets doivent se positionner de façon pertinente sur les segments à fort potentiel du recyclage et du réemploi. De de plus en plus d'entreprises clientes investissent en effet dans l'économie circulaire pour des raisons réglementaires et pour réduire leur exposition à l'instabilité croissante des marchés des matières premières. Dès lors, comment les acteurs des déchets peuvent-ils concrètement soutenir leurs clients dans leur transition écologique ? Quels sont les futurs relais de croissance pour le secteur ? Et comment l'intelligence artificielle peut-elle améliorer l'efficacité des opérations ?
Comment les agriculteurs et les coopératives peuvent-ils tirer parti des nouvelles technologies pour renforcer leur productivité et leur compétitivité ? Notre étude exclusive identifie plus précisément 10 leviers clés afin d'exploiter tout le potentiel de l'intelligence artificielle (IA) dans le domaine de l'agriculture.
Nous mettons en particulier en évidence les solutions d'IA pour permettre à la filière agricole de réduire son empreinte écologique, par exemple à travers une utilisation plus ciblée des engrais et phytosanitaires. L'agriculture est en effet responsable de près de 90% des émissions de protoxyde d'azote, un gaz dont le pouvoir réchauffant est 300 fois plus élevé que celui du CO2. Par ailleurs, les progrès en matière d'IA permettent d'accroître la précision et l'efficacité des robots, drones ou satellites et ainsi de répondre aux pénuries de main-d'œuvre. Ces outils associés à l'intelligence artificielle augurent aussi des gains de productivité considérables grâce à l'automatisation et à l'optimisation des pratiques culturales, contribuant à améliorer les rendements des cultures et à réduire les coûts. Dès lors, quels sont les leviers technologiques les plus pertinents pour renforcer la compétitivité des exploitations ? Comment la robotique et l'IA apportent-elles des solutions aux problèmes de recrutement ? Et quels sont les partenaires sur lesquels la filière agricole doit désormais compter ?
Comment les mutuelles du Code de la mutualité peuvent-elles optimiser leur croissance et leur compétitivité face à des conditions de marché durablement dégradées ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers d'actions clés pour se diversifier de façon pérenne au-delà des alliances et mouvements de consolidation en cours, et améliorer leur efficacité opérationnelle.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies innovantes au regard d'une configuration de marché exceptionnelle. Les mutuelles subissent une concurrence accrue dans le segment de l'assurance santé qui constitue encore 83% de leurs revenus. En 20 ans, leur part de marché a chuté de 60% à 47%. Elles sont à présent tenues de s'adapter à la réforme de la protection sociale dans la fonction publique. 5,7 millions de fonctionnaires vont ainsi passer à des contrats collectifs. Un changement qui remet un peu plus en cause leur modèle historique centré sur les solutions individuelles. Il leur est également indispensable de stopper la dégradation de leurs équilibres techniques provoquée par l'envolée des remboursements et de nouveaux transferts de charges. Dès lors, comment les processus opérationnels peuvent-ils être optimisés grâce à l'intelligence artificielle ? Quelles diversifications privilégier pour favoriser le multi-équipement et la fidélisation des adhérents ? Quels marchés investir pour conquérir de nouvelles clientèles ?
Comment stimuler la croissance des enseignes et centrales d'achat sur un marché de l'optique toujours plus disputé et qui descend en gamme ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour tirer parti au mieux des nouvelles tendances et se différencier.
Nous mettons notamment en lumière les stratégies pour se repositionner vers les segments innovants et porteurs de l'optique alors que la concurrence par les prix s'accélère. En effet, tandis que les offres d'entrée de gamme sans reste à charge gagnent du terrain, les réseaux de soins imposent des baisses tarifaires parfois drastiques à leurs opticiens partenaires. D'autres facteurs d'attractivité que le prix doivent en parallèle être mobilisés. Les technologies digitales permettent par exemple aux magasins de mieux conquérir et fidéliser la clientèle au travers de services différenciants, d'une personnalisation des offres et d'une expérience client enrichie. Il est également crucial d'adapter les stratégies de diversification vers l'audio afin de combler un déficit persistant de légitimité par rapport aux enseignes spécialisées. Dès lors, comment leur prendre des parts de marché ou se différencier des très nombreux opticiens présents dans l'audio ? Comment développer des offres d'optique innovantes pour échapper à une guerre des prix ? Par ailleurs, comment les enseignes et centrales d'achat peuvent-elles attirer les nouvelles générations d'opticiens entrepreneurs ?
Comment les enseignes de restauration rapide peuvent-elles stimuler la croissance de l'activité et se différencier sur un marché hyper-concurrentiel ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour s'adapter aux mutations de la demande et continuer à conquérir et fidéliser les clients.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pertinentes pour redynamiser le développement commercial des enseignes face au ralentissement de l'activité et à la surabondance de l'offre de fast food et snacking. Le nombre de points de vent a en effet progressé de plus de 90% en 13 ans, soit 23 500 restaurants supplémentaires sur un marché qui en compte aujourd'hui près de 50 000. Les chaînes de fast food sont en parallèle défiées par les boulangeries ainsi que les petites et moyennes surfaces alimentaires sur le segment de la pause-déjeuner, ce qui accélère la concurrence par les prix. Elles doivent dans ce contexte améliorer l'expérience et la relation client pour se distinguer en s'appuyant sur le digital et l'intelligence artificielle, particulièrement sur un marché où les digital native représentent le cœur de cible. Dès lors, comment faire de l'IA un facteur de croissance et de rentabilité pour les enseignes ? Quelles actions privilégier pour doper la fréquentation des établissements ? Et comment se démarquer des autres options de restauration ?
Comment les secteurs industriels peuvent-ils stimuler leur croissance et gagner en compétitivité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés afin de tirer le meilleur parti de l'IA, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les actions requises pour raccourcir le temps de mise sur le marché des nouveaux produits et équipements. En effet, les progrès dans l'apprentissage de modèles, l'IA générative et l'accroissement des capacités de calcul simplifient les étapes de prototypage et de test. D'autres cas d'usage visent à optimiser les approvisionnements, à réduire les coûts, à minimiser les délais de production, et à garantir une qualité supérieure. Pour autant, la maturité des industriels en matière d'IA varie considérablement selon leur taille. Tandis que la plupart des groupes du CAC 40 ont déjà déployé des projets autour de l'IA et des équipes internes dédiées au développement d'applications, les ETI et PME vont devoir accélérer en adoptant des stratégies d'open innovation. Les partenariats avec des start-up sont notamment un moyen d'automatiser les activités répétitives et chronophages des fonctions de support avec la promesse pour les équipes de se concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée. Dès lors, quels sont les fournisseurs sur lesquels il faut désormais compter ? Et quelles utilisations concrètes de l'IA privilégier pour chaque maillon : conception, production, maintenance, fonctions de support, etc. ?
Comment se différencier sur un marché de la rénovation des bâtiments plus disputé et tirer davantage parti des enjeux énergétiques ? Notre étude exclusive identifie 10 stratégies innovantes pour dynamiser la croissance du secteur alors que le segment du neuf est en crise.
Nous mettons notamment en lumière les mesures permettant de maximiser l'efficacité des aides publiques à la rénovation énergétique des logements et combler leurs lacunes. En effet, la complexité administrative pour obtenir MaPrimeRénov' décourage les particuliers de se lancer dans ces travaux. Il s'agit dès lors d'aller au-delà du seul conseil technique en proposant des offres de tiers financement ou des options de certification qualité afin de rassurer les ménages sur la qualité des futures prestations et la probité des professionnels. Les grandes entreprises du secteur ont de leur côté tout intérêt à concevoir des offres spécifiques pour cibler les projets de rénovation lourde des bailleurs sociaux, de copropriétés et des gestionnaires de bâtiments tertiaires. Se distinguer devient également crucial sur ce marché attractif mais plus concurrentiel, les spécialistes de la construction neuve se repositionnant désormais dans la rénovation. Dès lors, quelles sont les démarches prioritaires pour singulariser son offre, en particulier autour du thème de la durabilité ? Quelles stratégies mettre en place pour cibler le marché de la rénovation des grands immeubles ? Et quelles actions concrètes pour stimuler les projets de rénovation des logements ?
Comment les acteurs de l'assurance peuvent-ils s'approprier l'intelligence artificielle (IA) pour accélérer leur transformation digitale et relever les défis de la cybersécurité ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour tirer pleinement parti de l'IA afin de proposer une expérience client augmentée et optimiser la structure de coûts.
Nous mettons en particulier en évidence l'importance de s'appuyer sur l'IA pour automatiser de nombreux maillons de la chaîne de valeur de l'assurance. Ces technologies promettent en effet d'économiser d'importantes ressources et de gagner du temps, permettant ainsi de réaffecter le personnel à des tâches à plus forte valeur ajoutée. Cette recherche d'efficacité devient d'ailleurs vitale pour les acteurs de l'assurance face à un contexte concurrentiel, économique, financier et climatique plus complexe. Mais l'adoption de ces technologies avancées sur fond de digitalisation croissante et du développement du télétravail créent une menace accrue de cyberattaques. La profession est dans le même temps obligée de se conformer au règlement européen DORA ou digital operational resilience act qui propose un cadre européen harmonisé et plus exigeant que les textes précédents. Dès lors, comment capitaliser sur les dernières couches technologiques pour répondre aux nouveaux enjeux de conformité ? Quels cas d'usage de l'IA prioriser pour optimiser les processus opérationnels et renouveler l'expérience client ? Et comment les assurtech peuvent-elles aider à développer une culture de l'innovation ?
Comment dynamiser et rentabiliser les enseignes de la boulangerie, des terminaux de cuisson et de la pâtisserie face à aux nouveaux modes de consommation ? Notre étude exclusive dévoile 10 leviers clés pour accélérer la croissance des chaînes, se différencier dans un secteur très compétitif et restaurer ses marges d'exploitation.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pertinentes pour se renforcer sur le segment très disputé de la pause-déjeuner. En effet, face à la baisse structurelle de la consommation de pain, les boulangeries doivent davantage se tourner vers la vente de produits de petite restauration alors que les sandwiches, pizzas, quiches, burgers et boissons représentent déjà 17% du chiffre d'affaires des boulangeries. Il est également essentiel que les chaînes de boulangerie-pâtisserie assurent un développement cohérent de leurs points de vente sur le territoire, élargissent leurs zones de chalandise et améliorent l'attractivité des magasins. Elles doivent en parallèle diminuer leurs coûts dans le but de redresser des marges tombées à très bas niveaux. Dès lors, quelles sont précisément les pistes à explorer pour massifier les achats et externaliser une partie de la production ? Quelles approches sont à privilégier pour diversifier de façon rentable son implantation géographique ? Et comment mieux profiter de l'essor de la consommation hors domicile et des nouvelles tendances du fast food et des coffee shops ?
Comment renforcer sa compétitivité face aux mutations de la location courte durée de véhicules ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour améliorer la gestion opérationnelle, se différencier et relever les défis de la transition vers la motorisation électrique.
Nous mettons en particulier en évidence les meilleures stratégies afin de maîtriser la trajectoire d'électrification imposée par la réglementation. En effet, les professionnels ont l'obligation d'intégrer à leur flotte davantage de voitures électriques même si elles ne répondent pas toujours aux besoins des clients dans le cadre de leur déplacement. Les loueurs doivent également gérer la décote rapide de ces véhicules alors que leur modèle d'affaires repose sur la valeur de revente sur le marché de l'occasion. Il est par ailleurs essentiel pour eux d'explorer les opportunités offertes par les technologies d'intelligence artificielle (IA) dans le but d'améliorer les processus en back-office, comme l'inspection des véhicules, la maintenance et même la tarification. Au-delà de la question de la compétitivité, les loueurs doivent s'adapter à une concurrence accélérée, ce qui impose de trouver de nouveaux segments porteurs en matière de mobilité. Dès lors, où se situent ces gisements de croissance ? Quelles actions spécifiques peuvent encourager les clients à louer des voitures électriques ? Et quels sont précisément les apports de l'IA pour accroître l'efficacité opérationnelle des loueurs ?
Comment les actuels services infirmiers (SSIAD) et services d'aide et d'accompagnement (SAAD) peuvent-ils faire de la réforme de la prise en charge des seniors à domicile une opportunité et stimuler leur croissance ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers pour piloter leur transition vers les nouveaux Services autonomie à domicile imposée par les pouvoirs publics d'ici 2025.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pour innover autour des activités commerciales. Les structures à domicile ont en effet jusqu'ici surtout cherché à augmenter le volume de prises en charge pour mieux couvrir les coûts fixes et améliorer l'efficacité opérationnelle. Pour autant, d'autres options existent : création d'une offre de care management, intervention dans des structures d'hébergement pour personnes âgées, création de solutions premium pour un public aisé… Nous proposons aussi des pistes de redéploiement à la disposition des services infirmiers pour devenir des acteurs généralistes du maintien à domicile. De leur côté, les services qui feront le choix de la spécialisation dans l'aide vont devoir se différencier aux yeux des prescripteurs de prises en charge tout en renforçant leur expertise dans le grand âge. Dès lors, quelles stratégies sont viables selon le profil des acteurs ? Par quels moyens les services infirmiers peuvent-ils se diversifier vers l'aide et l'accompagnement ? Et quelles sont précisément les activités commerciales à explorer pour accroître le chiffre d'affaires des structures ?
Comment stimuler la croissance du marché de la cybersécurité et relever les défis de l'intelligence artificielle (IA), du cloud et des objets connectés (IoT) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour accélérer le développement commercial malgré les pressions tarifaires des grands comptes et leur volonté de rationaliser leur portefeuille de produits IT.
Nous mettons en particulier en évidence le potentiel disruptif majeur de l'IA, promettant des gains de productivité et de qualité considérables dans la détection et la réponse aux cybermenaces. En parallèle, de nouveaux risques apparaissent avec l'IA, mais aussi avec l'informatique quantique et les objets connectés qui forceront les clients à adapter leurs équipements. L'étude présente également les mesures prioritaires pour cibler efficacement les TPE/PME. Un segment qui constitue un important réservoir de croissance, car il est sous-équipé en solutions de cybersécurité. Les stratégies commerciales déployées auprès des grandes organisations ne pourront cependant pas être simplement dupliquées chez les petites entreprises. Plus de 9 TPE/PME sur 10 n'ont en effet pas de budget cybersécurité et 61% ne disposent pas d'équipes dédiées. Dès lors, comment adapter l'offre, les circuits de distribution et les modes de tarification envers cette clientèle ? Et comment s'appuyer sur les avancées de l'IA pour améliorer l'efficacité des professionnels de la cybersécurité et développer les ventes ?
Comment les professionnels de la construction bois peuvent-ils transformer les défis écologiques en opportunités de marché ? Notre étude exclusive identifie 10 actions clés pour tirer pleinement parti des nouvelles normes environnementales dans le bâtiment et dynamiser l'activité des entreprises de la filière.
Nous mettons en particulier en lumière les marchés les plus attractifs et accessibles afin de moins dépendre de la réalisation de maisons individuelles neuves. Ce marché est en effet en difficultés entre les problèmes d'accès à l'emprunt immobilier et l'objectif de Zéro artificialisation nette (ZAN). Les acteurs doivent en parallèle opérer sur des chantiers de grande envergure alors que la réglementation environnementale RE2020 ouvre d'immenses opportunités. En effet, les indices carbone maximum de la construction vont être abaissés d'environ 15% en 2025, avant de nouvelles réductions en 2028 et 2031. Ces règles vont largement favoriser l'usage de matériaux biosourcés comme le bois, à condition qu'il soit compétitif. Actuellement, une structure en bois coûte de 5% à 10% plus cher qu'une construction comparable en béton. Dès lors, comment améliorer la compétitivité grâce aux modules 3D et au jumeau numérique ? Quels segments offrent les perspectives de croissance les plus élevées ? Et comment faire du bois un matériau clé dans le cadre de grands projets immobiliers ?
Comment développer des offres et des services d'accompagnement innovants face aux mutations du marché du leasing d'équipements professionnels ? Notre étude exclusive identifie 10 actions concrètes pour élaborer de nouveaux produits et enrichir sa proposition de valeur afin de se distinguer de ses concurrents.
Nous mettons en particulier en évidence les meilleures stratégies de différenciation pour fidéliser les clients et justifier plus facilement une augmentation des loyers. Dans cette optique, il s'avère essentiel de concevoir des services novateurs et d'améliorer l'expérience utilisateur en utilisant les bons outils numériques et l'intelligence artificielle générative. Un cap doit également être franchi en matière de stratégie digitale dans le but de cibler de nouveaux segments : PME-TPE, artisans, professions libérales, collectivités… En parallèle, les acteurs du leasing gagneraient à soutenir davantage la transition écologique de leurs clients. Une approche qui implique de revoir leur modèle traditionnel, très centré sur le renouvellement fréquent du matériel. Dès lors, quelles mesures spécifiques peuvent être mises en œuvre pour accompagner les clients dans la décarbonation de leurs activités ? Comment élargir sa clientèle potentielle ? Et quels sont les précisément les services technologiques qui permettent de se démarquer sur ce marché concurrentiel ?
Comment les acteurs de la filière énergie peuvent-ils stimuler leur croissance et gagner en compétitivité grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés afin de tirer le meilleur parti de l'IA, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les actions requises pour maximiser les gains de productivité des énergéticiens grâce à l'exploitation optimale de ces technologies. Les progrès dans l'apprentissage de modèles, l'IA générative et l'accroissement des capacités de calcul vont en effet révolutionner cette industrie pour réduire les coûts de prospection d'hydrocarbures, optimiser l'emplacement des sites de production d'énergies vertes, automatiser les opérations de trading ou mieux contrôler les infrastructures énergétiques. Au-delà, l'IA offre la possibilité aux groupes de l'énergie de se positionner sur des services à haute valeur ajoutée, axés notamment sur les enjeux de sobriété énergétique et de décarbonation des clients. Dès lors, comment l'intelligence artificielle peut-elle conduire à des solutions énergétiques sur mesure ? Quels sont les fournisseurs sur lesquels il faut désormais compter ? Et quelles utilisations de l'intelligence artificielle privilégier selon son cœur de métier : producteur, gestionnaire de réseau, fournisseur, etc. ?
Comment les administrateurs de biens peuvent-ils capitaliser sur la différenciation, l'innovation et les outils digitaux pour se développer dans un contexte concurrentiel délicat ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour défendre leurs parts de marché et améliorer leurs performances financières.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pour mieux justifier la hausse des honoraires et limiter l'érosion de la clientèle. Les professionnels devraient en effet souffrir de la sortie de nombre de passoires thermiques du marché et de l'intensification des mises en concurrence par les copropriétaires. Le secteur doit aussi trouver les bons relais de croissance pour rivaliser avec les acteurs en ligne qui s'établissent en ville et les agences immobilières qui se repositionnent sur les métiers de la gestion. L'étude montre également que les nouveaux outils d'intelligence artificielle (IA) présentent un potentiel énorme pour enrichir les services à la clientèle et optimiser l'efficacité interne des organisations. Dès lors, comment mieux profiter des nouvelles technologiques digitales ? Jusqu'à quel point se diversifier sans sacrifier son ADN ? Et comment créer une offre distinctive qui combine des services à la fois physiques et numériques ?
Comment les hôteliers français peuvent-ils renforcer l'attractivité de leur offre et créer de la valeur pour se distinguer dans un marché hyperconcurrentiel ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers pour s'adapter aux mutations de la demande, conquérir et fidéliser les clients.
Nous mettons en particulier l'accent sur les solutions pour proposer des expériences uniques aussi bien aux touristes de loisirs qu'aux voyageurs d'affaires. Sur ce second segment, l'enjeu est d'autant plus important que les voyages d'affaires représentent plus de 40% des nuitées du secteur et permettent de lisser l'activité en remplissant les hôtels en basse saison ou en semaine. Les hôteliers doivent en parallèle maximiser leur présence en ligne afin d'accroître les réservations directes et ainsi réduire leur dépendance envers les agences de voyages en ligne (OTA). Les chaînes, de leur côté, disposent encore d'un potentiel de croissance considérable alors que les hôteliers indépendants autonomes représentent encore 60% du parc hôtelier. Dès lors, quels leviers actionner pour recruter des indépendants et développer les chaînes hôtelières ? Comment répondre aux nouvelles attentes des clients, notamment en matière de tourisme durable ? Et quelles stratégies pour se démarquer face aux autres options d'hébergement ?
Comment dynamiser la croissance du marché du café et du thé face à un contexte environnemental plus exigeant ? Notre étude exclusive dévoile 10 stratégies clés pour aider les marques et industriels à innover afin de détecter des gisements de croissance durable.
Nous mettons en particulier en évidence les leviers pour multiplier les moments de dégustation et toucher de nouveaux publics. En effet, la consommation de thé et café en France reste encore trop souvent cantonnée au petit-déjeuner, au déjeuner et à la pause-café en entreprise. Les professionnels doivent par ailleurs explorer des circuits de distribution alternatifs alors que les ventes de café en volume baissent du fait des pressions sur le budget des ménages. Il est également urgent de mettre en place des stratégies d'adaptation devant les nouvelles contraintes écologiques et les effets du changement climatique sur la production de café/thé. Dès lors, quelles approches sont à privilégier face au risque environnemental et à l'éventuelle interdiction des capsules en plastique et aluminium en Europe ? Où se situent les réservoirs de croissance au sein des circuits hors domicile ? Et comment recruter de nouveaux profils de consommateurs ?
Comment les sociétés de recherche sous contrat (CROs) peuvent-elles piloter la diversification, le changement et l'innovation face à la complexité croissante de la recherche clinique et la pression des laboratoires ? Notre étude exclusive identifie 10 actions essentielles pour optimiser les coûts et les délais des essais cliniques, reconfigurer les relations avec les donneurs d'ordres et atténuer la dépendance au secteur pharmaceutique.
Nous examinons en particulier de quelle manière l'intelligence artificielle, les essais in silico ou encore la décentralisation des essais pourraient infléchir la courbe des coûts et des délais de mise sur le marché des médicaments. Une problématique cruciale alors que la recherche clinique totalise les deux tiers des coûts et la moitié du temps de développement des nouveaux traitements. Les CROs doivent en parallèle activer les bons leviers de différenciation devant la volonté des big pharma de réduire le nombre de sous-traitants et de faire jouer la concurrence. Il s'agit aussi pour les sociétés de recherche sous contrat de sécuriser et lisser leurs revenus dans un métier où les délais de paiement sont extrêmes. Elles doivent pour cela étendre leurs capacités de tests à des applications non pharmaceutiques. Dès lors, où se trouvent les gisements de croissance les plus prometteurs ? Et comment améliorer significativement l'offre de services des CROs ?
Comment générer de la croissance sur un marché du vélo entré en phase de maturité ? Notre étude exclusive identifie 10 stratégies novatrices pour tirer parti au mieux des nouvelles tendances du marché et se différencier dans un contexte d'hyper concurrence, aussi bien dans la fabrication que dans la distribution de cycles.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies des distributeurs, confrontés au brutal coup d'arrêt des ventes de vélos neufs. La riposte s'organise en développant la location longue durée et les offres de vélos électriques d'occasion. La priorité est également donnée au segment haut de gamme, plus résilient, et à la fidélisation des clients via le service après-vente. Nous analysons aussi en détail les perspectives et les stratégies des start-up sur les marchés en forte croissance du vélo de fonction et du vélo reconditionné. Enfin, notre étude décrypte les dynamiques industrielles et les axes de développement des constructeurs et équipementiers pour faire bondir leur production made in France. Dans ce contexte, quelles sont les perspectives de croissance après une année 2023 très difficile ? Quels sont les segments du marché les plus prometteurs ? La filière française du vélo peut-elle vraiment renaître à l'heure où la tentation est grande de relancer la demande en cassant les prix ?
Comment stimuler la demande en assurance-vie en conjuguant le développement des unités de compte (UC) et la sécurité financière ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour innover dans les offres et dans l'accompagnement client afin de piloter la délicate transition vers les UC alors que ces supports totalisent déjà un quart des 1 900 milliards d'euros d'encours de l'assurance-vie.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pour rendre les UC plus attractives aux yeux des clients. Les unités de compte transfèrent en effet le risque sur l'assuré, contrairement aux traditionnels fonds en euros qui offrent une protection complète contre toute perte en capital. En parallèle, la généralisation des UC au grand public présente des défis majeurs en matière d'information à donner aux épargnants, d'innovations financières et d'adaptation du modèle économique. Elle oblige notamment à faire évoluer en profondeur la relation client face à des produits complexes et commercialisés de plus en plus via des canaux en ligne. Dès lors, comment offrir une expérience client autour des produits d'assurance-vie optimisée et adaptée aux usages de chacun ? Comment rendre les offres plus lisibles pour conseiller les clients ? Et quelles sont les pistes possibles pour rendre les contrats d'assurance-vie plus attractifs ?
Comment les centres de santé ophtalmologique peuvent-ils stimuler leur croissance et établir une confiance durable avec les différentes parties prenantes : praticiens, patients et pouvoirs publics ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour développer les réseaux malgré la loi Khattabi qui a instauré de nouvelles règles de fonctionnement, dont l'interdiction de s'installer dans les zones trop richement dotées en praticiens.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies de riposte pour accroître la fréquentation des centres. En effet, le marché des soins ophtalmologiques se révèle toujours attractif, porté par de puissants moteurs comme le vieillissement de la population et la meilleure solvabilité de la demande dans l'optique depuis le 100% Santé. Entre 2018 et 2023, une centaine d'établissements ont ainsi ouvert, portant le total à plus de 160 structures actives. Au-delà, il semble indispensable que les centres améliorent leur image, ternie par quelques affaires largement médiatisées. Une action d'autant plus urgente que la concurrence se renforce avec les opticiens, les sociétés de téléconsultation et, surtout, les professionnels libéraux qui se regroupent. Dès lors, comment restaurer la confiance avec les parties prenantes ? Quels nouveaux modèles de croissance se dessinent pour les centres ? Et où se situent les nouvelles opportunités d'investissement en santé ophtalmologique ?
Comment mobiliser l'intelligence artificielle et la cybersécurité pour dynamiser la croissance des éditeurs face à la fin des plans de numérisation des établissements de santé ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour redéfinir les modèles économiques et opérationnels alors que les financements publics s'annoncent moins massifs et plus ciblés.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pour réduire la dépendance des éditeurs aux investissements publics tout en profitant des nouvelles attentes des clients en matière de solutions souveraines et sécurisées. Près de 600 cyberattaques sont en effet répertoriées chaque année dans les hôpitaux. Ces attaques informatiques, qui coûtent des millions d'euros de préjudices, menacent la continuité des soins et la réputation des établissements. L'intelligence artificielle (IA) présente pour sa part un potentiel disruptif majeur dans le secteur de la santé, promettant une productivité accrue et son utilisation se développe dans différentes étapes du système de soins. Toutefois, son déploiement sera probablement hétérogène entre les hôpitaux bien équipés en technologie et les cabinets indépendants en ville plus lents à digitaliser. Dès lors, comment les fournisseurs de solution logicielle peuvent-ils exploiter l'IA ? Et quelles diversifications dans un contexte où les aides publiques se tarissent ?
Comment les exploitants de résidences en coliving peuvent-ils attirer les capitaux et étendre rapidement leur parc ? Notre étude exclusive identifie 10 actions clés pour faire sortir de la confidentialité un marché qui compte pour le moment 14 000 lits et accélérer les ouvertures dans un contexte compliqué pour l'immobilier-construction.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pour pallier les problèmes de financement des programmes sur fond de hausse du ticket moyen. En effet, le montant des investissements initiaux s'est renchéri entre les taux d'intérêt élevés, le prix important du foncier dans les zones tendues et l'augmentation du coût des travaux d'aménagement. Des stratégies innovantes sont également nécessaires pour diversifier le public cible du coliving et compenser le turn-over des étudiants et jeunes actifs, ses principaux utilisateurs. Il est aussi essentiel de répondre à l'opposition croissante des collectivités qui considèrent le coliving comme un moyen de contourner l'encadrement des loyers. Dès lors, comment améliorer l'insertion et l'acceptabilité de ces projets au sein des métropoles ? Quels nouveaux publics viser pour faire de ce concept une vraie solution immobilière ? Et comment réellement accélérer l'essor des résidences en coliving ?
Comment les acteurs de l'immobilier peuvent-ils innover et se différencier grâce à l'intelligence artificielle (IA) ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour exploiter le plein potentiel de l'IA dans les métiers de l'immobilier-construction, aussi bien les modèles prédictifs que génératifs, ces derniers constituant une avancée technologique majeure.
Nous mettons en particulier en évidence les bonnes pratiques pour intégrer efficacement cette technologie et en tirer la quintessence. L'IA générative ouvre en effet des perspectives inédites pour transformer la façon dont les biens immobiliers sont conçus, construits, échangés et gérés grâce à ses capacités de traitement de données hors-normes et ses résultats plus précis et personnalisés. Il n'est pas seulement question ici d'automatisation des tâches répétitives et chronophages : les modèles génératifs représentent aussi une source exceptionnelle de nouvelles lignes de métier et d'amélioration de l'offre existante pour les professionnels de l'immobilier. Dès lors, quelles applications privilégier en fonction de son cœur de métier ? Quels types de partenaires sont les mieux placés pour aider à intégrer l'IA dans les process métier de l'immobilier ? Comment mettre en place une collaboration gagnante avec des experts ?
Comment créer de la valeur et des avantages concurrentiels avec l'intelligence artificielle ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour provoquer une révolution documentaire grâce à cette technologie, se différencier et ainsi encourager une plus large adoption des services de dématérialisation, notamment auprès des PME et des TPE.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies pour revitaliser ce marché mature dans lequel les prestations et les comportements des acteurs s'uniformisent. Une situation qui affaiblit le pouvoir de négociation des professionnels de la numérisation et accélère la concurrence par les prix. En atteste la dégradation des performances financières, avec une perte de 3 points du taux de marge opérationnelle en sept ans. Il est également indispensable de dissiper les craintes des clients autour de la cybersécurité mais aussi des large language models (LLM) qui transforment radicalement la gestion documentaire. Des LLM qui risquent de favoriser l'essor d'acteurs nouveaux et de durcir la compétition. Dès lors, quelles actions stratégiques entreprendre face à l'IA ? Comment rassurer les clients et ainsi libérer de gisements de croissance inédits ? Et comment redonner de la valeur et de la singularité aux services de dématérialisation ?
Comment les fournisseurs de la restauration peuvent-ils soutenir la croissance de leur activité face à un pouvoir d'achat sous pression et à de fortes contraintes réglementaires ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour explorer de nouveaux marchés, fidéliser les clients et contribuer au développement d'une alimentation saine et durable.
Nous mettons en particulier l'accent sur les solutions pour construire des filières d'approvisionnement en produits locaux et pour décarboner efficacement la supply chain. Les grossistes et cash & carry doivent en parallèle se différencier sur un marché hyperconcurrentiel où les arbitrages des ménages limitent les dépenses en services de restauration et in fine les volumes d'achats des restaurateurs. Mais pour réellement se distinguer, il faut bien plus qu'un large assortiment de produits à des prix compétitifs, une logistique efficace et une expertise métier pointue Dès lors, comment réellement fidéliser les restaurateurs, en particulier les indépendants ? Sur quels segments de marché renforcer l'offre ? Et quelles actions prioriser pour optimiser les flux logistiques d'un point de vue environnemental ?
Comment dynamiser la croissance des nouvelles installations photovoltaïques alors que plusieurs menaces se précisent pour les développeurs-exploitants ? Notre étude exclusive identifie 10 actions essentielles pour à la fois ajuster les modèles économiques à la fin des subventions et repenser les stratégies d'implantation des parcs face à des oppositions locales de plus en plus fortes.
Nous mettons en particulier en évidence les solutions pour renforcer l'acceptabilité des projets et éviter que les recours n'entraînent surcoûts et retards de mise en service. Les développeurs-exploitants d'installations vont aussi devoir s'adapter à une baisse des aides publiques, l'État favorisant désormais la relance du nucléaire et la réduction du déficit budgétaire. Ces restrictions financières soulèvent d'ailleurs des doutes sur la viabilité des futures usines de panneaux solaires prêtes à être construites en France. Dépendantes largement du soutien public pour rester compétitives, ces usines font face à une concurrence internationale féroce. Dès lors, comment résister au dumping chinois dans l'amont de la filière ? Et quelles approches privilégier pour faciliter l'acceptation locale des projets et préparer la transition vers le solaire « sans subvention » ?
Comment rendre son Bachelor plus attractif aux yeux des étudiants et de leur famille alors qu'il existe déjà plus de 400 de ces programmes en France ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour améliorer la qualité de ce cursus ou renforcer son caractère professionnalisant en cohérence avec le positionnement de chaque école.
Nous mettons en particulier en lumière les stratégies des établissements cotés pour capitaliser sur l'engouement autour du Bachelor tout en veillant à préserver leur marque. En effet, cette formation plutôt facile d'accès est désormais proposée par les plus réputés comme Polytechnique, HEC Paris et l'ESCP. Or, un développement trop opportuniste peut nuire à leur prestige qui repose en grande partie sur les très sélectifs concours post-prépa. Les écoles non classées, quant à elles, ne peuvent se baser ni sur les rankings pour se distinguer ni sur la délivrance du grade licence qui exige un quota trop élevé d'enseignants-chercheurs. Tout l'enjeu va alors consister à améliorer l'insertion professionnelle des étudiants à l'issue de cette formation. Dès lors, comment renforcer concrètement son caractère professionnalisant ? Quelles actions entreprendre pour développer un Bachelor au sein d'une grande école sans risque pour la marque ? Et finalement comment singulariser son Bachelor dans la jungle des formations post-bac ?
Comment dynamiser l'activité des cliniques vétérinaires et poursuivre l'expansion des réseaux alors que le scénario d'une plus grande régulation du secteur se précise ? Notre étude exclusive révèle 10 leviers clés pour se distinguer dans un marché concurrentiel où l'offre de services s'avère très homogène et attirer des praticiens parfois rebutés par la financiarisation accélérée du métier.
Nous examinons en particulier comment les réseaux intégrés pourraient envisager de nouvelles logiques de croissance moins centrées sur l'intégration de cliniques indépendantes. En effet, l'Ordre national des vétérinaires milite pour réintroduire des régulations afin de garantir l'indépendance professionnelle des praticiens et la qualité des soins. De nouvelles règles qui pourraient rendre moins attractive la détention de cabinets vétérinaires par les réseaux structurés. Il est également crucial que les cliniques tirent davantage parti de la croissance des dépenses de soins dues au nombre record d'animaux très médicalisés et à l'anthropomorphisation des animaux de compagnie. Dès lors, où se situent les gisements de croissance et de rentabilité de demain, notamment pour les réseaux intégrés ? Et comment les cliniques peuvent-elles mieux se différencier, en particulier celles présentes en ville ?
Comment les gestionnaires d'actifs peuvent-ils accélérer dans la finance durable malgré un cadre réglementaire non stabilisé et des risques accrus de greenwashing ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour mieux exploiter la sensibilisation croissante des investisseurs institutionnels et des clients retail aux problématiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).
Nous attirons en particulier l'attention sur l'importance du travail de conviction à mener auprès des particuliers face à des taux de souscription qui ne décollent pas. En effet, malgré un intérêt manifeste pour ces produits d'épargne, leur faible niveau de culture financière et leur relative méconnaissance de ce qu'est la finance durable freinent le passage à l'acte. Il nous apparaît aussi essentiel que les conseillers clients soient pleinement impliqués et actifs sur cette question, maintenant que la loi a élargi leur devoir de conseil aux préférences extra-financières des clients. Dès lors, quelles sont concrètement les actions à mettre en œuvre auprès des particuliers et au sein des organisations pour mobiliser l'épargne des Français au profit de la finance durable ? Et quels moyens mobiliser pour s'assurer de la conformité des processus de vente de ces produits d'investissement ?
Comment transformer la contrainte environnementale en opportunités de business rentables pour l'automobile ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour changer d'échelle en matière d'économie circulaire, que ce soit dans les pièces de réemploi, le remanufacturing, le recyclage de batteries ou le rétrofit de véhicules.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies des constructeurs et équipementiers afin d'accélérer dans ces domaines. Pour tous, les contraintes et motivations se révèlent en effet nombreuses : réglementations plus strictes, tensions sur les approvisionnements en matières premières, recherche d'alternatives compétitives aux pièces détachées neuves… Les casses auto, devenues des centres de traitement de véhicules hors d'usage (VHU), jouent un rôle central dans cette transition verte. Mais elles doivent abandonner leur approche trop artisanale alors que le secteur reste fragmenté et sous-capitalisé. Dès lors, comment peuvent-elles passer à une organisation plus industrielle ? Comment faire de l'économie circulaire un levier de rentabilité pour les constructeurs ? Et comment optimiser le cycle de vie des batteries qui représentent environ un tiers du prix des véhicules électriques, de plus en plus nombreux ?
Comment les industriels et la grande distribution peuvent-ils capter et dynamiser le potentiel de croissance des produits « cuisines du monde », dont le Halal ? Notre étude exclusive dévoile 10 stratégies clés pour renforcer sa présence sur le marché de la worldfood en grande partie préempté par des acteurs spécialisés.
Nous mettons en particulier en évidence les actions pour améliorer la visibilité et la diffusion de l'offre non seulement au sein des rayons des hyper et supermarchés, mais aussi vers des circuits plus pertinents et plus dynamiques comme ceux de la restauration hors foyer. En effet, ce segment représente désormais 29% des dépenses alimentaires des ménages, contre à peine 25% au début des années 2000. Marques et distributeurs doivent par ailleurs élargir leur clientèle au-delà de la cible trop étroite des moins de 35 ans. Dès lors, comment concrètement recruter de nouveaux profils de consommateurs ? Quels sont les circuits hors domicile dans lesquels investir ? Et quelles approches privilégier pour se positionner sur le segment en plein essor du Halal ?
Comment mieux valoriser l'offre des régies publicitaires dans un contexte économique et concurrentiel qui risque d'être plus difficile ? Notre étude identifie 10 leviers pour rester compétitif face aux géants de la tech et à des annonceurs tentés de resserrer les budgets communication ou d'arbitrer en faveur de supports numériques.
Nous soulignons combien il est nécessaire de déployer des stratégies innovantes pour préserver la valeur des espaces publicitaires et maintenir le niveau de marge des régies face à un marché publicitaire hyperconcurrentiel. En effet, après Google, Meta et d'autres réseaux sociaux, de nouvelles plateformes comme Prime Video concourent désormais pour attirer les budgets communication des marques. Les régies traditionnelles doivent en parallèle se montrer plus audacieuses pour gérer le déclin structurel de la presse, de la radio et de la télévision qui déprécie mécaniquement leur offre. Dès lors, quelles sont les stratégies pour réaffirmer l'attractivité des services ? Quels partenariats imaginer pour renforcer sa capacité d'innovation ? De quelle manière l'IA générative peut-elle devenir un levier d'économies pour les régies ?
Comment les centres dentaires peuvent-ils continuer à se développer face aux contraintes réglementaires ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour accélérer les logiques de volume et poursuivre l'expansion des réseaux malgré la loi Khattabi qui interdit désormais de s'installer dans les zones trop richement dotées en praticiens.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pour accroître la fréquentation des centres en dépit de l'instauration des comités dentaires chargés d'agir sur la pertinence des soins et la fin des rémunérations variables qui incitaient au surtraitement. La nécessité d'attirer davantage de patients devient d'autant plus urgente que les centres ne peuvent plus mettre en avant l'argument des prix bas pour une grande partie des soins prothétiques depuis la mise en place du 100% Santé. Dès lors, comment développer la patientèle et le panier moyen ? Quelles approches privilégier pour se diversifier davantage dans les soins non remboursés tels que l'orthodontie pour adultes ou la parodontie ? Et alors que de nouvelles stratégies d'implantation s'imposent avec le retour de l'agrément, quels territoires sont à privilégier ?
Comment développer les réseaux de self-stockage face à l'escalade des coûts d'implantation ? Notre étude exclusive identifie 10 leviers clés pour poursuivre la couverture du territoire national sur fond de taux d'intérêt élevés et d'inflation des coûts de construction.
Nous mettons en particulier en évidence les stratégies pour surmonter la hausse du ticket moyen lors de la création d'une nouvelle infrastructure, et ainsi continuer à attirer des franchisés. Ces actions deviennent d'autant plus urgentes dans un contexte où les enjeux RSE et les restrictions à l'artificialisation des sols mettent les coûts sous tension. Dès lors, quelles pistes se dessinent pour conquérir demain des clients particuliers ou professionnels ? Comment concilier engagements RSE et attractivité de cette classe d'actif immobilier, notamment auprès des sociétés d'asset management ? Et quelles stratégies pour maintenir la rentabilité des nouvelles infrastructures dans l'environnement inflationniste actuel ?
UNE ÉTUDE POUR :
Stimuler la réflexion et améliorer la prise de décision
Les experts de Xerfi livrent leurs recommandations stratégiques face aux nouveaux enjeux et défis posés aux professionnels du secteur. Comment les réseaux peuvent-ils s'adapter aux effets de l'inflation ? Comment faire évoluer les stratégies marketing face à la fin des cookies tiers ? L'étude propose également des prévisions sur l'évolution du parc de centres de self-stockage et sur le chiffre d'affaires d'un panel de spécialistes jusqu'en 2026.
Analyser les stratégies de croissance des acteurs
L'étude présente les principaux leviers de croissance des opérateurs. Outre les récentes créations de centres, le rapport décrypte les évolutions de l'offre et les efforts de transformation numérique. Comment les leaders développent-ils leur réseau ? Comment répondent-ils mieux aux besoins de leurs clients ? Quelles sont leurs avancées en matière de dématérialisation des démarches ? Et quelles sont les zones géographiques à fort potentiel ?
Décrypter la concurrence et ses récentes évolutions
Ce rapport dresse un panorama complet des principales enseignes de self-stockage en France avec les informations et chiffres clés. Elle revient sur l'arrivée de nouveaux investisseurs dans le secteur. Quelles seront alors les conséquences sur le jeu concurrentiel ? Qui sont les acteurs en meilleure position pour croître ? Comment les leaders défendent-ils leurs positions ?
Les coopératives agricoles sont engagées dans une course contre la montre pour se réinventer. Elles ont récemment surmonté de nombreux chocs entre hausse des prix de l'énergie et séparation des activités de vente et de conseil dans le domaine des produits phytosanitaires. Dorénavant, la volatilité des cours des matières premières et la concurrence étrangère leur imposent d'aller beaucoup plus vite et plus loin dans leur quête de compétitivité et de création de valeur.
Les coopératives sont de surcroît sommées de répondre aux défis environnementaux : réduction de l'empreinte carbone de leurs activités industrielles, investissements pour verdir leur supply chain, soutien aux exploitations agricoles dans leur transition écologique. Par ailleurs, le renouvellement des générations d'adhérents pose un enjeu existentiel à ces organisations, un tiers des agriculteurs devant partir à la retraite d'ici 2032. Dans ce contexte délicat, comment les coopératives peuvent-elles s'adapter tout en préservant leur identité ? Comment faire de la décarbonation un levier de croissance ? Les logiques de développement dans le retail ont-elles un avenir ? Et quelles perspectives attendre pour l'activité d'ici 2025 ?
UNE ÉTUDE POUR :
Stimuler la réflexion et améliorer la prise de décision
Dans cette étude, les experts Xerfi livrent leurs recommandations stratégiques face aux défis qui se posent aux coopératives agricoles. Comment conjuguer croissance et préservation du modèle coopératif ? Quelles solutions pour favoriser le renouvellement de la génération d'agriculteurs ? Comment décarboner le modèle des coopératives ? L'étude propose également des prévisions sur l'activité des sociétés coopératives agricoles jusqu'en 2025.
Appréhender le paysage concurrentiel et ses évolutions
Le rapport dresse une cartographie détaillée des principales coopératives agricoles françaises et analyse leurs positionnements. Il décrypte également les évolutions du jeu concurrentiel au sein du milieu coopératif et, pour chaque filière, entre coopératives et les autres acteurs privés. Comment évoluent les rapports de forces avec l'amont et l'aval, en particulier avec la grande distribution alimentaire ?
Comprendre les stratégies de croissance des coopératives
Cette étude analyse les logiques de croissance et d'adaptation des coopératives : fusion, intégration verticale, levier de décarbonation, etc. Quelles sont les stratégies pour gagner en compétitivité ? Comment les acteurs tentent-ils de rééquilibrer les rapports de forces avec leurs clients ? Quelles sont les nouvelles sources de financement privilégiées par les coopératives pour répondre à leurs besoins sans compromettre leur modèle ?
Le marché de la cigarette électronique peut compter sur un nombre record de vapoteurs. Les fumeurs en particulier s'orientent de plus en plus vers la e-cig face à la hausse des prix du tabac. Facilement accessibles chez les buralistes, ces produits sont distribués au sein des 3 000 vape shops qui poursuivent leur expansion sur le territoire. Ces circuits s'appuient aussi sur l'énorme succès des e-cigarette jetables ou puffs qui séduisent les vapofumeurs et les neovapoteurs, à commencer par les plus jeunes.
Le gouvernement a cependant annoncé l'interdiction des puffs jetables en 2024. D'autres mesures pourraient rapidement être prises en France et en Europe pour enrailler l'essor de la vape, davantage suspecter d'être une passerelle vers le tabagisme plutôt qu'un moyen de s'en détourner. En parallèle, les fabricants de e-liquides made in France doivent prendre le virage des systèmes fermés qui progressent fortement sous l'impulsion des marques des géants du tabac. Dans ce contexte, quelles sont les stratégies possibles pour les acteurs ? Quels sont les leviers des marques et des fabricants pour adapter leur offre à la nouvelle réglementation ? Comment capitaliser sur les atouts des puffs tout en proposant des produits plus durables ? Et quelles sont les réelles perspectives du marché à l'horizon 2026 ?
UNE ÉTUDE POUR :
Stimuler la réflexion et améliorer la prise de décision
Dans cette étude, les experts Xerfi livrent leurs recommandations stratégiques face aux mutations du marché de la cigarette électronique et à ses perspectives. Le rapport intègre une estimation du chiffre d'affaires du marché de la cigarette électronique ainsi que nos prévisions exclusives sur son évolution jusqu'en 2026. Quel est le potentiel de croissance du marché français ? Quel sera l'impact de l'interdiction à venir des puffs et plus globalement des menaces réglementaires qui planent sur la vape ?
Décrypter les évolutions de la demande et de la réglementation
L'étude propose une analyse des principales motivations des vapoteurs et de leurs préférences de consommation : type de e-cig, consommation moyenne de e-liquide, arômes plébiscités, concentration de nicotine, etc. Quelle est la part des jeunes vapoteurs ? Quelles sont les mesures réglementaires actuellement envisagées par les pouvoirs publics en France et en Europe ?
Comprendre les stratégies des acteurs et les évolutions de la concurrence
Ce rapport dresse un panorama détaillé et chiffré des principales marques de cigarettes électronique et de e-liquide en France, dont celles des géants du tabac. Il analyse également les caractéristiques et les stratégies des trois principaux circuits de distribution : boutiques de vape, spécialistes de la vente en ligne et buralistes. Quels circuits parviennent à tirer leur épingle du jeu ? Quelles sont leurs stratégies pour se démarquer ?
La filière du sport professionnel doit trouver un moyen de regagner des parts d'audience. Diffuseurs historiques, clubs, ligues et fédérations courent le risque de perdre l'attention des spectateurs de manière durable à une époque où les jeunes sont constamment connectés aux réseaux sociaux et passionnés de jeux vidéo et de séries. Par ailleurs, les modes de diffusion des événements se transforment avec l'arrivée de plateformes de streaming qui intègrent le sport à leurs offres, contribuant à une érosion des droits TV.
Tout l'enjeu pour les acteurs du sport business consiste à mettre en place de nouvelles stratégies visant à renforcer l'attrait et l'image de marque des compétitions. Avec un but : augmenter les revenus provenant du sponsoring, de la billetterie et du merchandising. Les possibilités semblent nombreuses, entre l'évolution des règles du jeu pour davantage de fluidité et de spectacle, la création de séries et vidéos mettant en scène des instants de vie personnelle des sportifs, et la personnalisation de l'expérience à l'instar du Marathon de Paris 2024 accessible au public. Dans ce contexte, quels sont les leviers qui permettront réellement de capter l'attention des spectateurs ? Au-delà, quelles sont les stratégies pour diversifier les sources de revenus des professionnels du sport business ? Et quelles perspectives se dessinent pour le marché au-delà des JO ?
UNE ÉTUDE POUR :
Améliorer la prise de décision
Dans cette étude, les experts Xerfi livrent leurs convictions et recommandations stratégiques face aux mutations du marché français du sport business. Comment tirer parti des Jeux olympiques pour convertir durablement un nouveau public ? Comment gagner la bataille de l'audience et de l'attention des jeunes générations ? Quelles perspectives se dessinent concernant l'activité des organisateurs d'évènements d'ici 2026 ?
Comprendre les mutations du jeu concurrentiel
L'étude propose une analyse complète de la concurrence sur chaque grand maillon de la filière sport : organisateurs privés de compétitions, fédérations et ligues professionnelles, média, agences de marketing sportif et sport tech. Des exemples concrets illustrent les mouvements concurrentiels récents ainsi que leur impact à attendre sur le marché. Comment évoluera le paysage médiatique de la diffusion sportive ? Faut-il continuer de miser sur l'écosystème Canal+ face à la concurrence croissante d'Amazon ?
Décrypter les stratégies en cours
En s'appuyant sur de nombreuses études de cas, le rapport décrypte les stratégies des promoteurs d'évènements. Alors que la valorisation des droits TV plafonne, quels leviers sont actionnés pour générer de nouveaux revenus ? Quelles sont les initiatives pour accroitre le rayonnement des marques de sport professionnel ? Et comment améliorer l'engagement des fans et la personnalisation de l'offre ?
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